Par sa déclaration, le président à mis le sujet sur la table:
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3224,36-949732@51-947101,0.html
Acceptable et même encouragée lorsqu'elle est le moyen le plus efficace de protéger les victimes, la dénonciation s'avère détestable dans d'autres situations. Mais les frontières ne sont pas toujours très claires. Quels critères moraux retenir? Quand s'agit-il d'une affaire de conscience individuelle, quand cela relève-t-il de la collectivité?
Sur ce sujet, le décalage entre la France et le monde anglo-saxon est frappant. Autant nous sommes allergiques à la dénonciation, autant cet acte est perçu comme civique aux Etats-Unis, par exemple.
source de réflexion:
http://www.lexpress.fr/info/france/dossier/justice/dossier.asp?ida=432468
(il s'agit d'une question ouverte qui se veut constructive, donc les trolls, vous avez le droit de vous abstenir...)
2007-09-01
08:16:07
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demandé par
(¯`·._) PhœniX (_.·`¯)
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Politique