Selon le journal de l’association médicale canadienne, il ressort d’une étude de l’Institut Elliot, qui a étudié les dossiers médicaux de 56 000 femmes californiennes, qu’une certaine proportion de femmes ayant subi un avortement développent des troubles psychologiques dans un délai de 90 jours après l’intervention, et ont recours à l’aide d’un psychiatre pour suivre des traitements et accompagnements durant en moyenne quatre ans.
En extrapolant à partir des chiffres de cette étude, l’Institut Elliot estime que, depuis 1973, plus de 1,5 millions de femmes étatsuniennes développent peu ou prou une forme du syndrome post-avortement.
2006-10-13
21:49:35
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demandé par
Anonymous
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Grossesse et enfants - Divers