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de la sièste entre 13h et 16h?

2007-02-16 20:55:20 · 3 réponses · demandé par peau_derm 5 dans Santé Pathologies Pathologies - Divers

3 réponses

Je pense que vos problèmes d'hypertension évoluent tout au long de l'année. Les problèmes de maux de tête ou cépholées vont avec la tension artérielle trop élevée. Je vous conseille donc d'aller voir votre médecin et d'envisager avec lui un traitement au long cours. Cependant vous trouverez ci-dessous une information sur l'hypertension. J'espère que les renseignements qui s'y trouvent vous aideront. Bon courage.

En France, l'hypertension artérielle touche plus de 14 millions de personnes. Longtemps silencieuse, elle peut entraîner des complications très graves : infarctus, attaques cérébrales... Quel est votre risque ? Peut-on prévenir l'hypertension ? Comment la prendre en charge ?... Toutes les réponses à ces questions qui vous tiennent à coeur.

La tension artérielle correspond à la pression du sang dans les artères. Etape incontournable de toute consultation, la mesure de la tension reste néanmoins mystérieuse. A quoi correspondent les deux chiffres annoncés ? Quand peut-on parler d’hypertension ? Comment fonctionne un tensiomètre ?
Dans l’organisme, les artères jouent le rôle de mères nourricières. Elles conduisent le sang du coeur vers les différents tissus de l’organisme et fournissent ainsi aux cellules l’oxygène indispensable à leur survie. A chaque contraction du coeur, le sang est chassé avec force des cavités cardiaques et propulsé dans ces conduits. Pour remplir leur fonction de manière satisfaisante, ils doivent rester souples et non obstrués (libres de dépôts graisseux).

Diastolique et systolique

L’arrivée de cette onde sanguine exerce une pression sur les parois de l’artère, comme le ferait l’eau arrivant dans un tuyau d’arrosage. Cette pression liée à la contraction du coeur, ou systole, correspond au chiffre le plus élevé mesuré lorsque l’on prend la tension. C’est la pression artérielle systolique.

Après la systole se produit une phase de relaxation, ou diastole, au cours de laquelle le coeur se relâche et se remplit. La pression exercée par le sang sur les parois artérielles est alors plus basse. Elle correspond au chiffre le plus faible, ou pression artérielle diastolique.

L'art du brassard

Ce sont ces pressions que l’on étudie lorsque l’on prend la tension. Devenu l’instrument incontournable de toute consultation, le tensiométre est composé d’un brassard muni d’un manchon gonflable, relié à un manomètre qui permet de mesurer la pression.

Placé autour du bras et gonflé, le brassard interrompt le passage du sang dans l’artère du bras (l’artère humérale).

Le médecin pose alors son stéthoscope sur l’artère, en aval du brassard, qu’il dégonfle progressivement.

Lorsque la pression du brassard est supérieure à la pression artérielle systolique, le sang ne s’écoule pas et aucun son n’est audible. Lorsque la pression du brassard diminue, le sang commence à passer dans l’artère et fait vibrer les parois, comprimées par l’appareil. Chaque battement cardiaque entraîne ainsi un bruit régulier, synchrone du pouls.

La pression enregistrée par le manomètre au moment où ce bruit apparaît est la pression artérielle systolique.

Lorsque le brassard continue à se dégonfler, les bruits s’arrêtent à partir du moment où la pression exercée par le brassard devient inférieure à celle provoquée par l’écoulement sanguin.
Le chiffre indiqué alors par l’aiguille du manomètre donne la pression artérielle diastolique.

Il faut répéter les mesures
De nombreux facteurs influencent la pression artérielle systolique et diastolique, notamment le volume sanguin, l’élasticité des vaisseaux (qui diminue avec l’âge) et les résistances périphériques.

Les deux chiffres de la tension ont leur importance. Ainsi l’augmentation isolée de la pression artérielle systolique au dessus de 14 (140 mm de mercure) ou de la pression artérielle diastolique au dessus de 9 (90 mm de mercure) suffit à définir l’hypertension. Ces normes ont été définies par l’Organisation Mondiale de la Santé, et reprises par l’Agence nationale d’accréditation et d’évaluation en santé (ANAES).

