Cela veut dire qu'il est comme moi.
Nous grands consomateurs buvont en fonction de nos occupations et des perspectives avenir si on en n'a donc pas cela ne peut qu'aller de mal en pire.Le truc donc c'est de l'orienter vers autre chose tout en l'eloignant de son environnement.Si tu trouve pas le seul truc c'est un bon psy.
Pour mon cas je suis partit de plus de 6l de bierre par jours à 3l par semaine ,parce que je bosse,et mes jours de fêtes sont réduis .A la longue l'organisme perd le rythme et le besoin devient de moins en moins grand.(Seul com un grand)
2007-01-07 09:05:58
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answer #1
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answered by Zigzag 3
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J'ai subi une espèce de c... qui comptait sur moi pour le sortir de son problème et ça s'est très mal terminé.
Aide-le autant que tu peux, mais surtout protège-toi : ce n'est pas ton métier, il y a des psys spécialisés pour ça. C'est d'eux qu'il a besoin.
2007-01-07 09:55:39
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answer #2
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answered by Anonymous
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Il y a quelques mois, j'ai lu le livre d'Hervé Chabalier "Le dernier pour la route".
A l'occasion de ta question, j'ai trouvé cette page Web qui peut t'apporter quelques éléments de réponse.
2007-01-07 09:02:16
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answer #3
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answered by Blaireau One 5
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Te rapprocher d'associations de personnes ayant la même addiction. Je pense qu'en parlant avec des conjoints d'alcooliques, vous pourrez vous entre aider.
2007-01-07 08:48:14
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answer #4
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answered by Feuille 4
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Le premier énorme pas et le plus difficile est qu'il le reconnaisse !
S'il n'est même pas à ce stade c'est compliqué...
2007-01-07 08:54:35
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answer #5
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answered by bigjim 6
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