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j'ai trouve scelles (Celse) ds mes notes mais je n suis pas sure. merci bcp

2007-01-11 03:08:16 · 7 réponses · demandé par Mimicutegirl 2 dans Politique et gouvernement Droit

merci c pr mon examen en intro au droit
surtt etrangere les noms romains changent 1 peu alors merci bcp a tous. bises

2007-01-11 03:24:38 · update #1

7 réponses

Domitius Ulpianus (? - 228) fut un homme politique et un juriste romain du début du troisième siècle.

Jus est ars boni et aequi: Le droit est l'art du bon et de l'équitable.(phrase reprise à un autre jusrisconsulte moins célèbre : Celse)

tu me diras quelle note tu as eu a ton devoir... lol

2007-01-11 03:13:42 · answer #1 · answered by nye 3 · 1 0

Celse cité par Ulpien dans ses oeuvres, sachant que Celse a laissé relativement peu d'écrits...

Cette citation célèbre, tu la retrouveras dans le bouquin d'Intoduction au droit civil du Doyen Gérard Cornu (Montchrestien).

2007-01-11 07:35:52 · answer #2 · answered by Jonathan 4 · 1 0

Publius Juventius Celsus

2007-01-11 03:15:21 · answer #3 · answered by Guy G 5 · 1 0

Salut !

Pour être précis, c'est le juriste romains Domitius Ulpianus qui formula cette phrase, mais il l'a emprunté à... à qui ??? ben tu avais raison... ! à Celse :)

