combien il y a d'erreurs dans ce texte (verbe, orthographe,ponctuation etc)?

Question

Marie-Éve est là, tout près, si belle. Ces reflets rouge bonbons sur son visage, sur la mer devant nous à perte de vu et, tout là bas, l'île mirage nous attend.
Marie-Éve, ma vivante, toi sur qui je voudrait m'appuyer, qui saurait libérer ma poitrine et ma gorge de la main d'ombre qui m'étouffe, toi, la seule, que je garderais, qui m'apprendrais peut être enfin à aimer! Dit-moi qu'il n'est pas si tard, Marie-Éve, qu'il n'est pas trop tard. Que tu feras reculer toutes les limites, toutes les frontières. Que tu est le commencement. Relèves la tète, Marie-Éve, je tant prit, reprend ta plume, toi qui peut encore écrire. Sur les quelques pages blanches qui te reste, invente l'espace et le temps infini où je pourrai te rejoindre, immortels avec toi, défiant le Dieu que je nit et qui persiste à nous épié, à l'abri de sa auteur et de son indifférence. Nos bouches liés l'une à l'autre, nos souffles et les battements de nos artères confondu, nous crieront victoire.

J'ai trouvé 22 erreurs

Answer 1

22 erreurs aussi si tu ne comptes la faute sur Éve qu'une seule fois ;-)

Ah non !

En réécrivant le texte, 24 !


Marie-Eve(1) est là, tout près, si belle. Ces reflets rouge bonbon(2) sur son visage, sur la mer devant nous à perte de vue(3) et, tout là-bas(4), l'île mirage nous attend.
Marie-Eve, ma vivante, toi sur qui je voudrais(5) m'appuyer, qui saurait(6) libérer ma poitrine et ma gorge de la main d'ombre qui m'étouffe, toi, la seule, que je garderais, qui m'apprendrait(7) peut-être enfin à aimer ! Dis(8)-moi qu'il n'est pas si tard, Marie-Eve, qu'il n'est pas trop tard. Que tu feras reculer toutes les limites, toutes les frontières. Que tu es(9) le commencement. Relève(10) la tête(11), Marie-Eve, je t'en(12) prie(13), reprends(14) ta plume, toi qui peux(15) encore écrire. Sur les quelques pages blanches qui te restent(16), invente l'espace et le temps infinis(17) où je pourrai te rejoindre, immortel(18) avec toi, défiant le Dieu que je nie(19) et qui persiste à nous épier(20), à l'abri de sa hauteur(21) et de son indifférence. Nos bouches liées(22) l'une à l'autre, nos souffles et les battements de nos artères confondus(23), nous crierons(24) victoire.

Answer 2

Oui 21 ou 22 à peu près.

C'est quoi ce texte ?

Answer 3

J'en trouve 19 mais je n'ai pas vérifié la ponctuation et les accents...

Answer 4

Tu mets tes leçons de grammaire et d'orthographe en application.

Answer 5

J'en ai trouvé 17, mais pourquoi cette question ?

Answer 6

Allez coco ! Va dans ta chambre finir tes devoirs !

Answer 7

Marie-Éve est là, tout près, si belle. Ses reflets rouges bonbons sur son visage, sur la mer devant nous à perte de vue et tout là bas, l'île mirage nous attend.
Marie-Éve, ma vivante, toi sur qui je voudrai m'appuyer, qui saurait libérer ma poitrine et ma gorge de la main d'ombre qui m'étouffe, toi, la seule, que je garderai, qui m'apprendrait peut être enfin à aimer! Dis-moi qu'il n'est pas si tard, Marie-Éve, qu'il n'est pas trop tard. Que tu feras reculer toutes les limites, toutes les frontières. Que tu es le commencement. Relève la tête, Marie-Éve, je t'en prie, reprend ta plume, toi qui peux encore écrire. Sur les quelques pages blanches qui te restent, invente l'espace et le temps infini où je pourrai te rejoindre, immortel avec toi, défiant le Dieu que je nie et qui persiste à nous épier, à l'abri de sa hauteur et de son indifférence. Nos bouches liées l'une à l'autre, nos souffles et les battements de nos artères confondus, nous crierons victoire.

Answer 8

Moi, je n'ai jamais demandé à personne de faire mes devoirs.

Answer 9

Marie-Éve est là, tout près, si belle. Ces reflets rouge bonbon (1) sur son visage, sur la mer devant nous à perte de vue(17) et, tout là bas, l'île mirage nous attend.
Marie-Éve, ma vivante, toi sur qui je voudrais (2) m'appuyer, qui saurais(18) libérer ma poitrine et ma gorge de la main d'ombre qui m'étouffe, toi, la seule, que je garderai(19), qui m'apprendra(20)s peut être enfin à aimer! Dis(3)-moi qu'il n'est pas si tard, Marie-Éve, qu'il n'est pas trop tard. Que tu feras reculer toutes les limites, toutes les frontières. Que tu es(4) le commencement. Relève(5) la tê(6)te, Marie-Éve, je t'en(7) prie(8), reprends(9) ta plume, toi qui peux(10) encore écrire. Sur les quelques pages blanches qui te restent(11), invente l'espace et le temps infini où je pourrai te rejoindre, immortels avec toi, défiant le Dieu que je nie(12) et qui persiste à nous épier(13), à l'abri de sa h(14)auteur et de son indifférence. Nos bouches liée(15)s l'une à l'autre, nos souffles et les battements de nos artères confondus(16), nous crieront victoire.
Bon 20 fautes sans compter la ponctuation et en allant vite...