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2007-03-06 10:39:49 · 2 réponses · demandé par pingouin 3 dans Environnement

En faisant baisser le niveau de l'eau dans le sol on permet à une masse de sous-sol de monter en température sans pouvoir tranformer cette énergie en croissance végétale en surface . Cette montée en température modifie les échanges hydriques air/sol dans le sens d'une diminusion des précipitations et d'une augmentation de l'évaporation .
Ce phènomène de diminusion de la croissance végétal aggrave l'augmentation du CO2 non recyclé dans l'atmosphère

2007-03-06 10:55:12 · update #1

C'est bizard que ce genre de question soit limitée à une réponse par les maîtres du jeu Q/R.
Deplus la seule réponse rpépond du bout des lèvres et encore en faisant croire sans le prouver que le phènomène d'asséchement des sols n'a que peu d'incidence sur les échanges hydrique air/sol.
La pluviosité pourrait ne pas changer (dormez braves gens), alors que la part de réévaporation pourrait augmenter et l'infiltration profonde diminuer ( on vous enverra la facture d'eau )

2007-03-08 21:17:53 · update #2

Quelque chose comme ca?http://www.dailymotion.com/jeandb/video/x15f8f_reportage-biefs-du-pilat

2007-03-09 22:51:57 · update #3

2 réponses

C pas faux !
Personnellement, j'aurais même rajouté que la surexploitation des nappes entraîne une diminution du niveau des cours d'eau et des "plans" d'eau (lacs, étangs, mares, ...) ce qui par conséquent diminue le relargage d'eau par évaporation de ces eaux (qualifiées d'eaux de surface).

Mais bon, ce phénomène n'a à l'heure actuelle que peu d'impacts vu que les nuages se forment au-dessus de la mer et que les quelques m3 d'eau qui disparaissent ainsi ne sont rien vis-à-vis des millards de m3 d'eau des mers ...

2007-03-06 20:59:59 · answer #1 · answered by Sylvain B 3 · 2 0

La "surexploitation", c'est un mot qui s'explique de soi-même, assez, je pense. Il s'agit d'un habitude qui dépasse les bornes normales, et c'est ainsi possiblement quelque chose de trop.

Je ne m'y connais pas en écologie, mais je pense que ce ne serait pas forcément un désastre si l'on fait quelque chose en contrepartie, tel que planter des buissons ou établir des clôtures où que le sol soit usé. Ces mésures-ci pourraient effectuer le ratrappement et la percolation de l'eau. Une baisse en température sous le sol serait ainsi une possibilité.

L'Ouest des États-Unis, après la Première Guerre Mondiale, est devenu très sec, et on l'avait surnommé le "Dust Bowl". C'était dans un état qui ressemblait à un désert. Les gens du "Midwest" ont néanmoins réussi à rétablir la fértilité du sol et avertir le grande gaspillage de la terre dans la région. On a utilisé une mélange des mesures afin de ménager l'eau et la terre.

En revanche, le pays de l'Égypte se sert de l'irrigation depuis l'époque ancienne, et cette méthode marche encore, ou au moins autant que je sache. Il n'y pleut beaucoup, ça va de soi.

2007-03-09 22:56:01 · answer #2 · answered by spanner 6 · 0 0

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