La réponse dont je me rapproche le plus est celle de kikoun.
Il faut savoir que l'alcoolique est presque toujours dans le déni (cépaluika un pb, ... c'élézôtr') car il ne fait que rejeter sur autrui le honte et le sentiment de culpabilité qui le submergent (Sophinette a raison) ...
Inutile de vouloir "forcer" l'alcoolique à admettre son pb et à chercher une solution. La démarche ne pourra venir que de lui, soit qu'il ait un déclic, soit surtout qu'il ait atteint son "seuil de résistance" (son "fond" disent les groupes comme les AA = Alcooliques Anonymes) ...
Il est vain de croire aussi qu'on peut "éloigner" la personne qui boit de l'alcool : les ruses sont innombrables et c'est de l'énergie perdue ! Ni le chantage, ni la menace, ... aucune stratégie ne fonctionne !
Bref, on pourrait épiloguer des heures là dessus mais on ne peut se permettre de donner des conseils, surtout pas des "moi" je ferais ci ou ça", encore moins comme on le voit parfois inciter à quitter ou pas le conjoint, ou faire croire qu'on d'une manière ou d'une autre influer sur le comportement de l'acoolique !!!
La seule "stratégie" est le lâcher prise, prendre le plus de distance possible par rapport à la boisson :se contente d'être aimant et compréhensif quand c'est possible et cesser de réparer les dégâts, couvrir les problèmes, essayer de sauver les apparences.
Il faut au contraire penser à vivre pour soi, continuer ou recommncer à faire ce qu'on aime (avec ou sans lui) : ciné, sorties avec les ami(e)s, ..., même avec l'angoisse au ventre ("qu'est-ce que je vais trouver en rentrant ").
Il faut "vivre et laisser vivre".
Surtout se protéger et proétéger l'entourage proche : conjoints et enfants en première ligne ! Ils morflent grave, et des dysfonctionnements s'installent parfois pour la vie, parfois sur plusieurs générations ...
En l'absence de (réelle) volonté de l'alcoolique de se soigner, c'est la seule chose qu'on puisse faire !
Pour eux aussi la démarche est ardue car ils sont parfois également dans le déni ; mais quand ils y sont prêts ils peuvent trouver une écoute et un soutien précieux auprès de des groupes qui s'adressent spécifiquement à eux. Ces différents groupes sont dans la mouvance des AA ; sans vouloir faire de prosélytisme, personnellement j'allais chez Al-Anon qui a un site web et même un groupe de soutien en ligne (mais plusieurs mouvances existent avec la même philosophie).
A défaut de régler le pb de consommation d'alcool, on prend conscience des dysfonctionnements acquis sinon aggravés par l'alcoolisme, on essaie d'apprendre à mieux vivre avec le pb ... à lâcher prise, à "se détacher avec amour" disent-ils, c-à-d savoir être là, comprendre et écouter sans pour autant être dans le reproche no se résigner, à s'occuper "d'abord de soi" (ce que suggère ditetjrs), etc.
En prenant le problème par ce bout, on parvient quelque peu à minimiser les dégâts collatéraux ... et ce n'est pas rien !!!
Et, parfois (pas svt mais ça arrive), la pression se relâchant sur l'alcoolique, une certaine sérénité revenant dans le foyer, il peut advenir qu'il prenne conscience, admette le pb et tente la démarche ... de lui-même (ça ne peut venir que de l'alcoolique) !!!
Mais dans un premier temps, ce qu'il faut avoir comme objectif c'est de protéger les proches, amis, collègues ...
(pardon pour tous les autres groupes que je ne cite pas ci-dessous)
2007-02-06 08:57:45
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answer #1
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answered by Almerinda 6
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Je ne suis pas pro dans le domaine mais j'ai toujours entendu que tant que la personne alcoolique ou toxicomane n'avait pas décidé d'elle-même de s'en sortir, vous pouviez passer vos jours et vos nuits et faire preuve de toute la patience du monde pour essayer de l'en sortir ce sera peine perdue et vous perdriez même des années et des années, cela est triste et ce n'est peut-être pas ce que vous souhaitez " entendre " mais c'est semble-t-il une réalité.
2007-02-06 15:31:58
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answer #2
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answered by kikoun 4
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demander conseil à une assos car toi seule tu ne pourras pas l'aider si lui ne se voit pas comme un alcoolique dépendant
2007-02-06 16:49:24
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answer #3
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answered by Phil Hip 5
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j'ai connu ce probème avec ma mère étant plus jeune. Il faut d'abord savoir d'oû viennent les raisons. Il a peut-être des problèmes dont il n'ose pas parler avec toi. De plus, il a honte de sa maladie, car c'est une vraie maladie. Son médecin peut lui prescrire de (l'Aotal) un médicament qui atténue l'envie de boire, mais c'est surtout la volonté de s'en sortir qui marche,puis plus tard quand il se sentira prêt, il pourra en parler dans des groupes de parole. bon courage, Sophinette.
2007-02-06 16:39:44
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answer #4
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answered by Sophinette 2
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on dit toujour quand on voeux on peut donc il faut qu'il soit vraiment convinqu par les inconvinients de l'alcoolisme
2007-02-06 15:34:29
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answer #5
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answered by ethrene 1
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par des cures de desintoxication lui apporter on souiten,il en aura besoin
2007-02-06 15:32:37
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answer #6
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answered by Anonymous
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etre a ses cote, l'eloigner de l'alcool, l'accompagner aux reunion, ne pas le cacher a sa famille ni a ses amis. mais il faut aussi qu'il y mette du sien.
2007-02-06 15:30:21
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answer #7
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answered by la voyageuse 4
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tres bonne question
deja en envisageant un programme d'arret suivi par des medecins specialises bon courage
2007-02-06 15:29:43
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answer #8
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answered by kato 3
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le pousser à le vouloir,puis l'emmener dans des reunions à cet effet
2007-02-06 15:27:51
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answer #9
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answered by Anonymous
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