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Je suis allitée depuis le debut de ma grossesse.Mon employeur me suggere de quitter mon emploi.que faire?

2006-12-02 06:18:40 · 12 réponses · demandé par Anonymous dans Grossesse et enfants Grossesse

12 réponses

C'est très courant comme pratique !

demande lui une lettre puis court , enfin fait courir quelqu'un pour toi pour poser plainte pour harcèlement moral !
qu'il paie ce c.. !!

surtout, sache que jusqu'à 3 semaines après ton retour au travail après le congé maternité, il ne peut pas te virer. Donc surtout, ne démissionne pas !!

Prend un rendez vous à la médecine du travail, c'est eux qui vont faire avancer les choses ! c'est gratuit pour toi, c'est l'employeur qui va le payer ensuite, il sera heureux de payer un rdv !! ça lui fera les dents !
Pour obtenir un licenciement pour abus moral de l'employeur, il faut 3 rdv avec les médecins du travail, qui iront voir ton employeur.

Penses à ton bébé! oublie ton employeur ( je sais que c'est dur ) c'est pas un petit oiseau qui va arriver ( c'est ce que me disait mes collègues ).
Je te souhaite beaucoup de courage.

2006-12-05 01:18:26 · answer #1 · answered by lorelei40 3 · 0 0

Hé, ne fais pas ca..... il te le demande car lui ne le peut pas.... et il doit continuer à payer....
Si tu le fais, il va se frotter le smains... et tu sera partie sans indemnités... c'est idiot ca.. Ton patron est un profiteur... Demande lui eventuellement une lettre ou un courriel de te confirmer sa demande;.. il ne le fera jamais car il n'en a pas le droit....
Eventuellement, parles en à ton syndicat ou aux prid'hommes en France.

2006-12-02 14:29:28 · answer #2 · answered by Anonymous · 1 0

tu sais nous somme dans un democratique ce qui veut dire que heureusement et dieu merci nous sommes protégées nous les femmes par des lois bonne lecture si cela peux t'éclairer bon courage à toi : Droits de la femme salariée
Toute femme enceinte a droit au congé prénatal (8 semaines avant la date présumée de l’accouchement attestée par un certificat médical) et au congé postnatal (8 semaines après la date de l’accouchement). Le congé postnatal passe à 12 semaines en cas d’accouchement prématuré ou multiple ou en cas d’allaitement.

Pendant la durée du congé de maternité, la salariée enceinte bénéficie du maintien de ses droits, en ce qui concerne tant la garantie de son emploi, que la conservation de ses droits liés à l’ancienneté et de ses avantages et congés. La période de congé de maternité est assimilée à une période de travail effectif.

A l’expiration du congé de maternité, la femme salariée peut, en vue d’élever son enfant, s’abstenir de reprendre son travail, sans avoir à respecter de délai de préavis et sans avoir à payer une indemnité de rupture. Elle bénéficie toutefois, si elle en fait la demande et pendant un an, d’une priorité de réembauchage avec tous les avantages qu’elle avait au moment de son départ.

La femme enceinte ou allaitante n'est pas tenue de prester des heures supplémentaires.

Elle bénéficie également d'une dispense de travail pour les examens prénataux et, sur demande, d'une pause d'allaitement de 2 fois 45 minutes par jour à ponctionner sur le temps de travail.




2. Protection contre le licenciement
La femme enceinte est protégée contre le licenciement avec préavis, mais elle pourra toujours faire l’objet d’un licenciement pour faute grave. Dans ce cas, l’employeur ne peut pas de sa propre initiative envoyer la lettre de licenciement. Il doit déposer une demande auprès du tribunal du travail pour se faire autoriser à rompre le contrat de travail.

La protection commence à courir à partir du 1er jour où elle est en état de grossesse médicalement constaté et ce pendant les douze semaines qui suivent l’accouchement.

Lorsque la femme salariée est liée par un contrat de travail à durée indéterminée comportant une clause d’essai, cette dernière est suspendue à partir du jour de la remise du certificat médical jusqu’au début du congé de maternité. La fraction de la période d'essai restante reprend son cours à la fin de la période d’interdiction de licenciement.

Pendant toute la période de protection, il est interdit à l’employeur de notifier la rupture de la relation de travail ou de convoquer la salariée à un entretien préalable. Tout licenciement et toute convocation à un entretien préalable sont nuls et sans effet. Le contrat de travail continue d’exister avec les mêmes droits et obligations.

En cas de notification de la rupture avant la remise du certificat médical attestant de la grossesse, la femme salariée peut dans un délai de 8 jours à compter de la signification du congé, justifier de son état par la production d’un certificat médical par lettre recommandée.

Dans les 15 jours qui suivent la résiliation du contrat, la femme salariée peut demander, par simple requête au président de la juridiction de travail, de constater la nullité du licenciement et d’ordonner son maintien.

