L'avortement se définit comme l'interruption avant son terme du processus de gestation, c'est-à-dire le développement qui commence à la conception, par la fécondation d'un ovule par un spermatozoïde formant ainsi un œuf, se poursuit par la croissance de l'embryon, puis du fœtus, et qui s'achève normalement à terme par la naissance d'un nouvel individu de l'espèce.
L'interruption volontaire de grossesse ou IVG, désigne un avortement provoqué. On emploie généralement cette expression pour désigner un acte effectué à la demande d'une femme non désireuse de sa grossesse. Depuis juillet 2001, l’IVG est autorisée jusqu’à 12 semaines de grossesse. C’est-à-dire 14 semaines depuis les dernières règles.
Qui dois-je aller voir ?
En premier lieu, le mieux est de prendre contact avec un hôpital public ou une clinique privée qui pratiquent des IVG. Vous pouvez aussi voir le médecin de votre choix. Pour toute information ou pour parler, n’hésitez pas à appeler un planning familial.
Si les démarches prennent du temps …
• Vous aurez à faire une consultation médicale et éventuellement des analyses de laboratoire complémentaires. • Une semaine de délai de réflexion est obligatoire entre cette première et la deuxième consultation médicale. En cas d’urgence, ce délai d’une semaine est ramené à 2 jours. • Un entretien est obligatoire uniquement pour les mineures, non mariées et non émancipées, avec une conseillère ou une assistante sociale avant l’IVG. Cet entretien sera fait pendant la semaine de réflexion et au moins 48 heures avant l’IVG.
En pratique
• L’IVG par aspiration se passe généralement dans la journée
• L’IVG médicamenteuse ne nécessite que quelques heures d’hospitalisation
• Pendant le mois qui suit l’IVG, prise d’une pilule contraceptive, examen médical gynécologique
Un certain nombre de principes permettent d'éviter les risques de l'IVG sur un plan général.
•Avorter tôt : il est 4 fois plus dangereux d'avorter à 12 semaines qu'à 8 semaines.
•Assurer dans une bonne condition le diagnostic de la grossesse et de son terme. Utiliser à bon escient et dans un souci d'économie légitime l'HCG quantitatif et l'échographie, ne pas méconnaître une grossesse d'évolution anormale : la grossesse extra-utérine reste au centre des préoccupations des médecins ; le diagnostic de môle se fait par l'examen des débris et la surveillance post-opératoire.
•Choisir la technique adéquate en fonction du choix éclairé de la femme, et des indications médicales.
•Dépister par l'interrogatoire et par un bilan de l'hémostase une éventuelle coagulopathie.
•Assurer une prévention de l'immunisation Rhésus lors de l'IVG.
•Un accueil téléphonique, avec un personnel formé et attentif, des rendez-vous proposés dans des délais raisonnables, permet de rassembler ces conditions optima
En espérant avoir répondu à ta question...
Amicalement...
2007-01-30 21:53:41
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answer #1
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answered by ๑۩۞۩๑Lou.Gorp๑۩۞۩๑ 7
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ce qui peut échouer en tout cas est votre santé psychologique, il est toujours mieux pour la santé de respecter la vie, voyez les témoignages sur la web ci-dessous de femmes qui ont avorté. Courage, feganuhes@yahoo.es
2007-02-01 04:48:14
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answer #2
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answered by feganuhes 4
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NON AUCUNE CHANCE.
2007-01-31 05:06:10
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answer #3
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answered by gg 5
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l'ayant vécu je peux t'assurer que non! tu auras de toute façon une visite à l'hopital quelques jours après l'opération, on vérifira si tout a été "aspiré". Courage à toi
2007-02-02 16:45:47
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answer #4
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answered by chérie 2
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Oh que non! Sauf si le médecin qui te fais l'aspiration est un gros blaireau! Donc pas d'inquiétude!
2007-01-31 09:11:37
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answer #5
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answered by Anonymous
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ben non ça n'échouera pas !! pkoi veut tu faire les deux méthodes ça ne sert a rien !!
2007-01-31 05:29:53
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answer #6
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answered by lory.S. 6
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ah non ! ca n'echouera pas! surtout si les deux methodes sont appliquees
2007-01-31 05:22:36
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answer #7
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answered by alapatjb 3
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Non
2007-01-31 05:06:21
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answer #8
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answered by Nadine P 7
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