Tant qu'un alcoolique ne veut pas admettre qu'il est malade car oui il s'agit d'une maladie, on ne peut malheuresement pas faire grand chose pour lui. Mais l'entouré et lui montré qu'on l'aime peuvent l'aider.
2006-12-09 09:13:22
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answer #1
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answered by bizarpetite 2
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il faut que l a personne admette qu elle a un pblme avec l alcool qensuite qu elle ai vraiment envie de s en sortir il faut que son entourage soit patient tolerant il faut toujours stimuler la personne car la cure de desintoxication est pas facile t la rechute est tres facile c est pire que la personne qui fume qui stoppe et qui a constamment l envie de reprendre la cloppe
2006-12-10 04:27:00
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answer #2
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answered by abricotine 3
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Tout d' abord, lui dire qu' on comprend son problème, que tout le monde est prêt à l' aider, si il le souhaite. Que c 'est une maladie comme une autre, et qu il faut consulter soit un bon médecin de famille, soit un médecin alcoologue.
Il n' y a pas de honte à avoir (très dur à faire comprendre) l' alcool est le plus utilisé comme anxiolithique, mais la dépendance est terrible. La dépression entraîne la prise de boisson alcoolisée, et cette prise d' alcool entraîne également la dépression. Il est donc très dur de se sortir de ce mauvais pas tout seul.
Il faudrait lui parler des associations de malades alcooliques qui sont le meilleur médicament, parce que les gens présent à ces réunions ont tous connus les dégâts occasionnés à l' entourage et à leur propre corps.
Je ne peux être trop long, mais si je peux aider, ma boite mail est ouverte, bon courage à toi et à ton amie (qui en a beaucoup déjà pour te parler)
2006-12-09 17:31:09
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answer #3
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answered by Anonymous
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Complètement d'accord vc bizzardpetite
tant que la personne n'admet pas son problème personne ne peut l'aider, c ça le probleme!
2006-12-09 17:21:20
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answer #4
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answered by Get up Stand up 2
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Si tu vas dans une association type " les alcooliques anonymes" , ils te diront que c'est à l'alcoolique de s'en sortir par lui même et d'aller au fond du gouffre pour pouvoir ensuite rebondir si possible.
Cette association recommande davantage l'intéret et la sauvegarde des proches que du malade lui même.
Il n'y a rien à faire, juridiquement le "malade" s'il ne veut pas se faire soigner, on ne pourra pas l'obliger
On ne peut rien faire.....j'ai été étonné quand ils m'ont dit cela mais après réflexion je pense qu'ils ont raison.
2006-12-09 17:16:32
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answer #5
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answered by bernard m 4
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L'accompagner aux AAA qui sont les Alcooliques Anonymes... Dans chaque ville !
Sinon, il existe des cliniques pratiquant le seuvrage mais la volonté du patient est éxigée ; Un accompagnement Psy est indispensable...
2006-12-09 17:16:29
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answer #6
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answered by klode31 5
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Je suis moi-même alcoolique... et maman de cinq enfants. Je vis seule avec eux mais mon alcoolisme a commencé avant ma sépararation : c'est leur père en fait qui m'a entraînée dans ce tourbillon de l'alcool. Je ne le lui reproche pas car je l'ai suivi de mon plein gré. Il m'a fallu plusieurs années avant de comprendre que j'étais devenue dépendante, après avoir enfin compris que je me faisais du mal et que mes enfants souffraient aussi, bien qu'ils ne me l'aient jamais dit. Peut-être est-ce d'ailleurs là un premier pas à effectuer pour ton amie : faire savoir à son père qu'elle souffre de le voir ainsi. Mais peut-être est-ce déjà fait. Toujours est-il que cette prise de conscience n'a pas été suffisante pour me faire arrêter la boisson. Je ne sais pas au juste ce qui m'a aidée : peut-être d'avoir enfin eu le courage un jour d'exposer mes problèmes à des personnes extérieures à ma famille, de ne plus avoir eu honte d'avouer que j'étais alcoolique. Ce courage je l'ai eu grâce à des personnes qui se sont inquiétées de me voir sombrer de plus en plus et se sont inquiétées du danger moral que couraient mes enfants. Elles ont osé me parler sans détour et surtout sans me juger.
Cela a été une première étape importante mais insuffisante : après neuf mois d'abstinence, je me suis remise à boire, il y a à peu près un an. Pas de la même façon, pas à la même fréquence, mais beaucoup trop. J'ai eu si peur et me suis sentie si déprimée à l'idée de revivre cet enfer qu'est l'alcool, que je me suis tournée vers un psychologue appartenant à un centre d'alcoologie et que j'avais rencontré pendant ma période d'abstinence. J'ai aussi souhaité rencontré un médecin travaillant dans ce même centre pour qu'il me prescrive un médicament qui m'aide à tenir le coup en diminuant mon besoin d'alcool. Ce médicament n'est pas un remède miracle : il n'est, je crois, réellement efficace que si l'on a vraiment pris la décision de s'en sortir. Il y aurait encore bien d'autres choses à dire, car l'alcoolisme est un problème d'autant plus complexe que chaque alcoolique est différent et ne répondra pas de la même façon aux solutions qui peuvent être proposées. Je dirais en conclusion que la première étape est la prise de conscience du malade et son désir de s'en sortir.
2006-12-13 16:13:33
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answer #7
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answered by Anonymous
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il ne faut pas essayer de la dissuader de boire car ca ne parcherais pas. tout d'abord il faut ecouter cette personne car l'alcoolisme revele un mal etre physique et/ou moral. une fois une relation de confiance instaurée, il faut amener cette personne a consulter un medecin. mais cette decision doit venir d'elle sinon toutes les demarches aboutiront ds le mur.
il faut assi savoir qu'il faut svt pusieurs tentatives de sevrage pour arreter de boiure. c'est une demarche tres difficile mais au combien gratifiante quand on s'en sort!!!!!
2006-12-12 08:51:22
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answer #8
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answered by mushroom_for_ever 2
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on ne peux si elle ne le veux pas tu pourra juste l accompagner dans ce momment difficile qu et le sevrage mais uniquement quand elle souhaitera arretai pour elle meme et pas pour les autres si ils arrete de boire uniquement pour faire plaisir aux autres a la moindre difficulter rencontrais dans la vie ils replongent dans l alcool. bon courage a ton amie et a toi
2006-12-11 14:12:25
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answer #9
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answered by Anonymous
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C’est au malade lui-même à faire le pas vers la guérison, s’il ne veut pas s’en sortir il ne le fera jamais. Mais son entourage peut l’aider à trouver cette envie. A rien ne servent les reproches, les discours ou les mesures ‘de police’, c’est pire.
Il faut trouver les raison initiales de sa dépression et l’aider à la surmonter : avec du dialogue et surtout avec de l’écoute. Regagner sa confiance et lui montrer qu’il n’est pas seul.
Une fois ce premier pas franchi le reste demande encore beaucoup d’aide mais beaucoup d’association sont là pour vous aider et vous donner des bonnes pratiques.
2006-12-11 05:35:10
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answer #10
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answered by Anonymous
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