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2007-03-16 06:14:10 · 12 réponses · demandé par hana 2 dans Santé Santé et démarches administratives

Faelivri, Bravo et merci

2007-03-16 06:36:55 · update #1

guy d Voudrais tu rentrer en contact avec moi si oui fais moi un petit signe,

2007-03-16 06:48:39 · update #2

12 réponses

Le cannabis

Vanté par les uns, décrié par les autres, le cannabis est l'objet de toutes les polémiques. Mais cette drogue est-elle réellement aussi anodine qu'on le prétend ? Au contraire, elle semblerait favoriser l'apparition de troubles mentaux tels que l'anxiété, la dépression et même la schizophrénie. Retour sur les dangers du joint…

Effets et dangers du cannabis

Les effets de la consommation de cannabis sont variables : légère euphorie, accompagnée d'un sentiment d'apaisement et d'une envie spontanée de rire, légère somnolence. Les usagers de tous âges consomment généralement pour le plaisir et la détente. Des doses fortes entraînent rapidement des difficultés à accomplir une tâche, perturbent la perception du temps, la perception visuelle et la mémoire immédiate, et provoquent une léthargie. Ces effets peuvent être dangereux si l'on conduit une voiture, si l'on utilise certaines machines.

Ainsi, ses effets sur la mémoire à court terme sont aujourd'hui connus. Le cannabis entraîne quelques "trous" dans les souvenirs. Cette mini-amnésie est multipliée en cas de consommation associée avec de l'alcool. Et le joint a d'autres effets sur les capacités cognitives : difficultés de concentration et d'apprentissage notamment. Mais il faut noter que plusieurs études soulignent le caractère transitoire de ces troubles, qui disparaissent dès l'arrêt de la consommation.

Les principaux effets physiques du cannabis peuvent provoquer, selon la personne, la quantité consommée et la composition du produit :

* une augmentation du rythme du pouls (palpitations);
* une diminution de la salivation (bouche sèche);
* un gonflement des vaisseaux sanguins (yeux rouges);
* parfois une sensation de nausée.

Certains effets, souvent mal perçus par la population et les consommateurs, ont des conséquences importantes et révèlent l'existence d'un usage à problème, donc nocif :
* difficultés de concentration, difficultés scolaires...
* dépendance psychique parfois constatée lors d'une consommation régulière et fréquente : préoccupations centrées sur l'obtention du produit;
* risques sociaux pour l'usager et son entourage liés aux contacts avec des circuits illicites pour se procurer le produit;
* chez certaines personnes plus fragiles, le cannabis peut déclencher des hallucinations ou des modifications de perception et de prise de conscience d'elles-mêmes : dédoublement de la personnalité, sentiment de persécution. Ces effets peuvent se traduire par une forte anxiété.

Une dépendance psychique est parfois constatée lors d'une consommation régulière et fréquente : les préoccupations sont centrées sur l'obtention du produit. Un usage nocif de cannabis peut favoriser la survenue de troubles psychiques.
Un lien prouvé avec la schizophrénie
En revanche, les liens entre le cannabis et un trouble psychologique important tel que la schizophrénie sont plus préoccupants. Une étude récente4, menée sur plus de 50 000 appelés suédois, soulignait ainsi que la consommation de cannabis chez les jeunes peut entraîner l'apparition de cette maladie mentale : le risque serait augmenté de 30 % chez un fumeur de joint. Une autre publication5 souligne que la schizophrénie apparaîtrait d'autant plus facilement que le consommateur est jeune. Mais ces études ne prouvent pas de manière formelle le lien entre cannabis et schizophrénie. Selon les scientifiques, il serait essentiellement préjudiciable chez des personnes déjà psychologiquement fragiles, et pourrait n'être qu'un "révélateur" d'une schizophrénie plus ou moins latente. Difficile donc de faire la part des choses.

Même si les effets nocifs du cannabis sur la santé sont, à certains égards, moins importants que ceux d'autres substances psychoactives, l'appareil respiratoire est exposé aux risques du tabac (nicotine et goudrons toxiques), car le joint est composé d'un mélange de tabac et de cannabis. Les risques respiratoires sont amplifiés dans certaines conditions d'inhalation (pipes à eau, "douilles").


Cannabis et dépendance

L'usage répété et l'abus de cannabis entraînent une dépendance psychique moyenne à forte selon les individus. En revanche, les experts s'accordent à dire que la dépendance physique est minime. Toutefois, un usage régulier, souvent révélateur de problèmes, est préoccupant, surtout lorsqu'il s'agit de très jeunes usagers.

En espérant avoir répondu à ta question...

Amicalement...

