Ca n'est pas comme beaucoup le pensent un dedoublement de personnalite mais une psychose dans laquelle le patient entend des voix ou a des hallucinations visuelles, ou peut ressentir des ondes electriques et qui est persuadé de certaines choses (par ex, etre le messie, etre un espion pourchassé par je ne sais quelle organisation secrète, etc, etc). Il peut aussi avoir une perte des emotions, ou se comporter comme un autiste donc etre détaché du reste de la société (l'autisme schizophrénique)
2006-11-23 09:05:25
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answer #1
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answered by Pr Gumby 4
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J'avais dans mon entourage professionnel une personne dont sa fille était atteinte de cette maladie psychiatrique grave . Quel grand malheur . L'enfer lui est tombé dessus , à la suite d'un divorce , sa fille n'a pas supportée . De psy en clinique psy , avec une tonne de médocs , cette jeune fille a complètement perdue l'esprit de la réalité , elle avait des crises de démence et a saccagé 3 appartements . Sa mère s'est toujours sentie responsable de cette descente aux enfers . La suite était inéluctable , à la suite de nombreuses TS , elle est arrivée à ses fins . ( 21 ans )
La schyzofrénie , à un haut degré , est terrible pour ceux qui essaient d'aider , de comprendre ce qui se passe dans la tête du malade . C'est une destruction par tous les moyens de leur propre personne , entreinant des blessures corporelles , et ne s'en rende pas compte . Ils sont capables du pire contre eux.
Je souhaite à ceux qui ont chez eux , ou parmi eux des malades atteints de cette terrible maladie , tout le courage et la volonté pour aider au maximum , sans être avaler eux mêmes , ce patient .
Amicalement .
2006-11-23 09:19:20
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answer #2
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answered by katiouchka 5
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TROUBLE DE LA PERSONNALITE
2006-11-23 08:58:48
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answer #3
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answered by modanna 1
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une personne qui souffre et qui a besoin d'aide
2006-11-23 08:58:31
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answer #4
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answered by jo 6
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[?] Qu'est-ce que c'est ?
C'est une psychose, qui se manifeste par la désintégration de la personnalité, et par la perte du contact avec la réalité.
C'est la maladie mentale chronique la plus fréquente. Elle frappe près de 1 % de la population des pays économiquement développés, autant les filles que les garçons, entre 15 et 35 ans.
Il n'y a pas une, mais des schizophrénies, dont les caractères communs sont les suivants :
L'âge de début, de la post-puberté à la trentaine, peut influer sur les formes de la maladie ;
Elles s'accompagnent d'un fléchissement de l'élan vital et de l'activité mentale (perte d'intérêt) ;
Le trouble fondamental réside dans la dissociation mentale, la discordance.
L'inhibition de l'activité mentale favorise un repli sur soi, ou autisme, avec apparition de fantasmes délirants ou hallucinatoires ;
Des symptômes physiques sont souvent associés : psychomoteurs (catatonie), végétatifs ou neuroendocriniens.
[?] Les signes de la maladie
Les formes de début sont très variées.
Dans beaucoup de cas, la schizophrénie est précédée par des "états schizoïdes" qui permettent encore à l'individu de mener une vie quasi normale en apparence et qui ne constituent qu'une accentuation de ses particularités caractérielles.
Il apparaît songeur, renfermé, sujet à des impulsions irraisonnées.
Ces signes sont souvent interprétés par les parents comme des traits de mauvais caractère.
Au début, l'adolescent décroche sur le plan scolaire.
Il reconnaît lui-même avoir de plus en plus de difficulté à se concentrer, à maintenir son attention.
Ces troubles résultent de l'incapacité progressive du patient à utiliser ses capacités intellectuelles.
L'entourage essaie souvent de minimiser le caractère pathologique de ces comportements, et fournit des explications : cause somatique, paresse, crise de croissance, crise d'adolescence, considération de l'échec comme la cause et non comme la conséquence de la perte d'efficience.
Les troubles affectifs sont trompeurs également, car ils sont aussi vécus par tout adolescent qui accède à l'âge adulte.
