c'est la maladie de crohn dont tu parles.je connais cette maladie vcar le suis gastro et je soigne des malades atteints de cette maladie.c'est le traitement idéale pour toi l'imurel permet d'éviter ou de réduire le risque de rechutes aprés la chirurgie. mais il faut que tu saches que c'est une maladie chronique avec un risque de poussées trés fréquent.
2007-06-21 10:08:19
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answer #1
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answered by gastronad 1
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Maladie de Chron, fortement handicapante. Attaque une bonne partie de l'appareil digestif.
Le traitement commence avec le penthasa, après il y a l'injection de "remicade", et après .... j'attends l'évolution pour savoir.
Pour l'instant j'en suis avec les fistules purulentes ..... Je ne sais que dire.
Si tu as cette maladie, je suis de tout coeur avec toi ; je la vis tous les jours.
2007-06-21 10:38:58
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answer #2
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answered by Giroflée ₪ née Renarde ₪ 7
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On appelle ça la "Maladie de Crohn", c'est une atteinte notamment des intestins.
C'est une maladie qui n'est pas mortel en premier lieu, mais qui est très handicapant quotidiennement.
Les symptômes sont divers, ça peut aller des douleurs abdominales à la fièvre en passant par une énorme perte d'appétit (la perte de poids est un symptôme significatif d'ailleurs). Ces symptômes sont variables en nombre et en intensité d'une personne à l'autre.
L'origine n'est pas déterminée, il semble que le facteur stress y soit pour quelque chose mais ça reste hypothétique. La maladie évolue par crises, il y a des périodes où la personne se porte relativement bien et des périodes où le quotidien est très difficile.
Il n'existe pas de traitement pour guérir, seulement de traitement qui permettent d'espacer les "crises" et de diminuer leur intensité. Dans les cas les plus sévères, la chirurgie conduit à retirer la partie de l'instestin qui est malade, ces cas sont heureusement assez ponctuels.
Voilà un résumé rapide de ce que je peux te dire sans être trop exhaustif, d'autres personnes t'en parleront mieux que moi.
2007-06-21 08:15:40
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answer #5
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answered by Anonymous
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Bonjour,
La maladie de Chron
Les symptômes
La maladie s’exprime par des signes digestifs, mais aussi non digestifs.
Les signes digestifs :
Les manifestations digestives varient selon le segment digestif atteint.
Si la maladie touche l’iléon, elle se révèle le plus souvent par des douleurs abdominales et de la diarrhée.
Les douleurs peuvent parfois simuler une appendicite aiguë ; le diagnostic n’est alors fait qu’après l’intervention chirurgicale.
L’intensité de la diarrhée est variable. Quelquefois modérée, elle alterne avec des épisodes de constipation. D’autres fois abondante, elle s’accompagne d’une mauvaise absorption des aliments au niveau de l’intestin grêle. Dans ce cas, on observe un amaigrissement – parfois important –. Mais le plus souvent, l’état général n’est pas altéré. Une fièvre peut cependant apparaître en cas d’infection.
Lorsque la maladie siège au niveau du côlon, avec ou sans atteinte du grêle, les symptômes sont peu différents. L’existence de lésions du rectum associées est responsable de douleurs, de faux besoins, parfois d’émission de glaires ; dans ce cas, des lésions anales existent souvent (30 % des cas). Il s’agit de fissures, d’ulcérations, d’abcès avec fistule, ou d’un rétrécissement du canal anal.
Quelquefois la maladie se limite à la région ano-rectale.
Les différentes localisations de la maladie de Crohn :
• le grêle terminal est atteint isolément dans 29 % des cas,
• l’iléon et le cæcum dans 50 % des cas,
• l’ensemble du côlon droit et une partie du côlon transverse dans 19 % des cas, les lésions siègent dans la partie terminale du côlon : rectum et sigmoïde dans 2 % des cas.
Les manifestations non digestives
A côté des symptômes digestifs, il existe des manifestations générales – dites systémiques – présentes dans 20 % des cas. Elles touchent différents organes : articulations (polyarthrites), peau (érythème noueux, ulcérations cutanées), yeux (conjonctivite), foie,... Ces manifestations sont plus fréquentes lors de l’atteinte colique.
Lorsque les manifestations générales ou les symptômes ano-rectaux sont au premier plan, le diagnostic peut être difficile à faire.
Evolution de la maladie de Crohn
La maladie de Crohn est une maladie chronique, faite d’une succession de périodes de «poussées aiguës» et de rémissions. Elle débute le plus souvent chez l’adulte jeune – entre 20 et 30 ans –, mais elle peut aussi survenir chez l’enfant.
La vraie question pour le médecin, et surtout pour le patient, est de connaître à l’avance l’évolution. La réponse est difficile.
En effet, l’importance des lésions constatées par la coloscopie ne permet pas de prévoir l’évolution de la maladie ni sa réponse au traitement. De même, aucun marqueur biologique ne permet à ce jour de suspecter une rechute. Toutefois, un certain nombre d’informations sur votre état, recueillies pendant la consultation, permettent de calculer des scores associant des éléments cliniques et biologiques. Ils permettent d’apprécier l’activité de la maladie.
On décrit ainsi différentes formes évolutives de la maladie : les formes récurrentes, bénignes ou sévères. Fort heureusement, l’évolution de la maladie est modifiée par les traitements.
Les complications de la maladie
La plupart des complications peuvent être évitées ou arrêtées dans leur évolution par le traitement. D’où la nécessité de suivre correctement la prescription et les conseils du médecin et de se faire suivre régulièrement par celui-ci. En dehors de la fistule, les complications sont rares.
La fistule
La complication la plus fréquente est la fistule. Elle est due à des phénomènes inflammatoires avec constitution d’un abcès qui finit par s’ouvrir dans les organes voisins. Ainsi la fistule met en communication le segment intestinal malade avec un autre segment digestif, ou avec un organe du voisinage (vessie, organes génitaux chez la femme, ou peau).
La constitution d’une fistule s’accompagne de douleurs, d’une altération de l’état général et de fièvre.
L’occlusion intestinale
Elle est la conséquence du rétrécissement d’un segment digestif ; elle cède le plus souvent à un traitement médical.
La perforation intestinale est rare
Elle constitue une urgence chirurgicale en raison des risques liés à la péritonite aiguë.
Les hémorragies
Les lésions intestinales peuvent saigner, mais ces hémorragies sont généralement très discrètes.
Le risque de survenue d’un cancer intestinal
Il est exceptionnel. Sa prévention passe par des contrôles endoscopiques
réguliers mais espacés.
Mais aussi :
L’état inflammatoire et la malabsorption intestinale des aliments peuvent
parfois être responsables d’une anémie, de la présence de graisse dans les selles et d’une fuite des protéines ; le tout pouvant aboutir à un état de dénutrition avec amaigrissement et Ådèmes.
Le risque de calculs de la vésicule biliaire est plus élevé que dans une population normale, de même que celui de calculs rénaux.
Une surcharge en graisse du foie (stéatose) peut exister.
La surveillance de la maladie
La surveillance est indispensable : elle permet d’adapter le traitement, de juger de l’efficacité de celui-ci, et de contrôler l’absence de complication. Elle est essentiellement clinique, l’endoscopie n’occupant qu’une place limitée. La pratique d’une coloscopie à intervalles réguliers (avec biopsies) – après un certain temps d’évolution de la colite inflammatoire – a pour seul objectif de dépister d’éventuelles lésions « précancéreuses ».
A+
2007-06-21 08:13:25
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answer #6
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answered by Le Petit Prince™ reviendra ! 5
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