Est ce que le faite d'être imposable est une liberté?

Question

je suis libre mais imposable?
je parle bien sûr d'impôt et taxes

Answer 1

oui ,tu as la liberté de payer ,sinon gare à l'huissier du Trésor!

Answer 2

en théorie oui, mais dans la pratique c'est le collier !

Answer 3

c'est un devoir civique.

Answer 4

Plutôt une soumission.

Answer 5

En principe oui

Answer 6

constitutionnellement ça ne renre pas dans les libertés(droit au travail,au logement etc......)mais pluto ds les obliqation dc les devoirs du citoyen les 2 notions n'ont rein avoir!!

Answer 7

" Jean -Jacques Rousseau "
<' L'argent qu'on possède est l'instrument de la liberté ; celui qu'on pourchasse est celui de la servitude . '>
Il est évident que si vous êtes satisfait de cette liberté là , alors à quoi bon lutter pour que toutes ces taxes dont nous sommes les esclaves soient abolies .
Nous sommes un des pays européen a être le plus taxé , à chaque fois que nous achetons quelque chose , nous payons TVA de ceci ou de celà .
Perso , je ne pense pas être libre , puisque cernée de partout par les impôts . Mais mon train de vie me rend libre , puisque je consomme plus aisément , c'est une histoire de fou !!! lol
" Edgar Poe "
<' L'important , c'est de savoir ce qu'il faut observer . '>

Amitiés .

Answer 8

C'est un devoir que de payer des impôts...Qui théoriquement te donne aussi des droits!

Answer 9

Oui, tu es libre de t'exprimer pleinement sur le malaise de notre société car en payant des impôts, tu contribues au développement de notre société. Voilà pourquoi je trouve aussi qu'une personne qui ne vote pas peut être en colère contre la société ( si cette personne paye des impôts ).
Disons que c'est une liberté très réduite, c'est sûr.

Answer 10

Si tu ne veux plus payer d'impôts, tu es toujours libre de te casser. Un peu comme Johnny...

Answer 11

C'est evidemment une liberté car l'imosabilité suppose une disposition de revenus, donc une liberté d'aller, d'acheter, d('echanger. Ci dessus les premières lignes de ce qu'en dit fiscafrance. Lis la suite, c'est intéressant.

"Avant la création de la taille, impôt de répartition, le principe d'un impôt de quotité frappant les revenus de l'ensemble des sujets du royaume avait été retenu.

L'impôt du vingtième et la dîme saladine furent ainsi levés au XII ème siècle, comme l'impôt du centième et du cinquantième au XIII ème. Ces impôts étaient techniquement très en avance sur leur temps. Ils exigeaient en effet une déclaration des contribuables (dîme saladine, cinquantième) et leur taux était fixé d'avance (impôt de quotité), progressif, même, dans le cas de l'impôt du cinquantième. Le pouvoir royal ne trouva malheureusement aucune administration apte à gérer de tels impôts.

Plus tard, au XVIII ème siècle, des besoins financiers accrus, les défauts de la taille, conduisirent la Monarchie à tenter d'instituer des impôts universels sur les revenus et de réaliser quelques innovations techniques.

Dans son ouvrage, paru en 1701, Vauban préconise l'instauration d'une dîme royale, payable par tous.

En 1710, le contrôleur général des finances, Desmaretz, s'inspirant de la taille réelle, crée, pendant la guerre de succession d'Espagne, le dixième, qui deviendra l'impôt des vingtièmes en 1749. Impôt de quotité, le dixième cherche à frapper les revenus des propriétés déclarées. Pour la première fois apparut alors, de façon expérimentale, la déclaration des revenus.

Cette innovation fut étendue à la taille personnelle par le Duc de Noailles en 1716, sous la Régence. Il s'agissait d'assurer la proportionnalité de la charge fiscale aux facultés du taillable en établissant des règles clairement définies.