Le caractère paraît changer : le jeune est morose, froid, indifférent, il n'a plus d'élans affectifs, il s'isole de plus en plus et abandonne ses investissements extérieurs.
Il fuit la compagnie de ses camarades et se montre irascible, hostile lorsqu'il se trouve au sein de sa famille.
Ses bizarreries deviennent plus nombreuses.
Son regard se dérobe.
Il sourit sans raison ou esquisse des mouvements dont on ne perçoit pas la cause. Sa sexualité est perturbée, "mal intégrée".
Il arrive que l'adolescent lutte instinctivement contre la dépersonnalisation qui le menace.
Il s'attache alors à une idée, un concept religieux, un idéal politique, un système philosophique autour duquel il tente de se "rassembler".
Mais il apporte dans cette foi, réduite en fait aux proportions d'une marotte, une confusion d'esprit ou un rationalisme systématique jusqu'à l'absurde qui révèle la profondeur du trouble mental.
Ce comportement du pré-schizophrène rappelle sous ses divers aspects la crise de l'adolescent qui est, elle, normale, et il n'est pas toujours facile de faire la part des choses.
Dans d'autres cas, le début est brutal. Un tiers des schizophrènes ne passent pas par les phases préliminaires et leur prédisposition mise à part, ils s'installent rapidement dans leur délire. Dès lors, ces malades sont plongés dans une indifférence absolue. Ils éprouvent l'impression d'être dédoublés.
La bouffée délirante aiguë est un mode d'entrée dans la maladie particulièrement brutal : elle s'installe en quelques heures, chez un patient entre 18 et 45 ans, qui n'a pas d'antécédents psychiatriques en dehors parfois d'épisodes similaires.
D'emblée le délire est constitué. Il arrive au malade d'agir son délire ce qui explique les conduites bizarres souvent observées (fugues, bagarres, actes médico-légaux).
A certains moments le patient peut avoir conscience de sa maladie, ce qui majore son angoisse.
L'évolution de cet épisode est variable : dans 15 à 30 % des cas il s'agit de la première manifestation d'une schizophrénie.
D'autres patients (25 à 40 %) retrouvent leur équilibre et ne récidivent jamais. D'autres enfin connaîtront la répétition de ces épisodes aigus tout en récupérant à chaque fois un état mental normal entre les crises.
Dans la phase aiguë de la maladie, le schizophrène ne parvient même plus à vérifier sa propre réalité dans les objets et les êtres qui l'entourent.
On observe même une altération de la notion de schéma corporel.
L'être ne se dessine plus matériellement à ses propres yeux.
Le malade est désynchronisé.
Il sourit à contresens, n'achève pas ses gestes ou les rend mécaniques comme ceux d'une marionnette.
Il croit qu'on lui dérobe sa pensée.
[?] Les causes
La cause est inconnue actuellement.
Cependant, il existe probablement un facteur biologique qui reste inconnu. Deux voies de recherche sont suivies actuellement : la première étudie les neurotransmetteurs et les récepteurs, l'autre étudie le développement des structures cérébrales. Dans les deux, un facteur génétique pourrait intervenir.
[?] Traitement de la maladie
Il est souvent nécessaire d'hospitaliser ces patients, en particulier au début de la maladie.
Les médicaments (neuroleptiques : Solian, Haldol) peuvent atténuer les symptômes, ainsi qu'une psychothérapie et un suivi dans une structure de soins
sur ce site tu peu trouver des info egalement.
http://www.frm.org/upload/dossier/schizophrenie.pdf
2006-11-24 09:43:11
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answer #5
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answered by nonolereveur 5
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La schizpohrénie est une psychose.
2006-11-23 09:00:27
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answer #6
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answered by lettresetpoemes 6
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C'est une personne qui s'invente une autre personnalité, pour etre plus clair:
par exemple un dentiste qui s'imagines qu'il est un tueur, c'est assez compliqué, et très grave, il y a cependant des films très interessant sur le sujet!
