English Deutsch Français Italiano Español Português 繁體中文 Bahasa Indonesia Tiếng Việt ภาษาไทย
Toutes les catégories

si on prend l' exemple de la marmelade d' orange par exemple !

2007-02-27 01:15:37 · 6 réponses · demandé par gungnir 80 6 dans Gastronomie et boisson Recettes de cuisine

6 réponses

oups...je ne connais toujours pas la réponse!!!
au fait ta qtion sur les biscuits a été virée?C'est dég qd-même!

2007-02-27 01:22:02 · answer #1 · answered by Anonymous · 0 1

Bon, grosso modo, mis à area un blaireau, tu n'as ecu que des réponses de connaisseurs. C'est loin d'être mon cas. Je ne suis un grand fan de confiture, je trouve ça trop sucré. Petit, j'aimais bien l. a. gelée de groseille ou sinon, les formules "plus de fruit, moins des sucre" ! Tu vas en faire ?

2016-12-18 11:51:27 · answer #2 · answered by Anonymous · 0 0

la difference a l'origine entre marmelade et confiture est que l'une comporte des morceaux de fruits et que l'autre non ..

Préparation de fruits frais que l'on fait cuire avec du sucre ou un sirop jusqu'à ce qu'ils prennent l'aspect d'une bouillie épaisse pouvant ensuite être conservée plusieurs mois. Marmelade de pommes, de tomates vertes. Tous ces croûtons se trempent dans du beurre fondu. Placez votre marmelade dedans par lits et ajoutez entre chaque lit un lit de marmelade d'abricots (CHAMPFL., Souffr. profess. Delteil, 1855, p. 84). Il faudra que j'achète dans une maison anglaise un de ces pots de marmelade à l'orange si délicieusement sures (HUYSMANS, Là-bas, t. 1, 1891, p. 92). V. compote ex.1.
P. anal. État d'un objet, d'un corps écrasé, réduit en bouillie. Mon chapeau resta entre les mains ou plutôt entre les dents de l'ennemi. L'instant d'après, ce n'était plus rien qu'une pâte, une marmelade, une bouillie de chapeau! (ABOUT, Roi mont., 1857, p. 216). Ce n'était plus un lion que Tartarin avait tué, c'étaient dix lions, vingt lions, une marmelade de lions! (A. DAUDET, Tartarin de T., 1872, p. 133).
En marmelade, loc. adv. et adj., fam. Synon. en compote.
[En parlant d'une pers., d'une partie du corps] Brisé, contusionné, meurtri. Gaspard, lui, ruminait: «Sale déveine!... Pour une fois que j'voyage à l'œil, faut qu'j'aie la fesse en marmelade» (BENJAMIN, Gaspard, 1915, p. 78). On ne pouvait faire un pas, dans certaines provinces, sans rencontrer (...) un Jugurtha mis en marmelade, par une sorte de colosse barbu (L. DAUDET, Sylla, 1922, p. 176). Assez bourlingué, Capitaine, je commence à avoir les plantes des pieds en marmelade (ARNOUX, Rêv. policier amat., 1945, p. 205).
Au fig. ou p.métaph. Situation confuse, difficile; embrouillement. Synon. embarras, méli-mélo (fam.). Non, pour nous tirer de la marmelade, j'ai une idée, un moyen sûr (ARNOUX,Roi, 1956, p. 66). Je n'arrive à bout de rien, ni à être honnête ni à être malhonnête... Tous les ennuis d'un peu de tout et la joie de rien de complet... C'est une marmelade où il y a de tout sans doute, mais rien de parfait car de tout il n'y a qu'un morceau (MOUNIER, Traité caract., 1946, p. 446).
REM. Marmelasse, subst. fém., hapax, synon. de marmelade. Le ciel est remonté chez lui, il gardait ses nuages comme tout le monde. Plus de cette espèce de marmelasse qui dégouline sans arrêt, qui dégueule en plein paysage (CÉLINE, Mort à crédit, 1936, p. 301).
Prononc. et Orth.: []. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. 1. 1573 [éd.] confitures sèches et mermelades (PARADIN, Hist. de Lyon, p. 316 ds GDF.); 1602 marmelade (J. LHERMITE, Le Passe-temps, I, 1890, 155 ds QUEM. DDL t. 13); 2. a) 1668 en marmelade fig. (LA FONTAINE, Fable, V, 8: une ruade qui ... met en marmelade les mandibules et dents); b) 1690 en marmelade «trop cuit» (FUR.); 3. 1887 «misère» (VERLAINE, Corresp., t. 3, p. 196); 4. 1929 «gâchis» (DUHAMEL, Le Club des Lyonnais (éd. Mercure de France), 1948, p.142). Empr. au port. marmelada «confiture de coings» (1521 ds MACH.3); dér. de marmelo «coing», lui-même issu, par l'intermédiaire du lat. vulg. malimellus «pomme douce», «coing» (ISIDORE ds COR.-PASC.), du lat. melimelum «sorte de pomme douce» (v. TLL), «coings imprégnés de miel, confiture de coings» (MARTIAL, Épigrammes, XIII, 24, éd. H. J. Izaac, t. 2, p. 198), lui-même empr. au gr. «sorte de pomme douce» (de «miel» et «pomme»). Il n'est pas nécessaire de rattacher, comme le fait le FEW t. 6, 1, p. 663a, l'anc. forme mermelade à l'esp. mermelada «confiture de coings» (1570, COR.-PASC., s.v. membrillo), mais il faut plutôt y voir, comme COR.-PASC., une simple var. de marmelade (de même, p. ex., que la forme anc. de larme est lerme). On trouve aussi la formation fr. marmeline «confiture de coings» dans un texte norm. de 1541 (A. DE FRÉVILLE, Commerce de Rouen, I, 357 ds ROLL. Flore t. 5, p. 16). Fréq. abs. littér.: 60. Bbg. ARV. 1963, pp.333-334.


