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Taduction :
- rester longtemps au travail (ne veut pas dire bosser) = bon élément
- faire ses heures = bon à rien

2007-03-08 00:40:30 · 7 réponses · demandé par jéjé 3 dans Entreprises et finance Entreprises

Ailleurs j'ai plutôt la sensation qu'on a choisi l'efficacité et non la machine à café?!! Pas vous?

2007-03-08 00:51:42 · update #1

Remarque : je suis frelance et donc je passe de boite en boite et j'ai remarqué ça dans les boites françaises

2007-03-08 01:16:40 · update #2

7 réponses

c'est culturel: rester tard veut dire que l'on bosse beaucoup et que l'on s'implique dans son entreprise.
je ne suis pas d'accord avec le principe, mais cela fonctionne comme ca..
les réunions internes sont prévues vers 18h00 pour ne pas courcircuiter les boulots en cous.. du coup on rentre à pas d'heure...
je pense qu'on ne sait pas organiser notre travail, ou que l'on gère très mal les priorités...

2007-03-09 01:30:31 · answer #1 · answered by andrée 6 · 0 0

alors je suis une bonne à rien
à mon avis certains restent plus tard pour se faire bien voir...
ce qui compte c'est ce que tu as abattu comme travail et pas le temps que tu y passes (certains sont plus rapides que d'autres)

2007-03-08 08:45:56 · answer #2 · answered by isabelle la questionneuse 24 SA 6 · 2 0

Je ne pense pas qu'il s'agisse d'une tradition : certains travaillent trop, et d'autres se voient refuser de travailler... Les patrons, eux, ne sont pas dupes, ils savent très bien qui travaille bien ou pas. Ce qui est une tradition, en revanche, c'est la bureaucratie et la paperasse...

2007-03-08 10:10:01 · answer #3 · answered by Alambic 4 · 1 0

C'est une idiotie comme tu le soulignes. Cela témoigne d'un manque de maturité du management qui mesure la performance à l'aune du nombre d'heures fournies. D'ailleurs, en Allemagne, c'est l'inverse : Est jugé peut productif celui qui reste tard le soir.

Personnellement, je travaille dans un secteur, l'informatique, où le nombre d'heures importe peu du moment que les résultats sont là. Cela dit, les comportements individuels jouent aussi. Il y aura toujours des gens pour donner l'impression qu'ils en font plus que les autres, surtout quand le boss est là. Ah, nature humaine quand tu nous tiens !!

2007-03-08 10:04:47 · answer #4 · answered by discoverer 2 · 0 0

Tradition française je ne sais pas. Par contre tu as un patron assez con s'il juge ses employés ainsi...

J'ai des horaires très flexibles, en fait je viens quand je veux, et je travaille de chez moi si je veux. Donc si j'ai autre chose à faire une après-midi je me casse sans me poser de questions...

Par contre j'ai un certain volume de travail, et il va sans dire que si je ne le fais pas correctement je me ferai allumer...

Je travaille dans une boîte américaine, je ne pense pas qu'il y ait la même mentalité dans les boîtes françaises, en tout cas je suis ravi d'y travailler, je suis très indépendant et responsabilisé.

Le pendant de cette liberté, c'est que si j'en "profite" pour en faire le minimum je me ferai rapidement virer...

2007-03-08 08:57:11 · answer #5 · answered by Bas H 4 · 0 0

En droit, le temps de travail est un élément du contrat de travail. C'est déterminant dans un contrat à temps partiel.
Ce ne serait pas légal de travailler au dela du décompte d'heures prévues à moins que ces heures soient alors des heures supplémentaires et payées au tarif légal.

Dans la réalité, il y a plusieurs aspects.
Le travail des cadres n'est pas soumis à une telle exigence du décompte des heures, d'autant plus qu'ils gèrent pour la plupart l'heure d'arrivée au travail et l'heure du sortie du travail.
Dans un management par objectif, c'est l'objectif réalisé qui cadre le temps de travail. Cet objectif ayant fait au préalable l'objet d'une discussion, voire d'une négociation avec le chef de service ou d'unité.
Dans le secteur commercial, les cadres commerciaux doivent effectuer un quota de ventes. Libres à eux d'organiser leur temps en conséquence pour atteindre leurs objectifs de vente.

Quand dans un service, les salariés soumis à un temps de travail contractualisé ne parviennent pas à effectuer leurs tâches dans le temps imparti, c'est qu'il y a un vrai problème de management.
A mon avis il est alors du ressort du chef de service de rencontrer au plus tôt le salarié qui n'y parvient pas et de lui demander les raisons qui font qu'il reste dans les locaux de l'entreprise en dehors des heures légales.
Si cela devait se répêter plus fréquemment, alors le salarié devrait être convoqué par le directeur des ressources humaines afin de mieux cerner le problème et peut être d'examiner les raisons hors les raisons de travail qui font que le salarié ne rentre pas chez lui rejoindre sa famille, ses enfants, ses amis.

Il est important de considérer aussi l'aspect assurantiel de ce dépassement horaire. Car le règlement intérieur de l'entreprise qui doit obligatoirement etre affiché, mentionne les heures de rentrée sortie du travail. Ce petit alinéa servira en cas d'accident lors du trajet entreprise-domicile.
Il est souvent mentionné dans les bulletins et ordre de sortie des cadres hors de l'entreprise pour cette même raison du risque accidentel.

Dernier aspect, il ya quelques années, j'ai lu dans une enquête que la délinquance en "col blanc", piratage informatique, avait la plupart du temps lieux à propos de ces salariés qui ne parviennent pas à faire leur travail dans le temps imparti.
C'est pourquoi aux USA, la plupart du temps ces salariés sont sanctionnés et au contraire de chez nous considérés comme des salariés moins compétents que ceux qui travaillent dans le cadre legal imparti.

Pourquoi cette "tradition française" ?
une des grandes raisons c'est qu'autrefois, je vous parle de l'époque médiévale, la notion de travail n'existait pas dans sa conception actuel.
Le serf était corvéable à merci.
Le religieux - petites soeurs et petits frères des ordres religieux qui s'occupaient des malades des hospices ne considéraient pas cela comme du travail mais comme une mission de charité envers les plus démunis et les malades.

Je pense que cet état d'esprit perdure dans le service public : une sorte de mentalité oblative.
Le service aux autres doit rester à mon sens dans le cadre du bénévolat.

Conseillez donc à vos collègues qui vous semblent en font trop de donner ce temps qu'ils offrent gratuitement à votre patron, de plutôt donner ce temps à des associations.

2007-03-08 09:24:52 · answer #6 · answered by cadoume 1 · 0 1

Des hommes qui ont peur de rentrer chez eux pour se faire engueuler et sortir les poubelles.

2007-03-08 09:16:24 · answer #7 · answered by carine m 5 · 0 1

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