Ségolène, le PS, Sarkozy et "la rupture tranquille", Jean-Marie Le Pen...
Moi je ne leur en veux même pas.
A l'ère de la communication et du marketing, la politique revêt l'apparence de personnages médiatiques et médiatisés, tantôt maîtres, tantôt victimes de leur image. Quelle place pour le discours politique, le dialogue, les idées? Dans Voici, Paris-match et leurs homologues, le débat n'est pas le coeur des préoccupations. Mais le relooking de Ségo ou les déboires amoureux du couple Sarko-Cécilia fascine le bon français avec sa carte d'électeur...
Je pense que la solution politique radicale serait de continuer de fonctionner en partis comme aujourd'hui, mais d'élire à la présidence, non plus un candidat, mais un programme. Si le programme était la seule raison de voter, effectivement, il y aurait de l'abstention, mais en contrepartie, il y aurait un choix d'idées.
Rien n'empêche une fois un parti élu, d'élire le représentant de ce parti.
Qu'en pensez-vous?
2006-12-11
05:57:18
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2 réponses
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demandé par
Lalalou
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