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Ces sociétés achètent des entreprises françaises dasn le but de faire des bébéfices et pour cela licencient à tout-va... je ne parle même plus ici de morale puisque ces gens n'en ont qu'une: celle du fric!

2006-12-21 00:29:38 · 10 réponses · demandé par annereporter94 6 dans Entreprises et finance Investissement

10 réponses

Je pense qu'il s'agît d'un "réquisitoire" d'argent qui serve a fond perdue pour les entrepreneurs !!!!!

(J'ai besoin d'apprendre le français. Excuse moi si ma réponse c'est pas correcte)
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2006-12-21 04:43:03 · answer #1 · answered by Anonymous · 10 1

mais ma chérie, c'est ce qui fait tourner le monde, le fric. Et faut bien que des gens ne touchant pas le smic/rmi ou autres allocs puissent vivre...hé oui, moi je vis de la bourse, depuis mon canapé...

2006-12-21 08:40:57 · answer #2 · answered by G6k raz l'bol des trolls 7 · 2 0

Que c'est un système de retraite risqué. Les employés d'Enron, majoritairement actionnaires (par l'intemediaire des fonds de pension), n'avaient plus que leurs yeux pour pleurer suite à la faillite de la société.

2006-12-21 08:36:12 · answer #3 · answered by merci 5 · 2 0

C'est un paradoxe:
c'est un produit du capitalisme, mais qui est totalement anti-economique puisqu'uniquement intéressé par des bénéfices à court terme.

En tout cas, c'est très dommageable pour l'économie, ces fonds de pension qui ne cherchent qu'à s'enrichir à brève échéance.

2006-12-21 08:38:34 · answer #4 · answered by lauttzige 2 · 1 0

Il s'agit de société gérant les capitaux de caisses de retraite pour l'instant anglo saxones.

Nos très chers politiciens ne s'étant toujours pas prononcés (même si c'est dans l'air) il n'y en a toujours pas en France

2006-12-21 08:36:27 · answer #5 · answered by blue_jazznote 5 · 1 0

Pas grand chose... Tout le monde a en effet dans son entourage quelqu'un dont la boite a été racheté par un fond de pension (américain souvent) et qui se questionne sur l'avenir de son emploi... Je trouve ça bien malheureux

2006-12-21 08:33:29 · answer #6 · answered by margo 3 · 1 0

c'est pour les riches!
c'est plus la retraite par répartition mais par épargne:
tu dois payer (cher) pour compléter ta retraite...
c'est plutôt pour les hauts revenus et notamment les professions libérales!

quand aux fonds de pension américains: ils constituent d'énormes sommes qui sont placées par des sociétés qui s'en servent pour uinfluer sur les marchés quitte à les déstabiliser...

2006-12-21 08:32:33 · answer #7 · answered by Christ-off 6 · 1 0

La proposition, ou la revendication, de créer des fonds de pension pour échapper à la faillite des retraites par répartition, est principalement formulée par les plus libéraux, le MEDEF, les banques, les assurances, une partie de la "classe politique", et par les chefs d’orchestre : la Banque mondiale, le FMI, l’OCDE.

Depuis les faillites retentissantes d’ENRON et quelques autres scandales, les plus prudents ont mis un peu de réserves dans leurs proclamations des effets salutaires des fonds de pension .

Les propagandistes des fonds de pension affirment que de l’épargne, de l’argent "mis de côté" pendant la période d’activité, et judicieusement placé, permettrait ensuite de verser aux salariés/actionnaires devenus retraités une rente/retraite qui assurerait leurs vieux jours. De multiples analyses ont dévoilé les erreurs et les mensonges contenus dans ce discours, et souligné que les fonds de pension répondraient mal aux difficultés qui résulteraient d’un éventuel "choc démographique".

