Chez certaines personnes,parfois il est impossible e d'ârrêter les benzodiazépines?

Question

Croyez-vous que ceci et possible chez certaines personnes?Ceci me fait peur car je suis en sevrage progressif de tranxêne et ceci n'est pas facile à vivre du tout, mais j'attend avec hâte le moment ou je serai à 0.Mais même si je vais très lentetement j'ai peur de me retrouver en manque ou de devoir en prendre toute ma vie, ils me rendent très dépressives que dois-je faire pour m'en sortir, je ne veux plus consommer de BZD, j'ai trop souffert avec.Et je veux récuperer mon petit garçon!

Answer 1

il faut en effet diminuer extrèmement lentement : sur plusieurs mois!
Il faut comprendre que les benzo n'ont plus aucun effet au bout de 12 semaines (on ne devrait jamais les prescrire plus longtemps) du fait de l'accoutumance. Donc passé ce délai, leur seul effet est de... pallier le manque de benzo!

Il faut s'en débarasser avec résolution!
il faut être bien soutenu et vraiment convaincu de la nécessité de la démarche, mais tu en a l'air. Il faut parfois prendre un traitement anti-dépressuer : celui-ci n'a aucun effet d'accoutumance, mais il traite REELLEMENT la cause de ton angoisse, contrairement au tranxene qui n'en est qu'un anésthésiant éphémère.

Courage, c'est TOUJOURS possible!

Answer 2

mérite une étoile pour la question
dur, très dur comme pour la drogue car l'accoutumance se crée comme pour la drogue et de manière encore plus lourde que pour la cigarette
en plus c'est autorisé!
par ailleurs, comme pour le LSD en particulier, les neurones en prennent un bon coup
exemple courant: les personnes âgées ayant abusé du temesta dérivé des bzd.
reste la cure progressive rigoureusement suivie par un médecin et de préférence le médecin de famille (avec qui on peut parler et tout dire; si, si çà existe encore beaucoup!)
il faudra y ajouter le psy mais en lien avec le médecin de famille
et donc régler en parrallèle tous les problèmes d'angoisse existancielle.
qui que tu sois deux grosses bises du coeur en encouragement!
courage ç'est possible et çà marche!
avec, à garder au fond du coeur, la volonté de gagner pour retrouver un beau petit garçon au bout de ce chemin difficille mais à ne faire jamais seul.
tu vas gagner!!!

en complément et en toute gentillesse pour christine:
j'ai trop fait de psy et rencontré des malades réellement drogués aux bzd que je ne peux être d'accord avec le laxisme de prescription existant chez beaucoup de médecins de ville traitant de manière trop longue sans assoir leur prescription minute sur une approche psy du probleme en lien avec un psy ou à la rigueur un bon psyco au départ faute de joindre le psy (ce qui extrèmement rare compte tenu de la sectorisation psy)
bzd oui donc mais en lien avec le spé, pour la phase aigüe et avec un contrôle constant de l'accoutumance.
oui aussi parfois en traitement de fond de remplacement chez les drogués en désintoxication du fait de problèmes psy sous jacents

Answer 3

Le principe de dépendance en pharmacologie est établi lorsqu'à l'arrêt d'un produit, on voit apparaître dans un certain nombre de cas des convulsions. Les benzodiazépines répondent à ce critère. Ce critère est toutefois sans aucune relation avec la notion de "dépendance psychique" qui est le principal moteur de la consommation. (Le tabac qui est un produit à très forte dépendance psychique, n'engendre pas de convulsion au sevrage). Le fait que l'arrêt du produit engendre des troubles est un élément plus général du phénomène de dépendance physique. Pour les benzodiazépines, outre parfois des convulsions, on constate un raptus anxieux qui enclenche une nouvelle consommation.

La dépendance psychologique est plus floue et de moins standardisable. On peut en retenir que l'appétence des produits à dépendance psychique est liée au contexte de consommation : il y a des lieux, des horaires ou des circonstances qui engendrent de besoin du produit. L'usage régulier tend à faire augmenter les doses pour retrouver les mêmes effets : on parle de "tolérance au produit".

Les benzodiazépines, si elles présentent toutes les caractéristiques de produit à dépendance psychique, n'engendrent pas de pathologie organique ou sociale à l'instar par exemple du tabac, de l'alcool ou de l'héroïne par exemple. Encore faut-il que les doses soient raisonnables, respectées par le patient, et qu'il n'y ait pas de mélange explosif, ce qui est malheureusement l'essentiel de la problématique avec ces produits.
Accessoirement il ne faut pas négliger le fait que le "non arrêt" de ces molécules a un coût considérable.

