English Deutsch Français Italiano Español Português 繁體中文 Bahasa Indonesia Tiếng Việt ภาษาไทย
Toutes les catégories

Philosophie - mars 2007

[Selected]: Toutes les catégories Arts et sciences humaines Philosophie

personnelemnt je trouve que la nature soulage les souffrances, et libere notre ame. Juste le fait d'apprecier un paysage banal peu me redonner envie de vivre.Meme chose pour l'espace juste en comtemplant la lune, les etoiles, en apppreciant l'immensite de l'univers je me projete dans une autre dimension ou finalement il n y a que la paix et le sentiment de bien etre qui domine.Y a t il qqun qui ressent la meme chose?

2007-03-21 12:26:53 · 9 réponses · demandé par Anonymous

et si vous avez decidé de répondre,
pas d'emballements, voici la question...
la satisfaction (de répondre)en vaut elle la peine?

2007-03-21 11:36:30 · 10 réponses · demandé par Quatre mains à l'ouvrage 2

A l'avare, tout manque, au pauvre, peu, au sage, rien.

2007-03-21 10:08:25 · 12 réponses · demandé par ? 5

2007-03-21 08:01:20 · 18 réponses · demandé par lionya 2

2007-03-21 07:09:33 · 4 réponses · demandé par . 6

2007-03-21 05:56:34 · 9 réponses · demandé par Quatre mains à l'ouvrage 2

2007-03-21 05:27:44 · 5 réponses · demandé par PADE 1

qu´est-ce que c´est que cette histoire de rentabilité temporelle?

2007-03-21 05:06:46 · 10 réponses · demandé par Quatre mains à l'ouvrage 2

2007-03-21 04:25:20 · 11 réponses · demandé par jhklh 1

2007-03-21 03:55:51 · 15 réponses · demandé par Opium 6

2007-03-21 03:16:42 · 9 réponses · demandé par Hades et Persephone 7

2007-03-21 03:00:16 · 10 réponses · demandé par ? 5

2007-03-21 02:44:53 · 8 réponses · demandé par ? 5

2007-03-21 02:40:57 · 12 réponses · demandé par ? 5

2007-03-21 02:39:27 · 12 réponses · demandé par Hades et Persephone 7

2007-03-21 02:38:14 · 13 réponses · demandé par Hades et Persephone 7

2007-03-21 02:36:43 · 7 réponses · demandé par ? 5

2007-03-21 02:36:00 · 17 réponses · demandé par Hades et Persephone 7

2007-03-21 02:33:49 · 3 réponses · demandé par ? 5

2007-03-21 01:44:19 · 9 réponses · demandé par Chut!Je me concentre ! 6

Le fait d'être soi-même, entièrement soi-même, n'est-ce pas une utopie, un fait que l'on pense effectuer, mais en réalité comment peut-on être soi-même alors que, philosophiquement parlant, on ne peut jamais se connaitre entièrement?
Alors, si on ne se connaitra jamais entièrement, comment peut-on atteindre le Soi exact?

Gros bisouille les loulous de QR! :-><

2007-03-21 01:25:05 · 23 réponses · demandé par ♥Funny♥ ♥(^_^)♥ ♥.·:*¨¨*:·.♥ 4

2007-03-20 22:36:37 · 17 réponses · demandé par . 6

Cette citation est d' Albert Einstein

2007-03-20 20:21:00 · 14 réponses · demandé par x 7

2007-03-20 15:39:51 · 31 réponses · demandé par ? 5

une pensée poétique du poéte arabe Mutanabbi il a vécu en 10ème siècle

2007-03-20 15:10:29 · 14 réponses · demandé par Rita 4

" Je vins à Carthage, et partout autour de moi bouillait à gros bouillons la chaudière des amours honteuses. Je n'aimais pas encore, et j'aimais à aimer; dévoré du désir secret de l'amour, je m'en voulais de ne l'être pas plus encore. Comme j'aimais à aimer, je cherchais un objet à mon amour, j'avais horreur de la paix d'une voie sans embûches. Mon âme avait faim, privée qu'elle était de la nourriture de l'âme, de vous-même, mon Dieu, mais je ne sentais pas cette faim. J'étais sans appétit pour les aliments incorruptibles, non par satiété, mais plus j'en étais privé, plus j'en avais le dégoût. Et c'est pourquoi mon âme était malade et, rongée d'ulcères, se jetait hors d'elle-même, avec une misérable et ardente envie de se frotter aux créatures sensibles. Mais si ces créatures n'avaient pas une âme, à coup sûr, on ne les aimerait pis. Aimer et être aimé m'était bien plus doux, quand je jouissais du corps de l'objet aimé. Je souillais donc la source de l'amitié des ordures de la concupiscence; j'en ternissais la pureté des vapeurs infernales de la débauche. Repoussant et infâme, je brûlais dans mon extrême vanité de faire l'élégant et le mondain. Je me ruai à l'amour où je souhaitais être pris. Mon Dieu, qui m'avez fait miséricorde, de quel fiel, dans votre bonté, vous en avez arrosé pour moi la douceur ! Je fus aimé, j'en vins secrètement aux liens de la possession. "

Saint-Augustin, Confessions

2007-03-20 15:10:01 · 4 réponses · demandé par Bônois 3

fedest.com, questions and answers