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L'intérêt particulier, la liberté de l'être, doivent inéluctablement accepter la contrainte de l'intérêt général :
la ville (lieu de savoir, d'échange, de partage) étant un bien si précieux, pour l'être, il est nécessaire d'admettre que l'automobile participe à ce bien collectif mais qu'elle doit se conjuguer aux Transports Publics Urbains par respect à ce lieu - et son environnement - tant convoité. Quel est votre sentiment ?

Je repose cette question afin d'obtenir de nouveaux points de vue. Merci à tous de votre attention.

2006-11-13 05:36:36 · 2 réponses · demandé par Anonymous dans Actualités et événements Actualité et événements - Divers

2 réponses

Voici mes définitions, d'après l'étymologie de ces mots :
Ville : lieu habité au milieu d'un site naturel, dénommé après selon sa fonction, ferme,hameau,village en sont les premiers specimina .
Voiture : féminin de vecteur, moyen ou mode de se déplacer .
Transport Urbain : desservant les places de peuplement .
" Public : d'usage commun moyennant paiement .
" Rural : permet de se rendre au(x) désert(s) inhumains.
L'automobile n'existe que parce que la puissance tutélaire n'a voulu, pour 1 série de méchants motifs, développer les chemins de fer autant qu'il était possible et souhaitable !

2006-11-13 06:53:30 · answer #1 · answered by seatiel 5 · 0 0

Vu le caractère individualiste de l'homme en général, il aura tendance à prendre un moyen de transport qui permet de préserver le plus son espace vital, sa sécurité physique (je parle d'agression entre autre).
Personnellement, je déteste les transports en commun et pourquoi ? Parce ça craint de plus en plus, c'est sale, et trop de promiscuité.
Peut être qu'avec plus de place, la possibilité de travailler/lire/ écouter de la musique sereinement (sans avoir peur de se faire piquer son ordi portable, son lecteur mp3 par exemple), je ne me poserai plus du tout la question.
Quand les contraintes deviennent trop importante (je parle de l'automobile avec les embouteillages et la place pour se garer), on réfléchit et on fait la part des choses. C'est souvent ce qui se passe dans les villes de manière assez naturelle. ça passe souvent malheureusement par la saturation du réseau et des nuisances qui vont avec (pollution, bruit).
Personnellement, je choisis mon moyen de transport en fonction du temps de transport et de l'endroit où je me rends( 3 possibilités : voiture, 2 roues et train/metro).
Je ne pense pas que beaucoup de personnes aient le soucis de l'intêret général. C'est juste une recherche du bien être individuel. Les interactions de contraintes des uns et des autres poussent l'une ou l'autre des solutions de transport possibles.
C'est souvent la continuité ville/banlieue qui pose problème et non pas la ville elle même.

2006-11-13 14:07:59 · answer #2 · answered by kiki 3 · 0 0

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