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2006-10-28 00:26:25 · 27 réponses · demandé par French_hector 2 dans Entreprises et finance Carrière et emploi

27 réponses

Je pense que l'intéressé doit se trouver dans un état second, alors qu'il attente à ses jours, c'est une chose, mais qu'il fasse sauter tout le quartier en est une autre !!!
.

2006-10-28 00:40:26 · answer #1 · answered by Anonymous · 0 1

Je ne me rappelle plus où j'ai entendu cette phrase mais j'avoue que , lors d'une période où j'allais très mal, elle a été porteuse d'espoir pour moi :

"Le suicide est une solution définitive face à un problème qui n'est que temporaire"

à méditer avant de faire quoique ce soit .....

2006-10-28 00:37:34 · answer #2 · answered by Florence 4 · 4 1

lâche par rapport au fait qu'on assume pas ses problèmes et courageux de stopper sa vie

2006-10-28 00:30:22 · answer #3 · answered by betty 2 · 3 0

c'est ni un acte courageux ou lâche c'est avant tout un appel au secours qui entraîne la tristesse dans son entourage quelque soit la fin

2006-10-28 00:36:09 · answer #4 · answered by ninimer 3 · 2 0

C'est une question de personnes et de circonstances. Mais avant tout, je pense que nous n'avons pas le droit de porter un jugement.

2006-10-28 00:32:04 · answer #5 · answered by cassy 3 · 2 0

Un suicide c'est ne pas assumer une situation, un problème et prendre la fuite.

Le fuite n'a jamais été du courage, le courage c'est d'assumer une situation, chercher à résoudre son problème.

2006-10-29 19:07:49 · answer #6 · answered by Oukie 3 · 1 0

C'est lâche de faire ça.
Mais ce crime contre sois-même (comme quelqu'un d'autre l'a écrit ici) peut être tellement tentant.
J'y ai pensé pour moi même... Et puis, j'ai imaginé les conséquences autres que ma simple disparition.
Que penserons mes proches? C'est vrai je suis seul, pas de femme ni d'enfant. Mais j'ai des gens qui pensent à moi et même parmi eux des gens qui s'inquiètent pour moi.

Alors partir? Tout laisser avec un seul petit mot qui ne sera qu'une piètre excuse pour une vie non assumée complêtement?
Non. Pas valable.

Quand à ceux qui prétendent qu'il est difficile de se tuer.
Allez donc interroger les personnes qui travaillent dans les hopitaux, ou les forces de l'ordre (qui ne font pas que règler la circulation et distribuer des PV). Leur témoignage est édifiant et donne le cafard.
Il existe tellement de moyens pour en finir. Même pas besoin de souffrir ou de risquer de blesser quelqu'un d'autre.

Cela dit je pense à un autre cas.
Que faire lorsque l'on se retrouve prisonnier de nazis, que l'on est sois-même un résistant, et que l'on sait que dans quelques heures des "spécialistes" de la torture viendront vous chercher pour vous faire cracher le morceau?
Vous possèder un petit cachet d'Arsenic pour "au cas ou".
Que faites-vous?
Vous jetez le cachet par terre et risquer la mort de tous vos camarades de combat, ou, vous l'avaler afin d'étrangler à votre manière ces saloparts de fascistes?
Ici la lâcheté à changé de camp.
Bien sûr la guerre est terminée depuis longtemps en Europe mais, ailleurs, des gens se battent et peuvent se retrouver dans une situation similaire.
Il y a donc bien suicide et "suicide".

Mais, considérant que cette question concerne un Européen bien tranquile dans un petit monde (heureusement) en paix, le suicide est bel et bien un acte lâche et dénué de fondements solides.