2007-03-16 06:55:30 · answer #1 · answered by ๑۩۞۩๑Lou.Gorp๑۩۞۩๑ 7 · 8 0

Le cannabis est plus dangereux que le tabac

Celui qui fume du cannabis inhale beaucoup plus profondément la fumée et la conserve beaucoup plus longtemps dans les poumons que ne le fait l’adepte du tabac afin d’absorber la plus grande quantité possible de stupéfiant. C’est pour cette raison qu’il n’utilise pas de filtre bien qu’une cigarette de cannabis contienne beaucoup plus de goudrons qu’une cigarette de tabac. La fumée de cannabis contient deux fois plus de substances cancérigènes que celle du tabac, ce qui augmente les risques de cancer.

Le cannabis est un stupéfiant, c’est-à-dire une substance euphorisante nocive pour la santé. Il induit une dépendance. Puisque son élimination est lente, les symptômes de manque sont modérés. Le sevrage est un processus de longue haleine au cours duquel le consommateur régulier de cannabis souffre pendant des mois de séquelles d’ordre psychique.

Les adeptes du cannabis passent beaucoup plus facilement à d’autres drogues que les personnes du même âge qui ne se droguaient pas auparavant. 80 % au moins des consommateurs d’héroïne et de cocaïne ont commencé par prendre du haschisch ou de la marijuana.

Effets néfastes sur l’organisme

Cerveau

L’ivresse procurée par le cannabis est l’effet d’un dysfonctionnement du cerveau. Le THC se fixe sur les récepteurs de l’anandamide, ce qui provoque les troubles fonctionnels suivants :

La perception est réduite et déformée. On ne peut plus faire la différence entre l’essentiel et le secondaire. C’est ce que les fumeurs de haschisch prennent pour un "élargissement de la conscience". Ils ne se rendent pas compte qu’il s’agit d’un trouble.

La mémoire à court terme est également touchée, ce qui diminue la faculté d’apprendre.

L’attention et la concentration sont diminuées plusieurs heures encore après que l’ivresse a disparu. 24 heures après avoir fumé une cigarette de marijuana, des pilotes expérimentés ne sont plus capables d’effectuer un atterrissage correct en simulateur de vol. Leurs performances sont tellement réduites que cela pourrait entraîner des catastrophes dans une situation réelle.

Plusieurs heures après la disparition de l’ivresse, l’attention, la concentration, la coordination des mouvements et les réactions sont amoindries. Ces dernières années, on signale de plus en plus d’accidents causés par des fumeurs de cannabis et cela non seulement sur les routes, mais sur les lieux de travail et les pistes de ski.

Voies respiratoires

Beaucoup d’usagers réguliers de cannabis souffrent de toux chronique, de maux de gorge et d’inflammation des sinus. Ces troubles proviennent de la haute teneur en goudrons du cannabis et du temps d’inhalation prolongé. Ils disparaissent lorsque cesse la consommation de la drogue.

La fumée de la marijuana contient beaucoup plus de substances cancérigènes que celle du tabac. On diagnostique déjà des cancers des voies respiratoires supérieures (cavité buccale, pharynx, larynx) chez des consommateurs âgés de 20 à 40 ans. Ces affections sévères n’apparaissent que 20 à 30 ans plus tard chez les fumeurs de tabac.

Système immunitaire

Le système immunitaire assure la défense de l’organisme contre les bactéries, les virus et les cellules cancéreuses. Le cannabis en entrave le fonctionnement.

Système hormonal

Le cycle menstruel des fumeuses de cannabis est souvent perturbé. Chez l’homme, la production de testostérone (hormone sexuel) dans les testicules peut être réduite. Cela peut conduire à une diminution du désir sexuel, voire à l’impuissance et, chez les jeunes, à un retard de la puberté. Les spermatozoïdes sont moins nombreux et plus souvent défectueux, ce qui peut entraîner une stérilité passagère, voire une malformation d’un éventuel fétus.

Grossesse et naissance

Comme chez les fumeuses de tabac, des complications interviennent assez souvent chez les usagères de cannabis. Les nouveau-nés ont généralement un poids inférieur à la normale et se développent plus lentement. On trouve du THC dans le lait maternel également, de sorte que la consommatrice de cannabis met en danger la santé du nourrisson en l’allaitant.

Effets néfastes sur le psychisme

La consommation régulière de cannabis peut avoir des répercussions durables sur le développement psychologique des jeunes : l’intérêt pour l’école ou la profession diminue, les relations avec la famille, les amis et le/la partenaire se détériorent. En outre, les états dépressifs, l’angoisse et la paranoïa ne sont pas rares. Les suicides sont relativement fréquents chez les fumeurs réguliers de haschisch.

