L'Aspartame est un vrai poison.
C'est mieux un peu de sucre.
L'aspartame est, de loin, la substance la plus dangereuse sur le marché à être ajoutée aux aliments. L'aspartame est tenu pour responsable de plus de 75% des réactions défavorables aux additifs alimentaires dont il a été fait rapport à la FDA. Bon nombre de ces réactions sont très sérieuses, y compris des attaques d’apoplexie et la mort ainsi qu'il en a été fait récemment état dans un rapport de février 1994 du Department of Health and Human Services. Quelques-uns des symptômes répertoriés causés par l'aspartame incluent : maux de tête/migraines, étourdissements, crises d’apoplexie, nausées, engourdissements, spasmes musculaires, gains de poids, irritations cutanées, dépression, fatigue, irritabilité, tachycardie, insomnie, problèmes visuels, perte d'ouie, palpitations cardiaques, difficultés respiratoires, crises d'anxiété, difficultés d'élocution, perte du goût, goût de fer, vertige, perte de mémoire et douleurs articulaires.
Quand on pense que les gens consomment de l'Aspartame dans le but de perdre du poids et qu'un des effets secondaires de l'Aspartame est:"gain de poids"
C'est tellement absurde!
2007-07-27 01:18:32
·
answer #1
·
answered by Anonymous
·
2⤊
0⤋
Appelés hydrates de carbone ou encore sucres, les glucides forment une famille qui se compose de molécules de taille et de structure très diverses. Leur principal rôle est de fournir à l’organisme l’énergie nécessaire à son fonctionnement. C’est en quelque sorte le carburant de notre corps. Pour manger équilibré, les sucres doivent représenter de 50 à 55 % de notre alimentation. Parmi eux, il y a les sucres « simples » - ceux dont le goût est sucré - et les sucres « complexes », ou « lents », comme les amidons qu'on retrouve dans les céréales (riz, pâtes, blé, maïs...), à privilégier.
Boisson sans sucre, tablette de chocolat à teneur réduite en sucre... Entre le «vrai» et le « faux», Sucres simples ou lents, quelles différences?
La guerre du sucre a failli avoir lieu: une campagne de publicité de l'industrie sucrière a été suspendue en urgence, en novembre dernier. Son slogan, « quand on enlève du sucre, savez-vous ce qu'on met à la place ? », sous-entendait que les substituts du sucre étaient de qualité douteuse, ce qui a fait hurler les fabricants d'édulcorants. Si bien que l'Association nationale des industries agroalimentaires a dû intervenir pour calmer les esprits. Et un « comité des sages » a été créé pour prévenir ce type de règlements de comptes publicitaires. Reste que cela ne résout pas le dilemme du café du matin : faut-il le sucrer, et comment ?
On le rend responsable de l'épidémie d'obésité :
L'appétence pour le goût sucré est innée. Le psychologue et physiologiste israélien Jacob Steiner l'a démontré avec des milliers de nouveau-nés de quelques heures à peine. Avant même leur premier repas, il leur a donné à boire quatre liquides aux goûts différents : sucré, salé, amer et acide... Immanquablement, le premier était associé à des mimiques de plaisir. Mais le sucre est calorique et accusé d'être responsable de l'épidémie d'obésité. Si bien que les édulcorants intenses et les polyols (lire page suivante) le remplacent désormais dans de nombreux produits. Ces substituts sont parfois accusés de tous les maux.
LE SACCHAROSE :
Extrait de la betterave ou de la canne à sucre, le saccharose est le sucre qu'on met dans son café le matin. Il est composé de deux sucres à part entière, le glucose et le fructose, présent dans les fruits. C'est un glucide dit « simple », ou « rapide », formé d'une ou deux molécules, rapidement découpées par les sucs digestifs. Il passe donc vite dans le sang. Pour concilier plaisir et santé, le saccharose ne doit pas dépasser 10% de notre ration calorique globale, soit 220 kcal pour une femme de 40 ans qui consomme entre 2 000 et 2 200 kcal par jour. C'est l'équivalent d'une religieuse (220 kcal) ou d'un café sucré (20 kcal) et deux verres de soda (100 kcal chacun).
Ses avantages :
Il procure du plaisir. C'est loin d'être négligeable, mais pas vital. « L'organisme humain a besoin de glucides pour survivre, mais ceux qui donnent une saveur sucrée ne sont pas indispensables », confirme Jacques Delarue. professeur de nutrition au CHU de Brest. Selon la Collective du sucre, qui regroupe fabricants et vendeurs, il apporte aux produits texture, onctuosité et une meilleure conservation. Surtout, le sucre apporte l'énergie nécessaire aux muscles et contribue à l'apport journalier en glucides.
