Je tiens à rendre hommage au courage de M. Georges Frêche, qui n’a pas hésité à défier la meute des apôtres de l’africanisation de la France.
« il y a neuf blacks sur onze. La normalité serait qu’il y en ait trois ou quatre. Ce serait le reflet de la société ».
Il a ajouté, sans doute pour atténuer les réactions qu’il prévoyait : « Mais là, s’il y en a autant, c’est parce que les Blancs sont nuls ». Croyait-il échapper ainsi à l’accusation de racisme qui lui pendait au nez comme un sifflet d’arbitre ? Quelle erreur ! Tous les fanatiques du métissage l'ont insulté, à commencer par le Président de la République, qui s’est écrié : « Je condamne avec la plus grande fermeté les propos de Georges Frêche ». Eh bien, moi, Monsieur Chirac, c’est cette condamnation stupide et lâche que je condamne. Cet homme au franc-parler n’est évidemment pas plus raciste que moi, mais il a été simplement sensible au fait que l’équipe nationale ne pouvait absolument pas représenter la France aux yeux dumonde
2007-02-10
09:09:38
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demandé par
JMLP
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Immigration