Un nain fort civil s empressa, mais point trop,
D accéder, oh le vil, au poste le plus haut,
Bien mis de sa personne, il épate et chérit
Qu’à chaque fois qu’il sonne, l on arrive vers lui
Demandant prestement, à servir, quel bonheur,
Le petit homme blanc, à la tête d empereur.
Grèves, contestations, ne font rien à l’affaire,
Il est là et tient bon, aussi dur que le fer,
Cinq ans de privations, un lustre ce n est rien,
Aux prochaines élections, jetez le bon bulletin !
Moralité…
Citoyens, citoyennes, plutôt que de critiquer,
Assurez-vous amis d’avoir bien voté !
2007-11-22
10:31:15
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11 réponses
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demandé par
Anonymous
dans
Poésie