Extrait du poème l’An neuf de l’Hégire dédié au prophète MOHAMED (psl) par l'inimitables, Victor HUGO:
Le lendemain matin voyant l'aube arriver:
"Aboubèkre, dit-il, je ne puis me lever,
Tu vas prendre le livre et faire la prière.
Et sa femme Aïsha se tenait en arrière;
Il écoutait pendant qu'aboubèkre lisait,
Et souvent à voix basse achevait le verset;
Et l'on pleurait pendant qu'il priait de la sorte.
Et l'ange de la mort vers le soir à la porte
Apparut, demandant qu'on lui permit d'entrer.
"Qu'il entre."On vit alors son regard s'éclairer
De la même clarté qu'au jour de sa naissance;
Et l'ange lui dit:"Dieu désire ta présence.
Bien", dit-il Un frisson sur ses tempes courut,
Un souffle ouvrit sa lèvre, et Mahomet mourut »
2007-10-16
02:10:13
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rosa
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Religions et spiritualité