L'intérêt particulier, la liberté de l'être, doit inéluctablement accepter la contrainte de l'intérêt général :
la ville (lieu de savoir, d'échange, de partage) étant un bien si précieux, pour l'être, il est nécessaire d'admettre que l'automobile participe à ce bien collectif mais qu'elle doit se conjuguer aux Transports Publics Urbains par respect à ce lieu - et son environnement - tant convoité. Quel est votre sentiment ?
2006-10-16
00:42:28
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5 réponses
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demandé par
Anonymous
dans
Politique et gouvernement - Divers