L'alcoolisme est en effet une maladie et tu peux la soignée. Mais le malade doit avant tout en etre conscient et vouloir guérir. Le problème c'est qu'un alcoolique le verre à la main te diras toujours qu'il ne boit pas! Il faut avant tout qu'il soit conscient de sa maladie, et qu'il est le courage et la force de se faire soigner. Je pense aussi que ni les cures ni les psys ne peuvent rien si la personne n'as pas la volonté. Il faut aussi beaucoup de patience et surtout que ces personnes soient bien entourées meme si c'est au détriment de ta propre vie. C'est tres dur. J'en ai fait l'expèrience.
2007-02-09 23:57:40
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answer #1
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answered by Sarah 2
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Un alcoolique est une personne malade, qui bien souvent l'ignore... "ça va, je peux arrêter quand je veux, pas de problème pour moi...", est une réponse courante ! Le problème est peut-être apparu par une habitude survenue dans la jeunesse ! On boit en sorties, avec les amis, les repas en société etc... Ou, par un manque de confiance en soi : on est timide, et pour se donner de l'assurance, un petit verre (à la fois) et ça va mieux ! (!)... Aussi, suite à une dépression, un sentiment de malaise au sein de sa famille, d'un groupe, de collègues, etc... Pour s'en sortir, il faut tout d'abord prendre conscience de l'état dans lequel on se trouve... Ensuite, une cure à l'hôpital AVEC un suivi psychologique, qui continuera à la sortie, et peut durer des années, s'il le faut ! Il faut encourager cette personne pour qu'elle avance vers la guérison, elle a besoin de soutien et d'encouragement !!! C'est possible, mais un alcoolique reste alcoolique toute sa vie ! Il faut le savoir ! Donc, plus d'alcool, même pas un verre ! Et beaucoup s'en sortent et retrouvent une vie "normale" où ils se sentent bien, enfin, sans se cacher derrière un "écran"...
2007-02-10 11:17:50
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answer #2
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answered by Mil_AIR 3
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l acool est 1 addiction 1 maladie c est 1 pathologie faisant partie de ce ke nous appelons dans le jargon medical les etats limites il faut aux patients 1 grande volontee pour ce sortir du moins ameliorer leur condition a dire vrai peu de patient sorte vraiment de cette souffrance dans lakelle ils sont enfermes il y a des remissions mais rarement de veritable guerison bisou
2007-02-10 10:49:04
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answer #3
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answered by puce 2
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Certains en guérissent , mais c'est dur pour eux pour y arriver. Et puis il y a toujours un risque de rechute. Mais si effectivement l'alcool peut être un fléau pour certains (quand même tout le monde n'a pas ce problème) il y a toujours un espoir de s'en sortir.
2007-02-10 07:38:13
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answer #4
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answered by Patounet 7
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on peut se soigner avec l'aide d'un psy et de cure dans certains cas
l'alcoolisme peut être je pense une conséquence à la depression
la dépression peut être soignée grace a un psychiatre
c'est quelque chose de très dure à gérer
on ne sait plus comment aller mieux, comment s'en sortir
pour en revenir a ta question:oui on peut se soigner de l'alccolisme mais c'est très dure
toutes mes condoléances
2007-02-10 07:33:48
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answer #5
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answered by Chocolat 7
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Non, on peut aider les alcooliques, comme cela a été dit avant moi, à s'en sortir... Je fais aussi partie des "enfants d'alcooliques", on sait que cette addiction est nocive non seulement par les ravages physiques qu'elle entraîne chez les consommateurs mais aussi par les ravages qu'elle entraîne dans leur famille....
Personnellement c'est une source d'indignation permanente, quand on voit le fric dépensé pour les campagnes anti-tabac et le silence qui règne autour du problème de l'alcool!
L'alcoolisme est une addiction comme d'autres, comme l'héroïne, comme le tabac, sauf qu'il n'est pas politiquement correct d'en parler.
2007-02-11 07:03:31
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answer #6
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answered by hérisson 4
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Tu pensais juste, l'alcoolisme est bel et bien une maladie et elle PEUT se soigner. Le seul remède : l'abstinence totale et définitive. Bien sûr, au début d'une cure de désintoxication alcoolique, des médicaments sont utilisés pour prévenir l'apparition d'un delirium Tremens et réduire les symptômes liés au manque mais c'est seulement après cela que le vrai combat commence, celui qui jour après jour te permet de ne pas prendre ce premier verre qui te fera replonger dans la maladie, quasi aussi sur que 1+1 font 2. Il faut donc un entourage compréhensif et informé sur ce qu'est la maladie alcoolique, un entourage qui aide et soutienne la personne en phase de guérison sans discours moralisateur car hélas, la seule volonté d'arrêter de boire ne suffit pas; il faut de la DETERMINATION et de l'aide, toute sorte d'aide, chacun voit midi à sa porte en ce domaine mais pour certains, ce seront les groupes de paroles, ou les thérapies comportementales ...... voire plusieurs de ces moyens groupés. Chaque individu est un cas particulier donc on ne peut généraliser. Certaines personnes s'en sortiront seules, sans aide extérieure, peut être parce que leur niveau de dépendance physique est moindre. Mais ce qui est sur, c'est que se retrouver sur le chemin de l'abstinence est un dur combat, que la rechute existe et que si elle intervient, il faut qu'elle dure le moins longtemps possible ou bien on descend encore plus bas que précédemment jusqu'au jour où on touche le fond, son fond et c'est bien souvent là qu'intervient le suicide car la personne ne voit plus d'issue à sa condition.