Mis à mal par les critiques, les partisans des fonds de pension ont avancé d’autres arguments que le financement des retraites pour imposer leur mise en place. Nous ne sommes plus alors dans le débat sur les retraites ; ce sont d’autres questions qui sont posées : le financement des entreprises, la capitalisation en France, la direction et le management des entreprises, etc.

La colonisation organisée de la France par les fonds de pension étrangers ?

Il nous est tout d’abord dit que les fonds de pension anglo-saxons possèdent entre 30 % et 40 % du capital des grands groupes côtés en bourse à Paris. Et que la création de fonds de pension "français" permettrait d’opérer un rééquilibrage pour garder, ou reprendre, le contrôle de ces entreprises.

Ainsi, les mêmes qui prônent la totale liberté de circulation des capitaux, qui ont notamment participé à sa mise en place en France, qui ont pris des dispositions législatives et réglementaires pour rendre la place de Paris attractive aux capitaux étrangers, se plaignent maintenant des conséquences de leurs choix. En effet, des opportunités gigantesques ont été offertes aux capitaux étrangers (désignés, pour la cause, "investisseurs"), particulièrement lors des opérations de privatisation des entreprises publiques. Des dispositions fiscales très favorables ont été prises à l’égard des résidents à l’étranger, ce qui rend leurs capitaux placés en France encore plus rentables.

C’est Nicolas Sarkozy, Ministre du Budget en 1993, qui a pris la décision d’accorder aux fonds de pension étrangers le bénéfice du remboursement partiel de l’avoir fiscal dans la limite de la retenue à la source de 15 % exigée normalement des investisseurs étrangers. La France est le seul pays européen à faire bénéficier ses non-résidents du remboursement de l’avoir fiscal. Le Conseil National des Impôts chiffre le coût de cette mesure à 24 milliards de francs sur huit ans pour le budget de l’Etat. Le texte "Sarkozy" crée entre les fonds de pension étrangers et les investisseurs français un différentiel de rendement.

Les non-résidents ont une espérance de gain majorée par cette fiscalité privilégiée ; ils seront donc prêts à payer un prix plus élevé que les investisseurs résidents.

Les investisseurs résidents n’arrivent plus "à suivre" le coût d’acquisition ; ils sont amenés à vendre, en réalisant souvent des plus-values, ce que des non-résidents vont acheter. Sauf modification des dispositions fiscales actuelles, ce mouvement ne peut que se poursuivre et s’accélérer. Il n’était manifestement pas nécessaire de prendre une telle décision pour permettre la capitalisation des entreprises françaises : l’épargne disponible en France est importante. Ainsi, les particuliers français se sont portés acquéreurs de plusieurs fois la quantité de titres qui leur était réservée lors des privatisations des quinze dernières années. Les entreprises privatisées auraient donc pu demeurer "sous contrôle français", en ne fixant aucune limite aux résidents,... ou, encore mieux, en ne les privatisant pas.

Le transfert entre les mains de non-résidents du capital des sociétés françaises diminue par ailleurs le rendement de l’imposition du capital en France ; et ceci a des conséquences d’autant plus graves pour le budget de l’Etat que la part du capital dans la valeur ajoutée continue d’augmenter, et la part des salaires de diminuer. Il est donc bien vrai que des entreprises "françaises" sont progressivement contrôlées de l’étranger, que les bénéfices qu’elles réalisent à partir de l’activité des travailleurs en France financent en partie les retraites outre-Manche et outre-Atlantique, et que cette répartition de bénéfices ne procure rien au budget de l’Etat français. Pour éviter une telle situation, il ne fallait pas prendre les mesures qui l’ont permise.

2006-12-21 08:41:39 · answer #8 · answered by Calineur 6 · 0 0

une manière de voir les choses.
Une autre est que ces fonds de pension sont nos retraites..... Où est la morale?

2006-12-21 09:18:14 · answer #9 · answered by Jr b 5 · 0 1

Ca me dégoûte. Je dis non !

2006-12-21 08:38:20 · answer #10 · answered by dje1234 4 · 0 2

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