Cependant la pression artérielle connaît des variations. Elle augmente ainsi avec le stress et l’effort. C’est pourquoi une seule mesure ne suffit pas à porter le diagnostic d’hypertension. Les experts s’accordent pour dire que, lorsque l’élévation des chiffres tensionnels reste modérée (c’est-à-dire lorsque la pression artérielle systolique n’est pas supérieure à 18 et la diastolique n’est pas supérieure à 11), il est nécessaire de confirmer l’hypertension à trois reprises. Ces trois mesures doivent faire l’objet d’autant de consultations à un ou deux mois d’intervalle, comprenant chacune deux mesures réalisées au repos.

La confirmation de l’hypertension nécessite l’instauration d’un traitement médicamenteux. Attention, l’hypertension artérielle est une maladie trop sérieuse pour que le diagnostic soit porté à la légère.

La tension, une affection silencieuse

Les personnes dont la pression artérielle est trop élevée ont de l'hypertension artérielle. En langage courant, vous dites "avoir de la tension". Quel que soit le terme, l'hypertension ou la tension, cela signifie que la pression du sang dans vos artères est trop importante.

Le coeur, les veines et les artères constituent le système cardiovasculaire. Il est composé de vaisseaux : les veines et les artères, dans lesquels circule le sang sous l’effet du coeur, qui agit comme une pompe. Comme tout liquide qui circule dans un tuyau, le sang exerce ainsi une pression sur les parois des veines et artères. Quand la pression est trop élevée, les artères vieillissent plus vite et le coeur fait d'avantage d'effort, il s'use aussi plus vite. Le système cardiovasculaire est alors en danger.

Quel est ce danger ?

Les artères apportent de l'oxygène dans tout votre corps, du cerveau aux jambes, des reins au coeur… Lorsque la pression du sang est trop élevée, les artères de tous ces organes indispensables à la vie s'usent donc plus vite. Et un jour ou l'autre, cette usure invisible se manifeste et c'est l'accident - comme pour les freins d'une voiture qui lâchent un jour. Avoir de la tension et ne pas la traiter risque ainsi d'être très fâcheux à la longue pour le corps. Les risques sont nombreux et graves : la tension favorise l'infarctus du myocarde (l'attaque cardiaque), l'angine de poitrine, les accidents vasculaires cérébraux (les attaques cérébrales), l'insuffisance rénale, l'insuffisance cardiaque et l'artérite des membres inférieurs…

Une maladie insidieuse

Mais le plus ennuyeux quand on a de la tension, c'est que l'on ne s'en rend pas compte. Contrairement à beaucoup de maladies que vous ressentez (la grippe, l'angine, l'arthrose, l'appendicite…), la tension est une maladie silencieuse : il n'y a en général aucun symptôme. La seule façon de savoir si vous avez de la tension est de la mesurer. La seule façon de savoir si vous avez de la tension est de la mesurer. La tension s'exprime à l'aide de deux chiffres ; pour une tension normale, le premier chiffre doit être inférieur à 14 et le second inférieur à 9.

L'usure due à la tension sur les organes vitaux - le coeur, le cerveau, les reins...- se produit lentement mais sûrement, en 10, 20 ou 30 ans. Si une mesure indique que vous avez de la tension, pas d'affolement : cela ne requiert pas un traitement d’extrême urgence. Il faut d'abord que soient faites plusieurs mesures concordantes pour confirmer cette hypertension. Quant au traitement, les médicaments en sont une partie très importante, ils sont même le plus souvent indispensables

2007-02-16 21:12:07 · answer #1 · answered by infirmiere1989 4 · 0 0

Tu est hypocondriaque

2007-02-20 19:48:24 · answer #2 · answered by Nabil 6 · 0 0

elle me semble bien longue ta sieste....

2007-02-16 21:05:22 · answer #3 · answered by Chipette 5 · 0 1

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