En pratique donc, ces produits doivent être si possible réservés à la crise anxieuse, et la durée de traitement doit être la plus réduite possible.

Answer 4

Tu pourras l arreté le servrage est long mais primordial il faut y allé progressivement mais il est evident que tu vas l arreté !
Je travail en secteur psychatrique ce que te dit michel d et faut , il dois pensé au meutre qu il y a eu a Pau ces malades sont sous neuroleptique (+fort que BZD) et lorsqu ils comment des actes aussi violent c'est qu ils ont arreté leur traitement d un coup !

Answer 5

Debarassez-vous le plus vite possible de cette merde avec psycho,acupuncture,homéos
,plante,n'importe quoi mais sevrez-vous.
Cette merde est DANGEREUSE mais délivré par des psychiatres ou médecins incompétents.Risques de violences,meurtres,suicides.
Mon fils s'est suicidé apres 1 an de XANAX et VALIUM.
J'en ai la certitude apres de nombreux témoignages ,que ces BZD ,en lui changeant sa personnalité, l'ont conduit au suicide.
D'ailleurs lisez les journeaux.Dans tous ces crimes affreux,regardez bien et vous verrez que ces personnes suivaient un traitement a base de BZD .Ne parlons pas des peoples qui comme N......... et D........ ont expliqué qu'il avait pris des BZD avant de commettre leurs violences.

Answer 6

TU AS PRIS SES MÉDICAMENTS (BZD)CAR TU EN AVAIS BESOIN, MAIS LE MÉDECIN T'AS T'IL DIT QU'ILS ENTRAINAIENT ,UNE DÉPENDANCE PHYSIQUE ET PSYCOLIGIQUE ?SI TU AS DÉCIDÉ UN SEVRAGE , IL FAUT ÊTRE TRÉS VIGILANT CAR TU T'EXPOSE À DES RISQUES NON NÉGLIGEABLES ET IL FAUT ALLER DOUCEMENT EN UTILISANT UNE BZD DE DEMI VIE LONGUE (VALIUM) EN BAISSANT TRÉS PROGRESSIVEMENT SES DOSES , UN SOUTIEN MÉDICOPSYCHOLOGIQUE OU UNE HOSPITALISATION SONT UTILES

Answer 7

ce médicament ne te convient pas c'est une évidence demandes à ton médecin de le remplacer par un autre pendant quelques temps et ensuite tu recommence un sevrage progressif du nouveau afin de te débarrasser définitivement de ces médicaments, si tu fais le sevrage sérieusement tu ne seras pas en manque, mais si tu te sens dépressive ou nerveuse va voir un homéopathe le traitement sera plus doux et tout aussi efficace

Answer 8

Fais toi aider par un psychologue ce sera plus facile

Answer 9

mon expérience: j' emploie cette molécule depuis quelques années. diminuer est pour moi possible/ en général je "tourne" autour d' un certain dosage;je reste prudent car je connais les effets secondaires du médicament/ envie de suicide/anorexie/aggravation de la dépression. on peut arriver à arrêter complètement; cela demande du temps et un suivi médical strict. c' est reconnu effectivement comme drogue et même drogue dure par des spécialistes - ma thérapeute et moi avons eu des conveersations assez "difficiles" quand à ce sujet. me concernant, je connais des troubles nerveux graves depuis longtemps et c' est malheureusement la seule molécule qui peut m' apporter en cas de crise un soulagement. si le médicament te rend dépressive - signales le d' urgence à ton médecin ou prends conseil chez un autre médecin.il est important d' être en contact très étroit avec son médecin ou son thérapeute ds ce genre de cas. la mise en mot par la thérapie peut être un bien meilleur remède.si ton choix est de ne plus consommer de ce médicament il devrait être entendu et respecté. concernant l' état de manque: quand il n' est pas tolérable ou que je ne suispas en mesure de le supporter, j' augmente légèrement la dose. je te souhaitre très sincerement bonne chance et bonne guérison: les choses peuvent souvent trouver une issue positive.prends soin de toi et bonjour à ton petit garçon!

Answer 10

je crois que tous ce qui est benzodiazepine donne une dépendance a long terme donc pas de risque sans avis médical je ne sais pas d'où vous venez mais lors d'un stage en France les médecins donnaient du sulbutex ,un substitut pour le sevrage renseigne toi auprès des professionnels de la santé ajouter a cela beaucoup de volonté je pense que ça le fera en pensant très fort a votre fils courage!!!!!