Depuis 1855, chacun peut imaginer que les qualités respectives des vins de Bordeaux ont évoluées en 150 ans, en bien comme en mal. Le classement de 1855 ne reflète pas toujours la réalité des années 2000. Sur cette constatation, des producteurs et négociants du vignoble du Médoc ont proposé en 1932 une distinction nouvelle appelée à devenir la mention cru bourgeois qui peut être facultativement apposée sur les bouteilles récompensées.
En 1966, et 1978, deux palmarès syndicaux sont venus couronner officiellement la dénomination, pour aboutir à un classement officiel reconnu par l'État français. Ce classement a été réactualisé en 2003, et est devenu Le classement officiel des Crus Bourgeois par un Arrêté RF du 17 Juin 2003 concernant 8 AOC du médoc. Trois grandes catégories ont été définies :
Crus bourgeois (151 propriétés)
Crus bourgeois supérieurs (87 propriétés)
Crus bourgeois exceptionnels (9 propriétés)
Ceux-ci correspondent à environ 44% de la production totale de vin dans le Médoc.
Comme toute classification, elle est controversée et des propriétés de qualité exceptionnelle n'ont pas été ou n'ont pas voulu être inclues dans ce classement. On peut citer le Château Gloria et le Château Sociando-Mallet. Certains reclassés ont ainsi engagé un recours en justice, et la cour administrative d'appel de Bordeaux, le 26 février 2007, a annulé le classement de 2003
2007-03-26 01:47:39
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answer #1
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answered by Anonymous
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Ca n'aura plus de signification dans quelques semaines lorsqu'Arlette sera élue puisque les bourges vont disparaitre
2007-03-26 12:40:16
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answer #2
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answered by LUD.VAN B. 5
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Qu'il faut l'éviter, j'en ai pris il est a peine meilleur qu'un vin de table...
2007-03-26 08:48:57
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answer #3
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answered by Gérard G 5
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cela veut dire que dans les cités ouvrières nous n'avons droit qu'au "gros qui tache"
2007-03-26 08:48:34
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answer #4
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answered by Anonymous
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