2006-11-25 07:27:19
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answer #7
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answered by Hélène°0°Oo°°o)o 2
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SCHIZOPHRENE = SCHIZOPHRENIE : C'est une psychose caractérisée par la désagrégation de la personnalité et par une perte du contact vital avec la réalité.
La schizophrénie affecte le plus souvent l'adolescent ou l'adulte avant l'âge de 40-45 ans.
CAUSES : Les causes de cette affection complexe demeurent très controversées : perturbation de la relation mère-enfant, dysfonctionnement des circuits et médiateurs cérébraux, disposition constitutionnelle (sujet grand et mince, caractère schizoïde - introverti, abstrait, avec repli sur soi).
SYMPTOMES ET SIGNES : La schizophrénie est caractérisée par une dissociation mentale, ou "discordance", accompagnée d'un envahissement chaotique de l'imaginaire, se traduisant par des troubles affectifs, intellectuels et psychomoteurs : sentiments contradictoires éprouvés vis-à-vis d'un même objet (amour-haine), incapacité d'agir, autisme, sentiment de ne plus se reconnaître, délire, catatonie (ensemble de troubles psychomoteurs caractérisé par une absence de réaction aux stimulations extérieures, une immobilité absolue, un refus de parler, de manger).
On distingue plusieurs formes de schizophrénie : schizophrénie simple (inhibition, bizarrerie, marginalité); schizophrénie paranoïde (délire flou, peurs insolites s'organisant autour de certains thèmes - peur d'effectuer certains gestes, peur de certaines couleurs -, le malade ayant en outre l'impression que sa pensée est manoeuvrée de l'extérieur); hébéphrénie et hébéphrénocatatonie (catatonie, répétition immotivée et automatique de mots, de gestes ou d'attitudes, pseudo-déficit intellectuel).
TRAITEMENT : Il bénéficie du vaste éventail thérapeutique de la psychiatrie moderne (psychanalyse, médicaments psychotropes, psychothérapie institutionnelle, etc.) et permet au patient de retrouver un certain équilibre, sinon de guérir, grâce à une prise en charge adaptée. Face à un schizophrène, il convient d'adopter une attitude de très grande écoute, de le rassurer, d'essayer de lui faire développer peu à peu son discours, afin de le ramener progressivement à la réalité, et de valoriser son activité sociale (aide aux personnes âgées, participation à la préparation des repas, par exemple).
2006-11-24 22:13:38
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answer #8
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answered by emmanuel l 6
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Depuis un moment il y a des bruits chez moi,
la nuit. On m'a expliqué que c'est une sorte de shizophène qui veut entrer chez moi, si vous avez le même problème faites toute fois attention. Chez moi les bruits sortent des radiateurs.
Sans doute que le chizo vient d'ailleurs, vous pouvez me contacter.
2006-11-23 09:06:34
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answer #9
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answered by Anonymous
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Bonjour
Le schizophrène est un peu comme l’autiste, un être qui vit coupé du contact avec la réalité. Il vit pour lui-même, dans un premier temps il se dissocie de son milieu, ensuite, en second lieu, vient le délire.
Le schizophrène ne se bâtit pas un monde en relation avec les autres, il est lui et les autres en même temps. Il se suffit à lui-même. Il nourrit son mal-être par ses complexes inconscients. Il peut avoir des épisodes de démence, de paranoïa, d’hallucinations et de catatonie. Il en existe une forme qui est rarement mentionnée, celle induite par certains médicaments.
La schizophrénie frappe en général dans l’adolescence avancée et dans l’âge adulte. Souvent des mésadaptés sociaux. C’est une ‘’maladie’’ de société.
J’ai eu une patiente schizophrène, je vais vous parler de son cas. Nous l’avons traitée ensemble, mon mari et moi, puis avons présenté son cas dans le cadre du Deuxième Forum Québécois de l’Homéopathie, à l’Université de Montréal, en 1997.