2007-01-11 03:14:41 · answer #4 · answered by Dryss 6 · 1 1

Justinien (Digeste) : Jus est ars boni et aequi (le droit est l’art du bon et du juste).
En règle générale, il apparaît comme et est une technique, ou plutôt l'apprentissage de la technique juridique; c'est à dire des modes d'expression et de mise en oeuvre d'un droit (D) qui se veut essentiellement positif.
Le D positif est le D en vigueur au moment où il est enseigné, appliqué. Il n'est que le D du moment, susceptible d'évoluer au gré de la volonté du législateur, ou en fonction d'un certain nombre de changements, de mutations sociales, politiques.
Le D est donc destiné à rentrer dans l'histoire.
Pour un historien du D, le D est d'abord un art: un savoir faire, du talent . Pour les romains "JUS ARS BONI ET AEQUI EST": le D est l'art de ce qui est bon et juste = ULPIEN
Le D est donc un art qui dépasse très largement la seule technique. Il peut se définir comme l'ensemble des règles régissant une société ou une communauté sociale donnée.
Le doyen CARBONNIER définit le D, la règle de D : elle est une règle de conduite humaine à l'observation de laquelle, la société peut nous contraindre par une pression plus ou moins intense. Cette pression nous conduit à voir que le D, en tant que tel et dans nos sociétés occidentales, est inséparable de l'Etat.
L'Etat est d'abord une construction juridique et plus particulièrement une conception, une abstraction; il peut se définir comme le titulaire abstrait du pouvoir souverain et notamment de celui de coercition: du pouvoir de surveiller, de faire appliquer , de contraindre au besoin par la force publique, de respecter le jeu des règles sociales, le D dans ces différents aspects, dans ces différents composants.
Concrètement ce pouvoir politique est exercé par les gouvernants quelque soit la forme: monarchique, aristocratique, démocratique, républicain du gouvernement.
Dans la construction juridique de l'Etat, les gouvernants ne sont pas les propriétaires de ce pouvoir (en théorie), ils n'en sont au contraire que les dépositaires durant le temps de leur mandat (toujours en théorie). Ils devraient gouverner non pas dans leur propre intérêt mais ils doivent gouverner dans l'intérêt supérieur de la communauté, celle-ci dont ils ont la charge: qu'ils aient été désignés par les représentants (démocratie), par une émanation de ceux-ci ou investis par une autorité supérieure ou divine. Tous le problème dans ce dernier cas est: qui contrôlera, ici-bas l'exercice de ce pouvoir si, par exemple, le souverain ne gouverne pas comme il le devrait dans la mesure où il n'a d compte à rendre à personne sinon à dieu ?
Le D est donc inséparable de l'Etat , qu'il contribue par définition à fonder.
Les société sans Etat ( dites traditionnelles) ne sont pas pour autant sans D et sont régies, elles aussi, par un certain nombre de règles . Celles-ci permettent la vie commune dans le respect des existences des individus qui forment cette collectivité.
Ces règles dans les sociétés traditionnelles prennent le plus souvent la forme de traditions, de coutumes, c'est à dire d'un D qui généralement n'est pas un D écrit, mais qui est, en revanche, enregistrer dans la mémoire collective, dans l'histoire du groupe, dans une partie de cette histoire dont le groupe veut bien se souvenir = un mythe.
Il est des récits qui peuvent paraître bizarre; par exemple, chez un peuple du Proche-Orient (mésopotamien) on raconte un combat primordial entre le grand dieu de Babylone MARDUK et un principe monstrueux TIAMAK. MARDUK va s'attaquer à TIAMAK (une femme, car celles-ci représentent le mal). Le combat primordial : il va pourfendre TIAMAK, la couper en deux. A l'issue du combat les deux morceaux de cette puissance du mal seront à l'origine du ciel et de la terre.
Derrière ce récit il y a 2 idées fondamentales:* la victoire de MARDUK représente l'obtention de la souveraineté. La référence à cette souveraineté est un des fondements de la société babylonienne.
* l'instauration de l'ordre (dimension juridique fondamentale) qui a été réalisé par la maîtrise du Chaos.
Se sont 2 idées fondatrices de la société babylonienne.
Un autre mythe: sur le fronton est du Parthenon, est raconté la naissance miraculeuse d'Athéna. Quand on regarde on voit qu'elle incarne le sentiment que les athéniens avaient d'eux-mêmes . Elle est née du crâne de son père Zeus et sans mère. C'est ainsi que les athéniens se représentent "nés de personne"
Ces règles coutumières, traditionnelles même orales, ne signifient pas non plus que cette tradition soit immuable et figée. Elle est susceptible d'évolution, de changements parfois radicaux, au gré d'un certain nombre de circonstances, de l'histoire des groupes dans sa confrontation avec d'autres civilisations.
La souplesse, sa grande capacité d'adaptation au fil des temps à des situations nouvelles, on ne la retrouve pas dans les D écrits car ils sont fixés, immobilisés. Ces D dont souvent les procédures sont lourdes, dont les modalités d'applications nouvelles sont souvent freinées par des pesanteurs de tout ordres, toutes natures.
Le D ne se confond pas avec la justice, même si la justice en constitue l'une des finalités essentielles. Dans la mythologie grecque la divinité qui incarne la justice: DIKE est né de l'union de Zeus et de la déesse figurant le D (THEMIS) et cette idée se retrouve chez tout les grands penseurs grecs que le D a pour finalité non pas l'ordre mais plutôt la justice au sens institutionnel du terme.
La justice apparaît donc comme la mise en oeuvre du D. Dans notre système juridique, le juge doit statuer non pas en équité mais en D, conformément à la Loi au sens le plus large du terme. Le D ne se confond pas non plus avec la morale, même si leurs sphères peuvent très souvent se recouper.
Le D apparaît officiellement séparé de la religion, depuis la loi de 1905, L'Etat français est un état laïque. Dans ces sociétés occidentales, les Lois sont séparées de la religion = chrétienne. Il reste tout de même, un trait, lié par la religion.
Exemple: le serment des témoins se réfère à une référence divine.
Cette proclamation de la séparation ne va pas nécessairement de soit, et il est aujourd'hui un certain nombre d'états qui fonctionnent selon un mode théocratique où les règles de D sont déterminées en fonction de principes religieux et de finalités religieuses.
Ce modèle, dans toutes les sociétés occidentales, nous l'avons connu: "l'occident chrétien médiéval" = théocratie royale. Le roi désigné par dieu au moment du sacre, il se devait de gouverner le peuple conformément à la Loi divine. En remontant plus loin dans le temps, en élargissant le champs d'investigation; nous verrons à quel point un certain nombre de D ont été imprégnés du divin. Certain avec le temps se sont dégagés de la religion.
4 grandes catégories de sources du D: la Loi (norme fondamentale)
la Coutume
la Doctrine (réflexion sur le D)
la Jurisprudence (ensemble des décisions de justices)

2007-01-11 22:46:13 · answer #5 · answered by mozar41 4 · 0 1

Jus est ars boni et aequi. Le droit est l'art du bien (par opposition au mal) et de l'équitable (par opposition au droit strict).

Adage de Domitius Ulpianus (? - 228) qui fut un homme politique et un juriste romain du début du troisième siècle.

Originaire de Tyr, Ulpien devait probablement être issu d'une bonne famille de citoyens romains. Il fut d'abord assesseur du préfet du prétoire Papinien, un autre juriste célèbre, sous Septime Sévère et Caracalla. Après l'assassinat de Caracalla en 217, le nouvel empereur Élagabal le chasse de Rome. Mais son successeur Alexandre Sévère le fait préfet de l'annone, puis préfet du prétoire en 222: Il est le principal conseiller de l'empereur. Impopulaire auprès de la garde prétorienne pour avoir diminué ses privilèges accordés par Élagabal, il fut tué sous les yeux d'Alexandre Sévère au cours d'une émeute en 228.

2007-01-11 03:19:55 · answer #6 · answered by Caro 3 · 0 1

c'est Ulpien plus tard repris par Celse !

http://fr.wikipedia.org/wiki/Ulpien

2007-01-11 03:17:00 · answer #7 · answered by shujin 7 · 0 1

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