L'intérêt particulier, la liberté de l'être, doivent inéluctablement accepter la contrainte de l'intérêt général :
la ville (lieu de savoir, d'échange, de partage) étant un bien si précieux, pour l'être, il est nécessaire d'admettre que l'automobile participe à ce bien collectif mais qu'elle doit se conjuguer aux Transports Publics Urbains par respect à ce lieu - et son environnement - tant convoité. Quel est votre sentiment ?
Je repose cette question afin d'obtenir de nouveaux points de vue. Merci à tous de votre attention.
2006-11-13
05:36:36
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2 réponses
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demandé par
Anonymous