Attention, je fais la distinction entre arrêt de traitement (trop lourd, disproportionné, inconfortable et lorsque le malade le souhaite ; rappelez-vous, on ne peut pas vous faire un traitement contre votre grès), euthanasie (acte qui entraîne délibérément la mort, décidé par le corps médical ou un tiers) et suicide assisté (acte existentiel d'en finir avec la vie). Vous êtes beaucoup trop, dans mes précédentes questions, à ne pas savoir la différence, pourtant FONDAMENTALE !!! Il est essentiel que l'on parle de la même chose dans ce débat !!!
J'en reviens à ma question : en gros, si on est encore conscient et qu'on veut vivre, il ne faudra pas se plaindre d'avoir mal, surtout pas indiquer le "10" sur l'échelle de douleur !!! Il y aura donc des victimes ou des héros. Encore une fois, comment ont survécu nos poilus "gueules cassés" ? Pourquoi continuer la recherche en matière de lutte contre la douleur, la maladie ? Quel regard sur nos vieillards ? est-ce un refus de notre humanité ?
2007-03-27
08:25:05
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4 réponses
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demandé par
Isabelle D
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