J'ai besoin de silence, j'ai besoins d'espace, tout ça m'étouffe,
Même pour écrire je m'en sens incapable, de parler j m'en croix incapable, de dormir, de respirer. De vivre.
J'envois des cris silencieux mais personne ne les entends ou personne ne veut les entendre.
Je ne suis pas dans mon élément, j ne suis pas dans mon environnement, je suffoque, je commence à ne plus me sentir.
Je cherche une main réconfortante, une caresse affectueuse, un regard chaleureux, à évoquer cela des larmes remontent à ses yeux de se corps meurtri.
Je croyais avoir un handicap dans mes relations avec cette famille qui n'est pas mienne. Mais je me suis trompé, ce blocage s'est étendu pour engloutir ceux des autres, même ceux qui m'été proches, que j'été proche d'eux!. Ce sentiment de solitude parmi tant de gens.
Ce ne sont pas "mon entourage" mais celui des autres, je ne suis que de passage dans leurs intersections.
Ma voix semble muette, pas uniquement pour moi mais pour les autres aussi.
Je n'existe presque plus, j ne suis que le reflet des autres, de ce qu'ils veulent, me façonner.
Toi, oui encore toi, tu m'as encore une fois détruit, tu ne m'as pas blessé, mais tu as enfoncer des lames dans de vielles blessures, que j'ai failli ou fais semblant d'oublier.
Je t'ai aimé.
Sincèrement aimer.
Je ne dirais pas comme tout le monde, que tu ne me mérité pas. Moi-même je ne mérite rien.
C'est pas que la vie m'été difficile, non, mais parce que j'ai lâché, je suis lâche, j'ai baissé les bras. Je m'attendais à une illumination d'ailleurs en oubliant qu'elle devait émaner de là, de mon cœur.
Tu as continué à me briser sur mes ruines, sur mes temples détruits en cours de restauration. Tu as tout remis à terre.
Certes je me suis trop investi sur toi, sur ton amour, ses mirages m'ont fais croire que je t'intéressé "un peu". Mais que j'été et suis idiote!!. Je t'aime encore.
Tu me conduis à m'enfermer sur moi-même encore une fois. Tu m'évites, et je comprends :"elle est déséquilibrée cette fille".
Tu ne réponds pas à mes appelles: "elle est collante".
Tu m'abaisse devant tes amis et je comprends :" qui aime bien châtie bien". Mais que je suis idiote.
Oui je le suis, je suis différente en mal ou en bien, je suis extrémiste.
Cette fois là je m'en sortirai, mais sans toi, sans lui, sans personne.
Seulement moi et ma chère solitude. Elle au moins, elle m'est fidèle, elle ne me lâchera pas !!.
2007-01-08
06:23:30
·
6 réponses
·
demandé par
eve
3
dans
Livres et auteurs