On distingue les parasites externes (ectoparasites), tels que les poux, et les parasites qui vivent à l'intérieur d'un organisme (endoparasites), comme les ascaris.
Les parasites permanents passent la plus grande partie de leur cycle biologique avec le même hôte, tandis que les parasites temporaires mènent une vie libre pendant une partie de leur cycle biologique.
Les parasites qui sont incapables de survivre en dehors d’un hôte sont appelés parasites obligatoires (c’est le cas des virus), tandis que les parasites capables de se nourrir sur des matières mortes sont appelés parasites facultatifs.
Le cycle de vie de certains parasites (les filaires, les plasmodiums responsables du paludisme ou encore la douve du foie, par exemple) passe par plusieurs hôtes différents (un hôte principal et un ou plusieurs hôtes intermédiaires). Ils sont dits hétéroxènes. À l’inverse, les parasites monoxènes, tels que l'oxyure, passent la phase parasite de leur vie dans un seul organisme.
La tête (ou scolex) de ce ver plat est caractéristique du groupe des cestodes : elle est pourvue d'une protubérance munie de crochets, entourée par deux ventouses, qui lui permettent de se fixer fermement aux parois intestinales de son hôte.
Dans la plupart des cas, l'hôte et son parasite sont en conflit permanent.
Le premier tente de rejeter le second, tandis que le second essaie d'échapper à ce rejet. La grande bataille est d'ordre immunologique. L'hôte produit des anticorps dirigés contre les antigènes de surface du parasite, des protéines le désignant comme un étranger. Pour se protéger, le parasite change régulièrement d'antigènes (ce qui explique, par exemple, la difficulté de mettre au point un vaccin contre le paludisme). De même, le parasite se protège contre l'agressivité du milieu que constitue son hôte (acidité gastrique, par exemple) en développant des téguments très résistants. Au cours de l'évolution, les parasites internes se sont profondément transformés, abandonnant leurs organes inutiles (systèmes digestif et excréteur, etc.) pour ne plus garder que leur fonction reproductrice.
À l'inverse, ils ont développé de nouveaux organes, notamment ceux leur servant à s'accrocher ou à se déplacer dans l'organisme hôte.
C’est le cas du ténia, dont la tête est pourvue de crochets lui permettant de se fixer à la paroi du tube digestif de son hôte.
2006-12-27 13:38:59
·
answer #1
·
answered by What? 3
·
0⤊
0⤋
Les parasites pullulent dans les régions chaudes et humides, lieux de prédilection de leurs hôtes, mollusques ou larves d’insectes, dont certains affectionnent les canaux d’irrigation quand d’autres préfèrent les eaux courantes ou encore les eaux stockées. Ces parasites sont transmis à l’homme par pénétration à travers la peau.
2006-12-27 20:08:41
·
answer #2
·
answered by Anonymous
·
1⤊
0⤋
PARASITE : C'est un organisme qui vit ou se développe aux dépens de celui qui l'héberge.
Un parasite se nourrit des tissus, du sang ou des aliments de son hôte. La plupart des parasites sévissent dans les pays tropicaux, où leur présence est liée aux conditions climatiques et souvent à une hygiène déficiente des populations.
2006-12-28 09:17:28
·
answer #3
·
answered by emmanuel l 6
·
0⤊
0⤋
Je suis juste venue voir si un enfoiré avait répondu "le long du canal St Martin". Personne! Magnifique, je suis rassurée.
2006-12-27 23:55:43
·
answer #4
·
answered by maryse T 7
·
0⤊
0⤋
le plus souvent là où il y a de la saleté ...
2006-12-27 20:09:39
·
answer #5
·
answered by Anais 6
·
0⤊
0⤋
La nuit de la St Sylvestre, suivez les voitures brulées et vous trouverez leur nid...
2006-12-27 19:53:48
·
answer #6
·
answered by Chtivain 2
·
1⤊
1⤋
PARTOUT ........on en est recouvert
2006-12-27 19:41:18
·
answer #7
·
answered by crystal 3
·
0⤊
0⤋
la ou il y a des microbes
par example.......... le gouvernement
Sarko n'est qu'un gros cafard
2006-12-27 19:44:55
·
answer #8
·
answered by Mashigomu 3
·
0⤊
2⤋