Je vais la nommer Madame C, son cas est assez rare, c’est un cas de Schizophrénie suite à un médicament : Le Cardizem. Le Cardizem est un médicament cardiaque dont moins de 1% peuvent avoir des épisodes hallucinatoires. Madame C a eu la malchance de tomber dans ce faible pourcentage. Il faut dire qu’elle était prédisposée, elle nous a avoué avoir eu le Petit Jésus au pied de son lit quand enfant elle a eu la diphtérie…
Je vous plante la scène : Une dame, souriante, presque joyeuse, entre dans votre cabinet, comme je dispose d’une causeuse pour mes patients, elle s’assoit dessus, collée tout près de l’accoudoir qui se trouve près de l’entrée, très très collée… Je prends place derrière mon bureau et attends. J’attends toujours que le patient commence, après mon ‘’Bonjour’’, je lui laisse habituellement la parole. Madame Claude me dévisage, regarde à sa gauche, vers l’autre bout de la cause et me demande, toute sérieuse : ‘’Vous, les voyez vous?’’ Je ne sais quoi répondre, si je dis oui, je mens, si je dis non, je risque de fermer la porte à des confidences indispensables. Finalement je me décide, dans le doute s’abstenir : ‘’Vous, les voyez-vous?’’ Elle me répond : ‘’Oui, ils me disent de ne pas vous parler’’. C’est là que j’ai pris mon courage à deux mains, je me suis levée et j’ai ouvert la porte et lui ai dit : ‘’Ici, c’est mon bureau, vous êtes ma patiente, c’est une consultation privée, demandez-leur de sortir!’’ Ensuite je me suis permise de respirer à nouveau! Madame C a regardé la causeuse, leur a demandé de sortir et j’ai fermé la porte. Une longue suite de consultations mensuelles s’en suivirent, les unes les plus instructives que les autres, lentement le monde de la schizophrénie s’est ouvert devant moi. J’ai demandé a mon conjoint de venir m’aider, un observateur n’était pas de trop, surtout qu’il est lui-même Homéopathe… Je pense qu’on en est venu à bout, en tout cas aux dernières nouvelles il n’y a pas eu de récidive. Les visiteurs de Madame C ont regagné leur planète et l’ont laissé en paix. Je ne vais pas m’étendre sur le sujet, le but de cette anecdote est simplement d’illustrer que suite de médicaments il peut arriver des épisodes hallucinatoires que les certains psychiatres et médecins qualifient d’épisodes schizophréniques.
Mais la schizophrénie est une atteinte grave, dangereuse pour le patient et également pour l’entourage. Le schizophrène peut devenir violent, ses ‘’voix’’ peuvent lui dicter de tuer, de détruire. Ce n’est pas un cas de douce folie croyez-moi!
J’accorde beaucoup de crédit aux Médecines Alternatives, mais s’aventurer seul dans ce dédale de symptômes, sans l’appui d’un psychiatre, sans l’appui de médication approprié peut tenir du suicide. Parole d’Homéopathe!!!
Je ne sais pas si tous les cas peuvent être traités, contenus serait un mot plus juste. Je connais une Homéopathe qui suit un cas de schizophrénie qu’elle contrôle assez bien avec l’Homéo, conjointement avec l’appui d’un psy. Mon conjoint en suit un qui a eu un épisode de schizophrénie suite à une peine d’amour, un peu comme le cas que relate une de vos répondantes. Il est sous contrôle, a diminué ses médicaments chimiques, mais est toujours sous surveillance.
Le cas de Madame C est tellement rare que nous l’avons présenté en conférence. Mais il y a les autres, ceux qui vivent dans l’ombre d’eux-mêmes, les laissés pour compte de la réalité.
Il y a des moments où la nature ne peut suffire à soigner ses enfants, où le chimique doit avoir sa place, au moins pour donner son appui. Je crois sincèrement que la schizophrénie est une de ces maladies. Le mal-être de l’esprit est si mal vécu par le corps qu’il perd le contact avec la réalité et il est pénible et parfois impossible de le ramener à la vie de tous les jours.
Malheureusement l’espoir de guérison est un fil si ténu et si mince qu’il brise au moindre souffle de réalité!
Amicalement,
Marie J
Homéopathe.
2006-11-23 13:03:19
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answer #10
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answered by marie J 6
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