Et pourtant, l'alcool est en vente libre dans toutes les grandes surfaces comme dans l'épicerie du coin, on promotionne des boissons à faible taux d'alcool dans des pubs destinées à nos jeunes ado ( c'est scandaleux !!!!!! ), l'alcool est considéré comme un outil social, un moment de convivialité partagé entre amis mais nous ne sommes pas tous égaux face à ce poison qui tue lentement mais surement. Les plus chanceux resteront toute leur vie des buveurs occasionnels et d'autres rentreront dans la maladie alcoolique sans même s'en rendre compte. Ce qui détermine l'alcoolisme est le rapport que l'on a à l'alcool. La simple petite bière quotidienne peut-elle être oubliée pendant quelques jours ou bien constitue-t-elle une nécessecité absolue pour se sentir bien à la fin de la journée ?
Je suis désolée pour ta maman et ce que tu as pu vivre, j'imagine que ça a été douloureux mais je te reconfirme que l'alcool est belle est bien une maladie et que son seul remède est l'abstinence totale.
Il est à présent interdit de fumer dans les lieux publics ...... Bien, respectons les non fumeurs et arrêtons de les empoisonner contre leur gré, je suis fumeuse moi même et je peux comprendre cela mais à quand l'interdiction réellement appliquée de servir de l'alcool à nos jeunes ?????? J'ai retrouvé ma fille un soir, 14 ans, pleine crise d'ado, dans une discothèque pour jeune, en train de s'enfiler un rail de 10 téquilas frappées !!!!!!!!!! Elle ne m'a pas vu arriver ni m'assoir à la table où se trouvaient ses camarades, tous mineurs bien entendu. Je l'ai laissé finir puis je lui ai calmement dit que nous rentrions à la maison. Elle ne voulait pas me suivre alors j'ai tout aussi calmement dit que dans ce cas, j'appelais la police pour faire constater que l'on servait de l'alcool aux mineurs dans l'établissement ( ce que j'aurais dû faire). Ses copains ont paniqué et l'ont suppliée de partir. Je l'ai ramené ivre à la maison, l'ai envoyée se coucher et le lendemain, nous avons eu une longue discussion. A ce jour, elle est maman d'un adorable bébé de 1 mois et demi et elle ne boit quasiment jamais d'alcool.
Voilà, j'ai été un peu longue je l'avoue mais ce sujet me tenait à coeur car j'ai moi même été confrontée au problème et je m'en suis sortie et j'espère bien que ça durera le restant de ma vie.
Un dernier petit conseil à tous ceux qui consomment quotidiennement ou chaque Week end, en soirée, essayer de tout stopper pendant 7 jours ou le temps de deux ou trois Week end. Si ça ne vous pose aucun problème, vous pouvez vous estimez hors danger pour l'instant. Si c'est difficile, commencez à vous poser les bonnes questions avant qu'il ne soit trop tard.
2007-02-11 07:03:13
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answer #7
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answered by chriswes 3
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J'ai vécu toute mon enfance avec l'alcoolisme de ma mère, maintenant décédée. C'est très difficile à gérer car il fallait sans cesse aller chercher du vin pour qu'elle n'est plus de crises de tremblements ou de nervosité ! A 70 ans, elle a dû vivre en maison de retraite et là, plus question d'alcool ou à dose minimum pendant le repas. C'est vraiment une maladie qui est dure à combattre, mais il faut trouver pourquoi elle buvait, elle devait avoir des problèmes, il faut savoir les écouter !
2007-02-10 16:35:35
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answer #8
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answered by Sophinette 2
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Non tu ne t'ais pas trompé, alcoolisme peut se guérir mais la personne concernée en dehors des soins qu'on va lui proposer, doit avoir une ferme volonté de s'en sortir, sans la volonté personnelle du patient, le meilleur rémède du monde n'y pourra rien
2007-02-10 07:46:54
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answer #9
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answered by KYPGDENIE 2
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il y a des centre médicaux spécialisée dans ce sujet, les traitement médicamentaux existent mais ce n'est pas évident. Ca demande un suivi de proximité pendant des mois le temps d'obtenir le sevrage
2007-02-10 07:40:12
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answer #10
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answered by Hades et Persephone 7
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