Je suis malheureusement dans le même cas que toi. Suite à des douleurs pelviennes intenses (qui font que je me tords de douleur pendant les rapports et les examens gynécologiques) + des régles hémorragiques et anarchiques + des ballonnements + des problèmes gastriques systématiques pendant les règles + 2 ans d'essais bébé infructueux, je dois passer une échographie pour voir s'il y a des kystes, puis une coelioscopie pour voir "in live" l'éventuel dépot de l'endomètre sur l'appareil génital.
Donc, non, un simple questionnaire et une écho ne suffisent pas. Il te faut aussi un médecin compréhensif, car beaucoup de médecins ne prennent pas au sérieux ces symptômes : pour ma part, celà fait plus d'1 an 1/2 que je me plains de ces symptomes et ce n'est que le 5ème médecin qui daigne enfin me croire. Et pourtant, avec le 4ème, j'ai fait une hémorragie en plein frottis...
quelques sites qui peuvent t'interesser :
http://www.doctissimo.fr/html/sante/mag_2002/sem02/mag1213/dossier/sa_6026_endometriose_kesako_02.htm
http://www.gyneco-beclere.com/coelio_beclere.html#1
2007-01-09 03:35:27
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answer #1
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answered by Lollilop 3
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Si vous essayez de tomber enceinte sans succès, ou si vous avez des problèmes de fertilité, vous devriez jeter un oeil à cette méthode innovante naturel http://grossesse.aidenaturelle.info
C 'est une méthode éprouvée qui a un taux de réussite élevé!
2014-11-16 23:54:06
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answer #2
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answered by Anonymous
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ENDOMETRIOSE : C'est une affection gynécologique caractérisée par la présence de fragments de muqueuse utérine (endomètre) en dehors de leur localisation normale.
L'endométriose est surtout fréquente chez les femmes âgées de 25 à 40 ans. C'est une cause importante de stérilité : de 30 à 40 % des patientes souffrant d'endométriose ont des problèmes d'infertilité. Cette dernière est fonction du siège de l'affection, la localisation tubaire (dans les trompes) étant la plus préoccupante.
DIAGNOSTIC : Il est établi lorsqu'une femme en période d'activité génitale présente des signes fonctionnels évocateurs, associés ou non à une stérilité. Le diagnostic est confirmé par l'échographie, qui met en évidence le ou les kystes ovariens, et surtout par la coelioscopie, qui révèle des adhérences et des lésions kystiques sombres implantées sur le péritoine.
2007-01-10 12:25:06
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answer #3
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answered by emmanuel l 6
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non il faut voir un gynéco c'est quelques chose de sérieux qu'il ne faut pas négliger ci-dessous la partie d'un article concernant l' endométriose ;
QUELLE EST L’INCIDENCE DE L’ENDOMÃTRIOSE ?
L’endométriose survient chez 7% à 10% de la population féminine, en général, et jusqu’à 50% des patientes atteignant la pré-ménopause. On retrouve de l’endométriose chez 38% des patientes infertiles et chez 70% à 87% des femmes souffrant de douleurs chroniques, au niveau du petit bassin.
QUELS SONT LES SYMPTÃMES DE ENDOMÃTRIOSE ?
Les symptômes les plus fréquents de l'endométriose incluent :
Des douleurs progressives ou excessives durant les menstruations. Ces douleurs peuvent devenir très sévères et s'étendre au niveau des jambes ou dans le bas du dos.
Des douleurs au bas ventre, avant et après les menstruations.
Des douleurs lors des relations sexuelles.
L'endométriose constitue la principale cause de l'infertilité chez la femme.
Les règles peuvent devenir abondantes ou irrégulières.
Quelques fois les femmes atteintes d'endométriose ne présentent aucun symptôme.
COMMENT FAIT-ON LE DIAGNOSTIC DE L'ENDOMÃTRIOSE ?
Si vous avez l'un des symptômes de l'endométriose, parlez-en à votre médecin qui vous fera un questionnaire et un examen gynécologique complet. Lors de l'examen, il pourra retrouver un utérus basculé vers l'arrière, des douleurs au niveau des ligaments suspenseurs de l'utérus ou à la palpation des ovaires ou des trompes. Il peut également faire la découverte d'un kyste ovarien ou de granulations situées derrière l'utérus
Une échographie pelvienne ou vaginale permet de localiser des kystes d'endométriose qui peuvent se situer en dehors de l'utérus.
Lorsqu'il soupçonne de l'endométriose, votre médecin pourra vous référer à un gynécologue qui pratiquera alors une laparoscopie.
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QU'EST-CE QUE LA LAPAROSCOPIE ?
La laparoscopie est une intervention habituellement faite sous anesthésie générale, mais qui peut maintenant se réaliser sous anesthésie locale. Un petit tube que l'on appelle un laparoscope est introduit au niveau de l'ombilic. Par ce tube, le gynécologue peut regarder et explorer les organes du petit bassin. Vous pouvez connaître le déroulement de la laparoscopie en vous référant à cette rubrique.
