En Afrique du Sud, du temps de l'apartheid, deux blancs et un noir viennent de recevoir leur condamnation et sont transférés en prison. Sur la route, le premier blanc demande au second : - Qu'est-ce que t'as fait et combien t'as pris ? - J'ai tué un noir. J'en ai pris pour deux ans. Mais avec les circonstances atténuantes, dans un an je serai sorti. Puis le second blanc pose la même question au premier : - Et toi alors ? - Ben moi, j'ai tué toute une famille de noirs et ils m'en ont mis pour cinq ans. Mais avec les circonstances atténuantes, dans deux-trois ans je devrais pouvoir être sorti. Alors le second blanc se tourne vers le noir : - Et toi ? - Moi ? Je roulais en vélo mais sans éclairage. Ils m'en ont collé pour trente ans. Mais comme il faisait jour quand ils m'ont attrapé, je pense être sorti dans quinze-vingt ans.
2007-05-18
19:27:09
·
6 réponses
·
demandé par
eric90
4
dans
Musique, ciné, tv, loisirs
➔ Blagues et humour
En Angleterre , dans un train, un américain essaie de faire la morale à un anglais assis en face de lui : - Vous les anglais vous êtes trop guindés, trop stricts ! Regardez-vous, depuis 2 heures que l'on est dans ce compartiment, vous n'avez pas cherché à engager la conversation . Vous prenez l'air supérieur, et faites semblant de lire le Times. Nous les américains, nous sommes détendus. Ca doit venir du brassage des populations. Moi par exemple, j'ai du sang italien , du sang français, un peu de sang indien et un peu de sang suédois... Qu'est-ce-vous dites de ça ? - C'est très sport de la part de votre mère.........
2007-05-18
19:27:18 ·
update #1
Après le grand défilé sur la place Rouge, Boris Eltsine s'adresse à la foule :" Notre pays, grand pays de tradition et de ..." et on entend un type qui crie : "Marrons glacés, demandez mes marrons glacés !". Alors, le président Eltsine, furieux d'avoir été coupé dans son élan dit : "Le premier qui m'interrompt avec ses marrons glacés, je le fait virer du pays illico !" Et la foule reprend en coeur : "Marrons glacés, demandez mes marrons glacés !"
2007-05-18
19:30:10 ·
update #2
En 1989, les troupes russes quittent l'Afghanistan. Tous les soldats sont fous de joie de rentrer chez eux, sauf un: le deuxième classe Ivan Popov, qui se porte volontaire pour rester à Kaboul. - Voilà un véritable héros du peuple ! s'exclame son général. Convoquez-le dans mon bureau. Cinq minutes plus tard, le soldat Popov est au garde à vous devant son général. - Alors tu es volontaire pour rester en Afghanistan ? demande ce dernier. - Da, camarade général. - Tu veux lutter contre l'impérialisme américain et soutenir le combat révolutionnaire de nos frères afghans ? - Euh...Da camarade général. - Bravo! Tu seras décoré! Ça fera plaisir aux gens de ton village!... Au fait, d'où es-tu originaire, Popov ? - De Tchernobyl, camarade général.
2007-05-18
19:31:24 ·
update #3