La justice a donné raison à ceux qui ont dénoncé les actes de torture commis par Jean-Marie Le Pen, en les relaxant des poursuites en diffamation. La plus haute juridiction française, la Cour de cassation, a ainsi confirmé, en juin 2001, un arrêt de la cour d’appel de Paris en faveur de Pierre Vidal-Naquet. Quelques mois auparavant, elle avait pris la même décision en faveur de Michel Rocard, qui, en 1992, à la télévision, avait accusé Jean-Marie Le Pen d’avoir torturé. La Cour avait estimé en particulier que l’ancien premier ministre « avait poursuivi un but légitime en portant cette information à la connaissance des téléspectateurs ». Le Monde se réclame du même « but légitime » pour continuer de porter cette information à la connaissance de ses lecteurs.
Les Français ont ils la mémoire courte?
2007-03-27
20:33:34
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demandé par
kalla kevin
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Élections