LE TRAITEMENT DE L'ENDOMÃTRIOSE
Une fois que la laparoscopie a confirmé le diagnostic d'endométriose, le traitement laparoscopique peut généralement être effectué immédiatement. Grâce à l'introduction de trois ou quatre tubes au niveau de l'abdomen, le chirurgien peut procéder à l'excision des lésions d'endométriose soit à l'aide d'un électrocautère, du LASER ou grâce au bistouri ultrasonique. Le chirurgien peut également sectionner les adhérences et rendre la mobilité aux organes du petit bassin, tels que les ovaires, les trompes, l'utérus, les intestins et la vessie. Par la suite, selon que la patiente désire ou non des enfants, ou que les principaux symptômes soient reliés à l'infertilité ou à la douleur, plusieurs types de traitement peuvent être envisagées et le mérite de chacun doit être discuté individuellement avec chaque patiente.
Chez les patientes ne désirant pas de grossesse et au delà de la quarantaine, le traitement définitif consiste à procéder à une hystérectomie.
Ce traitement chirurgical peut être précédé ou suivi d'un traitement médical qui peut aider le gynécologue à garder les ovaires qui sont responsables du maintien et de la croissance de l'endomètre. C'est ce tissu qui tapisse l'intérieur de la cavité de l'utérus et qui continue d'être stimulé par les hormones de l'ovaire. Il est impératif lorsque l'on conserve les ovaires, de s'assurer que tout le tissu cicatriciel et que l'endométriose soient extirpés pour éviter le retour des symptômes. Lorsqu'il n'existe pas d'endométriose ou de tissu cicatriciel après l'hystérectomie, les risques du retour de la maladie ne sont que de 10%. Par ailleurs, s'il existe du tissu d'endométriose et que les ovaires sont conservés, la possibilité d'une nouvelle intervention se situe aux environs de 50%.
LE TRAITEMENT MÃDICAL
Dans la vie d'une femme il existe deux événements naturels qui améliorent les signes et symptômes de l'endométriose: la grossesse et la ménopause. Dans les deux cas, l'hypophyse, qui est une glande située à la base du cerveau, cesse de libérer des stimulants des ovaires (gonadostimulines) qui produisent à leur tour des oestrogènes. L'ovulation et les menstruations sont ainsi interrompues et la femme est soulagée des symptômes de l'endométriose. L'hormonothérapie agit en reposant les ovaires pendant une certaine période pendant laquelle les lésions d'endométriose se dégradent et disparaissent pour un certain temps. Il existe plusieurs types de traitement hormonal.
PILULES CONTRACEPTIVES
Les contraceptifs oraux, en bloquant l'ovulation, empêchent la libération des hormones de l'hypophyse qui viennent stimuler l'ovaire. Il s'en suit une diminution des menstruations, du reflux menstruel et également une diminution de la stimulation des implants d'endométriose.
LE DANAZOL (CYCLOMEN)
Cette hormone synthétique bloque la sécrétion des ovaires et produit une ménopause artificielle. Elle permet ainsi à l'endométriose de sécher et de s'amenuiser. La plupart des femmes cessent d'avoir leurs règles lorsqu'elles prennent ce médicament. La durée d'administration est habituellement de six à neuf mois. Cette médication est surtout efficace dans le traitement des douleurs mais a peu d'indications dans l'infertilité. Ses effets secondaires les plus fréquents consistent à une prise de poids d'environ quatre ou cinq livres, le premier mois, quelques bouffées de chaleurs, une sécheresse vaginale, ainsi que la possibilité d'apparition d'acné ou de peau grasse, qui disparaissent après l'arrêt du traitement.
HORMONES PROGESTATIVES
Les hormones progestatives, bloquent également l'ovulation et diminuent la croissance de l'endomètre. Les principaux effets secondaires que l'on rencontre sont les saignements intermittents, l'irritation gastrique et parfois, l'acné.
LES ANALOGUES DE GN-RH (ZOLADEX,DEPO-LUPRON, SYNAREL)
Il s'agit d'une nouvelle catégorie de médicaments qui permettent également de bloquer l'hypophyse et il s'en suit un arrêt de la production des oestrogènes comme l'on assiste à la ménopause. Les principaux effets secondaires sont les bouffées de chaleurs et quelques fois, les maux de tête, la sécheresse du vagin et un certain état de fatigue. La déminéralisation des os limite l'utilisation de ces substances à six mois. De plus, le coût élevé de ces produits (400,00$/mois) limite généralement leur utilisation.
90% des patientes porteuses d'endométriose et présentant des douleurs au bas ventre verront leurs symptômes disparaître avec la prescription d'un de ces médicaments, durant une période de 6 mois. Dans la moitié des cas, les symptômes vont réapparaître après 5 ans: 37%, dans l'endométriose légère, 45%, dans l'endométriose modérée et 75%, dans l'endométriose sévère.
2007-01-08 19:46:40
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answer #4
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answered by kimlien 2
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