En fait j'ai un sujet d'ECJS sur l'avortement, et je voudrait savoir en quoi le fait d'être de telle ou telle classe sociale met des barrières au fait de pratiquer un avortement.
2006-12-05 03:33:09 · 5 réponses · demandé par Noëllie R 1 dans Grossesse et enfants ➔ Grossesse et enfants - Divers
comme manu59 je pense que la classe sociale n'a pas grand chose à voir et que c'est en grande partie une question de religion. En effet, les gens qui sont contre l'avortement ne donnent que des raisons idéologiques à leur position, culpabilisant la personne qui veut avorter, culpabilisant les gens qui ne pensent pas comme eux. Ce sont des intégristes en tout genre.
L'avortement est un droit en France, mais il n'est évidemment pas un moyen de contraception.
2006-12-06 19:57:17 · answer #1 · answered by zazap 6 · 0⤊ 0⤋
Je pense que c'est une question de religion qui peut mettre des barrères au fait de pratiquer l'avortement. Ce sont toujours des assos religieuses qui manifestent contre l'IVG, je ne pense pas que ce soit une question de classe sociale. Je hais ceux qui sont contre l'avortement, ils ne pensent qu'à leur foi et non à la personne qui est concernée par la grossesse non voulue.
2006-12-05 03:42:28 · answer #2 · answered by manu 59 3 · 3⤊ 0⤋
Peux tu définir le concept de classe sociale que tu veux utiliser??
Si tu prends par exemple un classement par revenu de type CSP+, CSP etc. etc. tu auras des résultats différents que par un classement de type "idéologique".
C'est à dire qu'un catholique intégriste (pauvre ou riche) mettra sans aucun doute d'énormes barrières à la pratique de l'avortement! Donc ici, un classement par classe économique n'est pas pertinent. (enfin, c'est juste un exemple hein!)
Bref, quelles "classes sociales" veut tu prendre pour ton étude ?
2006-12-05 03:45:03 · answer #3 · answered by coolmao 4 · 1⤊ 0⤋
Mis à part les questions religieuses ou idéologiques, je crois que l'avis sur la question dépend du niveau de maturité intellectuelle. Lorsque l'on est trop jeune ou qu'on n'est pas du genre à refléchir, on voit surtout le coté matériel et les difficultés qui viendraient avec un enfant non désiré. Avec plus de reflexion peut venir la prise de conscience de ce que représente un avortement sur le plan psychologique.
C'est pourquoi je pense que les classes sociales les plus éduquées mettront plutôt un frein à l'avortement en en nuançant les bénéfices.
2006-12-05 20:26:40 · answer #4 · answered by JSmunich 3 · 0⤊ 0⤋
je parle en connaissance de cause, je suis de classe moyenne, je ne suis ni riche ni pauvre, je n'ai jamais manqué de rien, je suis athée, j'ai eu recours à un avortement, ca a été un réel traumatisme pour moi, je l'ai fait vraiment à contre coeur, j'ai mis plus de deux ans à me reconstruire après cette démarche, je me sens coupable, bien sur, à 17 ans, allant encore à l'école, je ne vois pas comment j'aurai pu élever cet enfant, il n'était pas désiré mais c'était quand meme un petit être en moi... personnellement, je suis contre les IVG ormi en cas de viols forcément... cet enfant j'aurai été prete a l'assumer quitte a partir de chez moi, trouver du boulot, j'aurai assumé ma bétise comme j'aurai pu, mais le papa n'était pas... motivé... :(
il faut vraiment prendre consience que faire un avortement c'est pas une partie de plaisir, je comprends que certaines femmes y vont comme si elles allaient au marché, ca m'écoeure...
si c'est un accident, que tu n'as pas les moyens d'assumer, bon ca peut passer une fois mais yen a elles sont abonnés, ca me dégoute !!
d'accord c'est encore un oeuf, mais c'est quand meme un gosse...
2006-12-05 11:38:06 · answer #5 · answered by vanessa 3 · 0⤊ 0⤋