La masturbation est une pratique sexuelle consistant à rechercher et à trouver la volupté par la stimulation des parties génitales (le plus souvent avec les mains) dans le but d'obtenir ou de donner du plaisir. Elle est parfois pratiquée en utilisant des godemichets et/ou autres jouets sexuels.
L'étymologie en est contestée : manus turbare (troubler de la main) ou manus stuprare (exciter de la main) ? Les spécialistes ne sont pas d'accord entre eux.
Risques
La masturbation de soi-même (en présence ou hors présence d'un(e) partenaire) est une pratique sexuelle sans risque de transmission de MST. La masturbation du ou de la partenaire est de faible risque, pourvu que :
les mains n'aient pas de plaies ouvertes ;
les fluides sexuels n'entrent pas en contact avec les muqueuses (anus, vagin ou bouche) du ou de la partenaire ;
les jouets insertifs soient lavés avant d'être partagés, ou encore protégés par un préservatif qui soit changé avant le partage.
D'après une étude du Conseil du cancer de l'État de Victoria en Australie, publiée dans le British Journal of Urology International vol 92, p 211, la masturbation masculine permettrait de diminuer les risques de cancer de la prostate.
2006-12-04 09:51:11
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answer #1
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answered by Anonymous
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risque de foulure du poignet !!!!!
2006-12-04 07:49:41
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answer #2
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answered by Anonymous
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Masturbation, les différences hommes / femmes
La masturbation n'est plus un sujet tabou, en tout cas, plus autant qu'elle ne l'a été. Et, depuis que l'on en parle, on note des différences significatives entre les hommes et les femmes à ce niveau. Quelles sont-elles et à quoi sont-elles dues ?
La pratique de la masturbation
La première des grandes études sur la sexualité est due à Alfred Kinsey, auteur du fameux rapport Kinsey aux Ãtats-Unis (1948). Il constate à l’époque, qu’à l’âge de 18 ans, 92,8 % des hommes se sont déjà masturbés pour environ 38 % des femmes.
Chez l’homme, la pratique de la masturbation semble déjà saturée à 18 ans, âge après lequel elle n’augmente plus. Chez les femmes, c’est différent : après 18 ans, le pourcentage de femmes connaissant la masturbation augmente au fil des années, et cela jusqu’à 35 ans pour arriver aux alentours de 63 %. Ãtonnamment, la grande enquête sur le comportement sexuel des Français, bien que plus récente, aboutit à des chiffres plus bas : 16 % des hommes de 25 à 45 ans expriment ne jamais s’être masturbés pour 45 % des femmes.
La fréquence de la masturbation
La fréquence est elle aussi différente entre les deux sexes, et cela commence très jeune. Chez les garçons entre 15 et 18 ans, 35 % affirment s’être masturbés dans la semaine précédente pour 10 % des filles (1).
Pourquoi ces différences ?
Les explications à ces différences sont de deux ordres : la différence anatomique peut expliquer l’accès plus facile au sexe masculin. Un garçon voit son sexe, ressent ses érections et explore naturellement ce phénomène. Une fille ne voit pas son clitoris (sauf si elle utilise un miroir), et n’en ressent pas aussi facilement l’excitation, puisqu’il est beaucoup plus discret. Il est donc moins simple pour elle de faire le lien entre ses émotions sexuelles et les réactions physiques de son corps.
L’autre explication tient en ce que, pour la plupart des parents, la masturbation masculine serait peut-être moins taboue, moins censurée que la masturbation féminine.
La place différente de la masturbation dans la sexualité
Chez les hommes, la fréquence de la masturbation est inversement liée à la présence de rapports sexuels génitaux. Chez les femmes, la masturbation est au contraire plus fréquente chez celles qui ont des rapports sexuels.
La masturbation joue donc un rôle de substitut à la sexualité relationnelle chez les hommes, rôle qu’elle n’a pas chez les femmes. Pour elles, la sexualité relationnelle stimule plutôt la pratique masturbatoire (1).
Ainsi, on peut en déduire, semble-t-il, que la masturbation masculine est plus liée à la tension sexuelle d’impulsion, compensatoire du manque de relations sexuelles de couple. Alors que la sexualité féminine serait plus une masturbation d’entraînement liée à un plus haut niveau d’excitation sexuelle général. Cela pourrait aussi expliquer la différence de découverte et de fréquence de pratique de l’auto-érotisme.
(1) « L’entrée dans la sexualité, le comportement des jeunes dans le contexte du sida » aux éditions La découverte, sous la direction de Hugues Lagrange et Brigitte Lhomond.
2006-12-04 11:50:51
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answer #3
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answered by Dany 7
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tu peux obtenir à la longue le titre de champion du monde de masturbation. ET en plus il vaut mieux se masturber que d'aller baiser sans capote.
alors moi je ne vois rien de negatif
2006-12-04 07:52:02
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answer #4
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answered by schwarzer84 3
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à long terme ? aucun je pense, si ce n'est que tout seul c'est quand même pas terrible, à 2 c'est tellement mieux
2006-12-04 07:48:46
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answer #5
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answered by viviegineste 3
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la surdité...!!!
2006-12-04 07:47:15
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answer #6
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answered by ? 4
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tu veut dire hormis te peter le frein ? rien !
2006-12-04 07:46:39
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answer #7
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answered by booh 7
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l'ejaculation précoce.
2006-12-06 05:06:01
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answer #8
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answered by nina 1
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UNE TENDINITE
2006-12-06 03:25:22
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answer #9
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answered by sarkoestunimmigréhongrois 4
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une foulure du poignet
2006-12-05 16:57:31
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answer #10
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answered by d'jo 3
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