Très très difficile de répondre quand on n'est pas dans la situation.
Je sais que la mère de Lionel Jospin, a choisi le moment et sa façon de mourir. La sœur de Jospin Noelle Chatelet a écrit un livre où elle confie tout ce qui a précédé cette mort à laquelle leur mère l'avait préparée.
Je pense que ce livre t'aidera si tu te trouves confronté à cette pénible décision.
Il s'agit de "La dernière leçon" (voir second lien).
Bon courage.
2007-02-27 08:05:37
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answer #1
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answered by F 16 6
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Bonjour, la miss !
Pour ma part, je suis opposée à l'acharnement thérapeutique. Je considère qu'un malade en phase terminale a le droit de partir dans la dignité.
J'ai failli perdre ma mère lorsque j'étais enfant. Cela fait donc longtemps que j'ai conscience qu'elle n'est pas immortelle. Cela fait des années qu'elle me dit qu'elle souhaite que j'accepte qu'elle tire sa révérence au moment où elle ne se sentira plus la force de lutter. Je sais que ce sera particulièrement difficile pour moi (rien que de te répondre j'ai une montée d'angoisse) mais même si je dois passer plusieurs années dans le cabinet d'un psy, je respecterai sa volonté ... & lorsque la décision sera prise, je ferai de mon mieux pour profiter de ces derniers moments à 100 000 %
C'est une décision très dificile à prendre & ce qui est valable pour moi ne l'est pas forcément pour autrui ... je te dirai juste que tout dépend du diagnostic des médecins, sachant que l'euthanasie est toujours très mal vue en France (toujours illégale, malheureusement) ... je te souhaite bon courage & j'espère que tu trouveras la force en toi pour prendre une décision & l'assumer jusqu'à son terme
bisous
Athé.
2007-03-02 12:34:55
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answer #2
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answered by ♥Lady L.♥ fragile & forte 7
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ce n est pas une situation facile et le choix dépend a quel point l être en question souffre mais j essayerais de le soutenir après tout c 'est lui qui souffre mais je lui dirais ma pensée pour le faire réfléchir et lui montré a quel point il conte pour moi , il pourras toujours se tourné vers la prière
2007-03-01 15:10:24
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answer #3
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answered by leonce 2
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Tu sait ma belle, moi je suis pas trop pessimiste, c'est si difficile a répondre a ta question, je respecterai peut être sa décision, même si cela me fait atrocement mal
je suis de tout coeur avec toi
2007-03-01 04:02:23
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answer #4
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answered by Saphira 7
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Je crois qu'il faut penser à celui qui souffre physiquement (et psychologiquement). Il faut respecter sa volonté.
Mais la personne qui reste doit demander de l'aide,un accompagnement.
Il faut un sacré courage, une sacré sérénité et avoir fait la paix avec soi-même pour demander l'euthanasie.
2007-02-28 14:52:51
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answer #5
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answered by belette 4
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Moitie moitie.
Vous vous dites qu'il y a toujours un espoir pour toi meme (n'aies pas peur d'etre jugé comme egoiste, tu dois te soigner toi meme aussi)
Vous essayez de comprendre, mais vous partagez votre souffrance avec ceux qui vous connaissent et aiment (et connaissent et aiment le malade aussi) et vous decidez...
2007-02-27 16:07:28
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answer #6
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answered by mbestevez 7
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A mon avis la décision appartient au malade ,je crois que chacun d'entre nous devrais pouvoir décider de sa propre mort. La vie est une merveilleuse aventure , mais il arrive parfois que la maladie lui ôte tout intérêt. Survivre ,diminué en proie a la douleur ,a la déchéance physique ,se trouver a la merci des autres. Vraiment, je ne supporterais pas
2007-03-04 19:25:35
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answer #7
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answered by Protagoras pour rire avec vous 7
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Je respecterai sa volonté, même si cela me fait mal à en mourir... :-(
Pour 2 raisons :
- Je ne supporterai pas que quelqu'un essaye d'aller contre ma volonté, même si la personne m'aime....
- Je ne suis pas dans la souffrance de la personne... Et si elle a décidé d'arrêter de se battre c'est peut être que la douleur est elle, qu'elle se dit qu'il n'y a plus d'espoir...
La seule chose à faire c'est d'être auprès d'elle et de profiter avec elle de ces derniers instants même si cela nous fait souffrir... :-(
J'ai connu cette situation avec ma grand mère, les médecins nous avait dit qu'il n'y avait plus d'espoir et qu'elle ne passerais pas le week end, et vu que je travaillais à l'étranger, je ne pouvais pas arrivé avant le mardi suivant... :-(
Elle a réussi à passer le week end et s'est battu pour me voir une dernière fois.... Je me souviendrai toujours de son sourire quand j'ai passé le pas de la porte de sa chambre d'hôpital, et j'ai vu la une petite partie de sa souffrance dans ces yeux (quand je dis une petite partie, je ne sais pas si j'aurai pu combattre comme elle l'a fait...)... :-(
Elle nous quitta la nuit d'après comme si elle avait fait sa dernière volonté de voir au moins une dernière fois toute sa famille auprès d'elle... :-(
Bonne chance à vous...
2007-03-03 23:45:12
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answer #8
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answered by solitaire1325 5
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Il faut toujours respecter la volonté de l'autre
2007-03-03 13:35:55
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answer #9
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answered by Micdal 7
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il faut avant tout qu'un médecin anti douleurs s'occupent de la personne en fin de vie.
il faut aussi être très présent auprès de la personne malade, et refuser de prolonger la vie si on sait que ce toute façon, rien n'y fera.
MAIS : ne pas s'acharner est une chose.
cependant, si la personne, par exemple ne peut pas s'alimenter, on ne peut pas la laisser mourir de faim, il faut l'alimenter soit par sonde, soit par perfusion.
si la personne saigne, il faut la transfuser, on ne va pas la laisser mourir exangue.
ce sont donc des soins à apporter pour que la fin de vie soit simple.
si la personne souhaite mourir, il faut l'accepter comme tel, et l'aider en allant voir les médecins, les infirmières, et discuter avec eux en toute simplicité et refuser des traitements lourds qu'ils pourraient proposer.
2007-03-03 08:57:42
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answer #10
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answered by Anonymous
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