Difficultés d’apprendre

Comme l’attention et le jugement sont atteints, le jeune n’est plus vraiment en mesure de suivre à l’école. C’est surtout la mémoire à court terme qui est touchée. Il s’ensuit une tendance à la négligence et une indifférence à l’égard du travail scolaire, ce qui entraîne une baisse brutale des résultats. Souvent, le jeune se met à ‘sécher’ les cours et à abandonner l’école ou la formation professionnelle avant terme.

Tendance à l’isolement

Plus un jeune consomme de haschisch plus il perd le goût des contacts sociaux et amicaux. Il prend également ses distances vis-à-vis de sa famille ; les conflits avec les parents se multiplient.

Syndrome antimotivationnel

Le fumeur de haschisch n’a plus d’énergie. Des activités quotidiennes telles que se lever, apprendre, travailler, lui deviennent trop pénibles et lui semblent dépourvues de sens. Très souvent, il perd tout intérêt pour les activités de loisirs qu’il pratiquait auparavant : sport, musique ou autres hobbies. Il cesse d’être créatif, de s’engager pour tomber dans l’indifférence et la passivité. Plus rien ne lui procure de la joie ni ne le motive. C’est ce qu’on appelle le syndrome antimotivationnel.

Développement de psychoses

Il n’est pas rare que la consommation de cannabis entraîne des troubles psychiques proches de la schizophrénie. Ils frappent la plupart du temps les jeunes en ébranlant les fondements de leur psychisme, ce qui nécessite souvent une hospitalisation. Ils souffrent parfois leur vie durant des séquelles de ces troubles.

On ne peut pas prévoir quels individus vont être atteints et à quel moment.

Ce qui est valable pour les autres drogues l’est aussi pour le cannabis : il est nocif pour la santé physique et psychique. Le bon sens et le savoir médical nous commandent de déconseiller l’usage de cette substance comme celui des autres stupéfiants.

2007-03-16 13:20:14 · answer #2 · answered by Faëlivrin 5 · 6 1

sans faire l'apologie du cannabis, je voudrai juste préciser que l'alcool est tt aussi néfaste d'apres de forts nombreuses études médicales.....
Mais l'alcool fait partie de notre culture nationale et boire l'apéro chaque soir est "normal" au yeux de tous !

je précise aussi que le cannabis est utilisé légalement et à titre thérapeutique dans plusieurs pays d'europe pour soulager notamment des malades du cancer .

Le débat reste ouvert...........

2007-03-16 13:33:59 · answer #3 · answered by pourtoujoursprincesse 3 · 2 0

Parmi les consommateurs réguliers (abusifs ? peut-être) de shit et d'herbe que j'ai connus (je dirais 9 ou 10 individus), 3 ont aujourd'hui des problèmes graves de santé mentale (2 cas de schizophrénie et 1 cas de dépression grave). Cet échantillon est mince, je l'admets, mais ça me rend quand même très perplexe sur la question des drogues douces. Je serai attentif à mes ados... dans 10-12 ans.

2007-03-16 13:30:13 · answer #4 · answered by mari2271 2 · 2 0

Très nocives à la longue comme toutes les drogues, perte de mémoire, fatigue, lassitude et bien d'autres choses encore surtout à usage quotidien. A croire que la société ne marche plus qu'avec ça.

2007-03-16 13:24:10 · answer #5 · answered by figaroetco 7 · 2 0

j'ai toujours pensé que ça finissait par ramollir le cerveau....et que ça finissait pas rendre agressif....j'ai des exemples....enfin....ce n'est pas en qq lignes que l'on peut s'exprimer convenablement sur ce délicat sujet..

2007-03-16 13:33:48 · answer #6 · answered by exbiker 7 · 1 0

Moi, j'ai simplement retenu d'une etude scientifique que 3 joints equivalaient a un paquet de cigarettes, a toi de juger donc...

2007-03-16 13:26:01 · answer #7 · answered by dandeblaye 5 · 1 0

TOUCHE pas acette merde.............les plus jeunes patients de mon service psychotiques(maladie psy grave)etaient de gros consommatuers de ca.....

2007-03-16 14:33:05 · answer #8 · answered by gervaise 2 · 0 0

si tu veux un bon conseil
ne touche pas à cette merde
1- ça va te coûter très chère
2- tu vas devenir dépendante
donc cout double et tes neurones vont
te faire devenir folle
il n y a rien de bon ds les joints
avant le shit c etait de vrai feuille
maintenant c est que du melange de merde

maintenant tu fais comme tu veux !

2007-03-16 13:34:49 · answer #9 · answered by soleil_de nuit 7 · 1 1

Je ne peux rien en dire ,vu que j'ai jamais essayé :j'ai

d'autres plaisirs dans la vie !!!!!!!!

2007-03-16 13:25:08 · answer #10 · answered by Fleurette 5 · 0 0

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