* COMMENT INTERPRETEZ-VOUS CE TEXTE [Chant Royal du Maître Saraha] ?
je me prosterne devant celui qui a conquis le fini.
Comme une eau calme fouettée par le vent
qui se soulève en vagues et en lames,
le roi pense de beaucoup de façons à Saraha,
qui n'est pourtant qu'un seul homme.
Au sot qui louche,
une lampe semble être deux.
Lorsque celui qui regarde et la chose regardée ne sont pas deux,
Ah ! L’esprit travaille sur l'essence des deux.
Bien que les lampes soient allumées dans la maison,
l'aveugle reste plongé dans l’obscurité.
Bien que la spontanéité embrasse tout et soit proche,
pour l'égaré elle reste toujours lointaine.
Les rivières, bien que nombreuses, sont une dans la mer.
Les mensonges, bien que nombreux, seront tous conquis par une vérité.
Lorsqu'un seul soleil apparaît, l'obscurité,
quelle que soit sa profondeur, s'évanouit.>
2007-12-14
05:25:04
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demandé par
zenhomme ૐ
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dans
Religions et spiritualité