Côté nutriments, s'il n'est pas trop raffiné, le sucre est riche en minéraux. Or on le trouve la plupart du temps sous une forme extrêmement purifiée (sucre blanc raffiné) : il apporte alors des calories « vides ». Et à raison de 4 kcal/g, l'addition monte vite: 20 kcal pour un morceau de sucre. Cependant, en cas d'hypoglycémie (manque de sucre dans le sang), c'est la solution idéale pour recouvrer rapidement de l'énergie. Ce qui explique sans doute notre appétence naturelle. « Il y a des milliers d'années, consommer du sucre était une question de survie pour l'homme: voilà pourquoi la cueillette était orientée vers des aliments qui en apportaient », affirme Irène Margaritis, chef de l'Unité d'évaluation sur la nutrition et les risques nutritionnels à l'Afssa (Agence française de sécurité sanitaire des aliments).
Ses inconvénients :
Notre organisme est programmé pour utiliser le sucre à bon escient mais, en excès, il se dérègle. Lorsqu'on consomme des glucides, la glycémie (taux de glucose dans le sang) augmente. Le pancréas réplique en sécrétant de l'insuline, qui permet aux muscles d'utiliser les glucides comme énergie, sous forme de glycogène, ou de les stocker. La glycémie revient alors à la normale. Mais, avec les sucres rapides, elle augmente si vite que l'insuline subit un pic, et le processus de transformation est perturbé. A moins de faire un effort sportif dans la foulée, le sucre est alors métabolisé en acides gras (triglycérides) et forme du tissu adipeux. Et à force de manger trop sucré, l'efficacité de l'insuline est réduite. La glycémie sanguine reste alors constamment élevée: c'est le diabète de type 2.
Autre souci: notre goût pour le sucre est quasiment illimité. « On a multiplié notre consommation par 10 ces dernières décennies, explique Irène Margaritis. Comme pour le sel, plus on en consomme, plus le seuil de tolérance est repoussé. » Or, notre alimentation est déjà assez riche en autres glucides...
LE FRUCTOSE :
Les industriels américains ont cru avoir trouvé la solution anticalories en remplaçant le sucre par le fructose. Dès les années 70, on a fabriqué du sirop de fructose - également appelé sirop de glucose en grosse quantité à partir d'amidon de maïs. On en trouve désormais en France dans de nombreux produits, notamment dans les boissons, les desserts et les confiseries. La consommation de sirop de glucose- fructose a été multipliée par 1000 aux Etats-Unis, entre 1970 et 1990. Des chercheurs y voient un lien avec l'épidémie d'obésité. Chez nous, il figure dans les biscuits, desserts et certains plats préparés, mais on ne connaît pas les chiffres de consommation globale.
Ses avantages :
A quantité égale, il est aussi calorique que le sucre (saccharose), mais son goût étant plus prononcé, on en met moins.
Ses inconvénients :
Contrairement au saccharose, le fructose ne provoque pas le fameux pic d'insuline, mais un plateau (un taux moins élevé pendant plus longtemps). En théorie, cela devrait éviter le diabète. Hélas! consommé en excès, le fructose aurait des effets délétères. En cause, sa métabolisation : transformé, grâce à des enzymes, au niveau du foie mais peu dans l'intestin, il favorise la production de triglycérides (acides gras) et augmente les risques de maladies cardio-vasculaires. « Des études montrent également que, pour une même quantité, le fructose est moins satiétogène que le saccharose », explique Jacques Delarue. En donnant l'impression d'être moins rassasié, il nous fait manger plus. Pis : « Des expériences menées sur des rats ont montré que si on leur donnait une alimentation composée à 70 % de fructose, ils devenaient diabétiques », assure Martine Champ, de l'Inra (Institut national de la recherche agronomique). Une observation qui va à l'encontre des idées reçues.
- II faut surveiller les produits transformés (allégés), dans lesquels on trouve du sirop de glucose ou de fructose, aussi appelé sirop de maïs. Ce dernier est très présent dans les sauces et !es biscuits industriels, les plats préparés et même dans certains yaourts. Quant aux fruits, naturellement riches en fructose, pas question de les limiter: «Sous cette forme, il est emprisonné dans une matrice végétale, comportant des micronutriments, bons pour la santé, et des fibres, qui régulent la libération du fructose dans le sang», précise une spécialiste de l'Inra.
LES POLYOLS :
Xylitol, sorbitol, maltitol... On les trouve surtout dans les chewing-gums, bonbons et pastilles à sucer, dites « sans sucre ». Leur pouvoir sucrant est de 0,4 à 1 fois celui du saccharose selon le produit.
• Leurs avantages :
Absorbés en partie seulement lors du passage dans l'intestin, ils apportent moins de calories que le sucre : 2,4 kcal/g, soit 40 % de moins. Mais, surtout, ces édulcorants dits « de masse » car il en faut une quantité plus importante pour obtenir un goût sucré équivalant à celui des édulcorants intenses - les polyols protègent de la formation des caries, car ils ne fermentent pas au niveau de la plaque dentaire. Pas étonnant donc que les industriels les utilisent dans les confiseries.
