L'Union des organisations islamiques de France (UOIF), qui avec la Grande mosquée de Paris, notamment, est à l'origine des poursuites a estimé pour sa part que la liberté d'expression invoquée par l'hebdomadaire ne pouvait "servir de paravent" à la "violence" de ses attaques.
Charli Hebdo répond :
"Si on n'a plus le droit de faire la satire de l'idéologie terroriste, qu'est-ce qu'il restera au simple citoyen pour se défendre s'il n'a même plus le rire pour vaincre ses peurs", a-t-il lancé lors d'une conférence de presse. "Ce procès est un procès médiéval."
2007-02-07
02:17:10
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charbel
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