2006-10-28 10:48:53 · answer #7 · answered by acaron 3 · 1 0

Pour moi, le suicide est 1 lâcheté, 1 abandon (ne + me battre), 1 orgeuil déplacé. En Europe, je crois q ns sommes le 3 ou 4è pays après l'Autriche, la Suède et l'Italie : surtt pdt la période de Noël ; à l âge où on se découvre homo, etc. A Noël (spécialement, mais d'autres jours aussi), ayez 1 assiette de + et ALLEZ CHERCHER qq'1, offrez lui 1 douche, 1 rasoir, 1 lit. II /elle ne sera pas seul/e. Au lieu de discourir sur la vierge qui ne l'était pas ! C'est la recette anti-suicide de vos enfants, ou de ns jeunes ! Vivre la.misère, c'est la partager !
1°) - pensez à la culpabilité de ceux qui restent. Certains en "crèvent" dans les qq mois q suivent, parce q'ils/elles ne comprennnent pas q l'individualisme poussé à outrance, le gaspillage (à Noêl ou autre), le qu'en dira-t-on, le parâitre sans auc1 gène, et autres sont à l'origine du suicide.
2°) - "Il y a tjs qq'1 pour qq'1".devrait être notre mantra, sans cesse répété et rendu vrai ! Je préfèrerais, qu'on vienne me voir, perdre ma journée de travail et aider qq'1 à vivre (Je ne suis pas moraliste. Je peux me taire et écouter) q d'être obligé de le "réparer" pdt 1 nombre incalculable d'heures/de jours. Je veux bien mettre tte ma science et ma patience pour essayer de "réparer" au mieux les dégâts physiques, mais je ne suis q'1 homme très limité ! Il reste le même travail à faire avec la psuké ! Le suicidé n'aura, + jamais le goût de vivre ; il sera tjs handicapé, du corps et de la psuké, pourtant il s'accrochera à la vie ! C'est pr cela q je ne pleins pas ma peine et mon AMOUR! La vierge ne l'était pas ! Q'est-ce q cela change pour moi ? Le Christ ne me montre-t-IL pas 1 autre façon d'appréhender la vie ?
3°) - Avez-vous remarqué comme la question est bancale ? "Commettre"-sur-soi-même la mort !.La lâcheté est ds ce mot !
"Le suicide, est-ce lâche ou courageux ?" telle est la question ? La poser autrement, c'est : "Je commets un crime contre moi-même et je le sais !", "Je prive les autres de ma présence et je le sais !" Mais les autres qu'est-ce, qui sont-ce vraiment pr moi?
4a°) - Certes, vous n'avez pas demandé à vivre ! Et alors ! Moi non + ! Qu'on le veuille ou non, ns sommes tjs seuls, où q ns soyons et ns le resterons si ns n'osons pas aller vers l'autre/AUTRE. Comment trouverè-je femme si je reste ds mon coin ? Qq'1 ns interpellait : son fils se prostitue ! Et alors ? Pourquoi ? Qu'à-t-il/elle fait pr ne pas ? Qu'avons ns fait pr ne pas ? Je vis dans l'enceinte de l'hôpital. Je prends ma moto pour aller donner des cours en fac. Combien de fois, je me suis arrêté devant 1 prostitué et lui ai remis de l'argent pour q'il ait au moins 1 repas et où dormir. Je me suis même fait arrêter par des policiers ! Je suis juif messianique ! Voilà ! Je ne laisserai pas mon fils partir avec qq'1 par honte. Je lui aurais dit "suis moi." (Ce que dit le Christ aux disciples) ! Mon INVITE au restaurant ne serait-ce q pour LE regarder manger ! Mon silence aurait été AMOUR, admiration et non détresse, colère, culpabilité ! Je l'aurais chéri de tt mon être, lui "ma chair, mon sang" ! sans parole (ce n'est pas la même chose q le silence !). (Je n'ai q'1 peu + de 26 ans. Je dois-être "PD" ? Que cela me fait mal d'écrire cela !)
4b°) - Qd cesserons-ns d'être pleutres, honteux, vaniteux, orgeuil, fermés, les yeux sur le autres et non sur "le fils" (ici) la "fille" ?
5°) - Pédiatre, vous gagnez bien votre vie ? Mon argent va vers mon "château" et ceux de mon village, qui le gèrent pour q'eux, moi, ns puissions acceuillir des camps de jeunes bien portants ou de l'hôpital, pendant l'été ou les vacances de Noël pour les bien portants et toute l'année pr ceux de l'hôpital. Tt le village vit ds cette direction et se forme pour accueillir avec dignité, compétence et en totalité. Exemple : des kinés viennent à l'hôpital pr q je leur enseigne, en même temps q'aux autres, la pose d'un plâtre pour les jeunes "scolio-cypho" q'ils auront à rééduquer, à continuer à instruire, à nourrir (avec leur production, de légumes, de fruits, de confitures,....... Il y a 2 fermes 1 ovins, 1 bovins donc tous laitages. Il y a même des chevaux de pures splendeurs dressés par des espagnols qui n'appratiennent pas à la communauté du village-château (Ils ne vivent q pr la tauromachie) et qui, en échange, s'occupent des chevaux, des ânes, des poneys (quand ils sont là) et à distraire, au bon air...........
6°) - la mère q ne fait rien, q laisse partir, cela m'oppresse parce q j'attends tt de ma propre mère et je sais q cela viendra sous 1 forme ou 1 auttre mais pleine d'AMOUR. Là, la mère semble s'en aller. Elle abandonne son fils à la prostitution, même si pour elle, c'est 1 forme de conduite suicidaire, d'abandon, de non aide, de non secours : du désamour. (lisez dans le Nouveau Testament la parabole du Samaritain q soigne 1 bléssé abandonné par des brigands et qui, avant d'ête secouru, est laissé pour mort sur le bord du chemin par 1 prêtre, par 1 sacristain,.... (Un samaritain est 1 sang mêlé, donc le contraire d'1 bon juif de pure race.) Evangile de Luc chapitre10 du verset.30a au verset 37, et ce n'est nullement du prosélytisme.

2006-10-28 08:50:10 · answer #8 · answered by kellermann69 2 · 1 0

LES DEUX?!?!?

MAIS C'EST SURTOUT UN ACTE QUI REGARDE AVANT TOUT LA PERSONNE QUI LE COMMET, SEULE L'ÂME DE CETTE PERSONNE CONNAÎT LA VÉRITABLE RÉPONSE...

POUR CEUX QUI RESTENT C'EST PLUS AMBIGUË...

2006-10-28 00:38:39 · answer #9 · answered by LAD 4 · 2 1

les deux t'es courageux de passer a l'acte et lache de pas affronter la vie

2006-10-28 00:31:41 · answer #10 · answered by MoA 7 · 1 0

c est tres lache ! car c est une facon de suivre ces actes et le realité qui entoure...

2006-10-28 00:31:08 · answer #11 · answered by muzzicolog 2 · 1 0

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