• Leurs inconvénients :
Les fabricants de chewing-gums et de confiseries doivent mentionner sur l'étiquette « peut avoir un effet laxatif en cas de consommation excessive » dès qu'ils contiennent plus de 10 % de poids sec en polyols. Parce qu'ils ne sont absorbés qu'en partie, ils stagnent dans l'intestin et y fermentent. C'est pourquoi l'excès de polyols peut provoquer flatulences et diarrhées. Ils ne sont pas autorisés dans les autres produits industriels, comme les boissons, car il est plus facile d'ingurgiter une bouteille de cola que dix paquets de bonbons d'affilée!
Pour éviter les effets désagréables sur le système digestif, n'en abusez pas!
LES EDULCORANTS INTENSES :
Aspartame, acésulfame de potassium, cycla- mates, NHDC, néotame ou sucralose... Ces produits de synthèse n'ont cessé de se rapprocher de la saveur du « vrai » sucre depuis les années 60, où leur « ancêtre », la saccharine, a connu un succès important malgré un arrière-goût très amer.
• Leurs avantages :
Ils n'apportent pas de calories et ont un pouvoir sucrant 25 à 13 000 fois plus grand que le saccharose, ce qui explique qu'il en faut très peu. On les a longtemps accusés de leurrer le cerveau en envoyant un message semblable à celui du « vrai » sucre, provoquant un pic réflexe d'insuline. Ne trouvant pas le sucre promis, l'organisme enverrait au cerveau un signal de faim afin de l'obtenir. Mais une expérience menée aux Pays-Bas, publiée en 2005 dans l'American Journal of Clinical Nutrition, a démontré le contraire. Grâce à l'IRMf, on a pu voir la réaction de l'hypothalamus à quatre stimuli : eau pure, solution de glucose, solution d'aspartame et malto- dextrine, un glucide dépourvu de saveur sucrée. Bilan : seul le glucose modifie l'activité cérébrale. « Les diabétiques peuvent sans risque assouvir leur appétence naturelle pour le sucré », conclut France Bellisle, chercheuse à l'Inra. Mais l'organisme ayant tendance à réclamer sa dose de sucre ne serait-il pas poussé à demander une compensation au repas suivant? « Cette compensation existe mais n'est que partielle, tempère France Bellisle. Et, globalement, les édulcorants intenses contribuent à diminuer l'apport énergétique. » Une quinzaine d'études le confirment : les utilisateurs d'édulcorants consomment en moyenne 10 % de calories en moins. Soit, dans le cadre d'une alimentation contrôlée, une perte de poids de 200 g par semaine.
• Leurs inconvénients :
Sans sucre ne signifie pas toujours moins calorique, consultez les calories indiquées sur les étiquettes. Des céréales allégées!' en sucre, par exemple, peuvent présentes autant de calories que celles avec sucre: Parfois, une tablette de chocolat sans sucre ne fera gagner que 3 dérisoires kilocalories.
Parce qu'ils sucrent énormément pour masse minime, on en utilise beaucoup moins que le saccharose. Les boissons light sont réellement moins caloriques que les sucrées car on compense la place perdue avec du liquide, et la promesse « light » est tenue.. Mais les produits transformés solides (produits allégés, céréales, tablettes de chocolat), qui contiennent des édulcorants intenses, doivent être comparés â leurs homologues sucrés : pour compenser leur faible masse, il faut parfois pour combler la place restante et conserver leur texture, ajouter des émulsifiants, gélifiants et même d'autres glucides. Bilan: la baisse de calories peut être inexistante.
L'aspartame est formellement contre-indiqué en cas de phénylcétonurie - une maladie génétique due au déficit d'une enzyme hépatique, qui peut entraîner d'import troubles neuropsychiques. Quant aux risques de cancers associés à l'aspartame, une étude italienne, qui l'accusait d'être responsable de leucémies chez des rats, avait relancé le débat en juillet 2005. Selon l'Autorité européenne de sécurité des aliments, cette étude est entachée de biais majeurs, « qui remettent en cause ses conclusions », explique Muriel Eliaszewicz, directrice de l'évaluation des risques nutritionnels et sanitaires à l'Afssa. Quoi qu'il en soit, la dose journal admissible (DJA) de l'aspartame (la quantité que l'on peut ingérer quotidiennement sans effets indésirables) est de 40 mg/kg porel, soit, pour une personne de 60 kg, 2 l'équivalent de 30 canettes de Coca light 80 sucrettes! « Même les enfants diabétiques qui consomment de l'aspartame à de fortes doses sont loin du compte ».
En espérant avoir répondu à ta question...
Amicalement...
2007-07-27 01:19:01
·
answer #2
·
answered by ๑۩۞۩๑Lou.Gorp๑۩۞۩๑ 7
·
2⤊
0⤋