Il existe cependant une exception à cette interdiction, notamment en cas de cessation d’activités décidée par l’employeur. La Cour d’appel du Luxembourg a jugé dans un arrêt du 6 avril 2000 (Thomas c/ Perlot) que la décision de l’employeur de vouloir cesser son activité prime sur la protection des salariées enceintes. Selon elle, il est inadmissible d’obliger un employeur à maintenir son activité dans l’intérêt d’une salariée en état de grossesse, sous peine de restreindre la liberté reconnue à tout employeur de décider de l’avenir de son entreprise. Ce n’est que si la décision est manifestement abusive que la liberté de l’employeur trouve ses limites. Il convient toutefois de noter qu’en l’espèce, l’employeur n’était pas au courant de la grossesse de sa salariée au moment où il a décidé de cesser son commerce.





3. Obligations de l’employeur
Il n’est pas permis de faire travailler une femme enceinte la nuit, c’est-à-dire entre 10 heures du soir et 6 heures du matin. Il en est de même pour la femme allaitante jusqu’à la date du 1er anniversaire de l’enfant. Il faut toutefois que la femme concernée fasse une demande par lettre recommandée à son employeur, qui devra alors saisir le médecin du travail compétent, afin que celui-ci émette son avis.

En cas d’avis positif de la part du médecin du travail, l’employeur est tenu de transférer la femme salariée à un poste de travail de jour, avec maintien de son salaire antérieur et ce pendant toute la période nécessaire pour la protection de sa sécurité ou de sa santé.

Au cas où le transfert s’avérerait impossible, l’employeur devrait dispenser la femme salariée de travailler pendant la période nécessaire pour la protection de sa sécurité ou de sa santé.

Il en est de même pour les travaux considérés comme étant nuisibles pour la santé et sécurité de la femme salariée. L’employeur doit déterminer les activités dans son entreprise qui pouraient mettre en péril la sécurité et la santé de la femme enceinte ou allaitante.

Lorsque les activités accomplies par la femme enceinte ou allaitante comportent un risque, l’employeur est alors obligé, toujours sur avis du médecin de travail compétent, de donner à la femme concernée une autre affectation avec maintien de son salaire antérieur pendant toute la période nécessaire pour la protection de sa santé et sécurité. Si le changement s’avérait impossible alors l’employeur devrait dispenser la femme salariée de travailler.

2006-12-03 11:43:30 · answer #3 · answered by solene m 2 · 0 0

Ignore le, il cherche à te déstabiliser pr profiter de ta situation.
on est très vulnérable lorsque l'on est enceinte donc ménage toi et essaie de ne pas avoir de contact avec lui pdt tte ta grossesse.
tu pourras prendre des décisions adéquates à ton retour.
courage et profite...

2006-12-03 04:48:08 · answer #4 · answered by lili lou 3 · 0 0

Tu ne t'occupes pas de ton employeur il n'a pas le droit de faire ça. tu dois mener ta grossesse au calme et non dans la tourmente au cas ou tu peux toujours porter plainte pour harcelement ça lui remettra les idées en place et du plomb dans la cervelle. il na pas de femme et d'enfant ton patron pour agir comme ça et si il les a est bien je les plains.
Je te souhaite bon courage et toute mes félicitation pour ce bb a venir. Et surtout ne quitte pas ton emploi !!!!

2006-12-02 20:04:38 · answer #5 · answered by laptitesirenne 2 · 0 0

Courage! Tiens bon et prends de bon conseil aupres d'une assistante sociale ou d'un avocat, si tu telephones a ta mairie, ils te donneront un numero ou tu peux entrer en contact gratuitement avec des avocats.

Il y a suremetn des asso qui peuvent te renseigner sur les marches a suivre. Ce qui est sur c'est qu'il n'a absolument pas le droit de te harceler alors garde toutes les preuves et note les jours des coups de fil et ce qu'il t'a dit. Et surtout, n'abdique pas.

Bonne chance.

2006-12-02 19:42:14 · answer #6 · answered by grognilde 3 · 0 0

laisse le parler le code du travail protege les femmes enceintes
il ne peut rien te faire

2006-12-02 15:21:01 · answer #7 · answered by kouet 5 · 0 0

Prenez conseil auprès d'un syndicat !

2006-12-02 15:10:34 · answer #8 · answered by corbeaudecilitre 5 · 0 0

deja, si tu quitte ton emploi, tu n'a aucune allocation chomage, donc sans revenu, ce n'est pas vraiment le moment avec un bout de choux qui pointe son nez. Lui n'a pas le droit de te viré parceque tu es enceinte.
Je te ocnseille de ne plus lui repondre au telephone, ainsi il ne te harcelera pls directement. Fait juste le necessaire administratif....
A la rigueur, quant tu reprendra, si ça se passe mal, tu sera en position de chercher un autre emploi , et ne te retrouvera pas sans rien.
Car tu risque de te retrouevr dans une belle m..... sinon.

2006-12-02 14:41:28 · answer #9 · answered by licorne 5 · 0 0

il n'a pas le droit de te virer si tu es enceinte, surtout ne cède pas.

2006-12-02 14:22:18 · answer #10 · answered by Jordane 5 · 0 0

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