CONFITURE, subst. fém.
A. Préparation consistant en fruits, ou plus rarement en autres végétaux, laissés entiers ou ayant subi un traitement, et cuits avec du sucre pour les conserver. Faire des confitures; écumer la confiture; manger des confitures, de la confiture au dessert; confiture d'abricots. Dès que la confiture fut cuite à point, elle déposa la bassine fumante sur les marches du perron (THEURIET, Le Mariage de Gérard, 1875, p. 101). Une cuillerée de confitures m'attendait, avec un verre d'eau fraîche. L'hospitalité roumaine n'oubliait jamais ces complaisances (VERCEL, Capitaine Conan, 1934, p. 71). Cela me navrait de la voir perdre des heures à recouvrir de parchemin des pots de confitures (S. DE BEAUVOIR, Mémoires d'une jeune fille rangée, 1958, p. 276) :

1. Parfois ils s'accordent une douceur. C'est du raisiné tiré d'un verre enveloppé de linge fin, confiture faite avec les fruits de leur jardin cuits dans leur vin, du vin doux, et réduite, qui est un dessert tonique et que l'on étend en couche sombre sur sa miche.
PESQUIDOUX, Le Livre de raison, 1925, p. 10.

2. ... Mme Baudoin disait : « Nous n'avons plus rien pour faire des confitures. Les mûres des ronciers doivent être à point sur le plateau. Nous allons en cueillir. Enfants! Enfants! Rassemblez les paniers. »
G. DUHAMEL, Chronique des Pasquier, Suzanne et les jeunes hommes, 1941, p. 128.

SYNT. Bassine à confitures; boîte (vieilli), pot de confitures; confiture liquide, sèche; une tartine de confiture.
Péj. Symbole de douceur excessive, de faiblesse :

3. Au premier essai, sous prétexte que l'expérience du ministère [sacerdotal] dément leur petite jugeote, ils lâchent tout. Ce sont des museaux à confitures. Pas plus qu'un homme, une chrétienté ne se nourrit de confitures. Le bon Dieu n'a pas écrit que nous étions le miel de la terre, mon garçon, mais le sel.
BERNANOS, Journal d'un curé de campagne, 1936, p. 1039.

B. [P. anal. avec la couleur ou l'aspect des confitures]
1. Péj. [En parlant d'une peinture, d'un tableau] Couleur qui manque de naturel, de réalisme. Sur les murs nus, on avait peint des chameaux et des palmiers, noyés dans une confiture rose et violette (CAMUS, L'Exil et le royaume, 1957, p. 1563).
2. Arg. Préparation hallucinogène :

4. « Ah! oui, je sais, le haschich, l'opium, la confiture verte, les paradis artificiels. J'ai lu Baudelaire; et j'ai même goûté la fameuse drogue, qui m'a rendu fort malade. »
MAUPASSANT, Contes et nouvelles, t. 2, Rêves, 1882, p. 782.

C. Au fig., fam. [En parlant d'un inanimé et, spéc., d'une partie du corps hum.] En confiture. Brisé. Synon. en compote, en marmelade. Je pouvais pas croire qu'il était mort (...) et pourtant je le revoyais avec sa tête en confiture (CÉLINE, Mort à crédit, 1936, p. 682).
Rem. Selon Ac. 1932 le mot s'emploie le plus souvent au plur.; cet usage n'est plus respecté.
Prononc. et Orth. : []. Ds Ac. 1694-1932. Étymol. et Hist. Fin du XIIIe s. (PERROT DE NESLES, Chanson ds Edw. JÄRNSTRÖM, Recueil de chansons pieuses p. 151 : siros confis de douce confiture); 1866 pop. en confiture (Lar. 19e). Dér. de confit, part. passé de confire; suff. -ure*. Fréq. abs. littér. : 443. Fréq. rel. littér. : XIXe s. : a) 289, b) 968; XXe s. : a) 770, b) 655.
DÉR. Confitureux, euse, adj., péj. [En parlant d'un style] Facile, médiocre. Dans un style agaçant et confitureux bourré toutefois des bienséances oratoires (COURTELINE, Messieurs-les-Ronds-de-cuir, 1893, 5e tabl., 1, p. 170). 1re attest. 1893 id.; de confiture, suff. -eux*. Fréq. abs. littér. : 1.
BBG. DARM. Vie 1932, p. 42.

2007-02-27 01:29:29 · answer #3 · answered by de_lege_feranda 4 · 1 1

tout simplement le taux de sucre ajouté est 50 % dans la confiture, souvent les fruits sont en morceaux , la marmelade beaucoup moins et les fruits en bouillie

2007-02-27 01:26:05 · answer #4 · answered by Bas de Soie 4 · 0 0

la confiture, c des fruit confits, et la marmelade, c des fruits frais broyés et caramélisés

2007-02-27 01:21:41 · answer #5 · answered by kalipuce 6 · 0 0

je n'aime pas la marmelade et j'adore la confiture!

2007-02-27 01:24:38 · answer #6 · answered by ludi1978 3 · 0 1

fedest.com, questions and answers