L’histoire remonte à novembre 2003. Thomas Hollande est pris à partie par un groupe de jeunes dans le XIè arrondissement de Paris alors qu’il s’apprête à démarrer son scooter. Les agresseurs s’en vont, emportant le deux-roues. Accompagné de son père, Thomas Hollande portera plainte au commissariat du XIè. Un policier, cité par le quotidien, se souvient alors : «là aussi, on avait fait le maximum».
Des pratiques courantes
C’est, en effet, la section criminelle de la 2è division de police judiciaire qui se chargera de l’enquête. Une procédure peu habituelle pour un vol, bien que celui-ci ait été commis avec violence. Des tests ADN seront pratiqués, sans succès, contrairement à ceux effectués après le vol du scooter du fils du ministre de l’Intérieur.
L’affaire avait provoqué des remous au sein de la classe politique. On reprochait notamment l’ampleur des moyens utilisés par le ministre-candidat.
Et Le Parisien de s’interroger sur le silence du couple Hollande-Royal au moment de l
2007-02-08
23:38:34
·
10 réponses
·
demandé par
monkey
1