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6 réponses

je suis pour l'arrêt des souffrance mon papa est passé par là et à l'hopital on lui a donné le choix de vivre ou de mourrir au moment ou il se sentirais près et je pense qu'il a très bien fait pour sa dignité personnel de nous quitter,même si pour moi au bout de près de 10 ans c'est toujours aussi dur de vivre sans lui.

2006-09-24 21:13:09 · answer #1 · answered by melanoche 5 · 0 0

question bien difficile :
quand il y a souffrance physique irréparable ( c-à-d quand on sait que l'issue sera fatale ) ou quand on devient "un légume" et que l'on ne peut rien, je suis pour aider à une mort assistée.
Par contre, s'il s'agit de souffrances morales, le suicide n'est pas la solution. Le gros problème dans ce cas là, est le renfermement sur soi alors que le déclic de s'ouvrir et de parler à une seule personne sauve bien souvent des pires situations. La dépression se soigne très bien...avec un peu de volonté et l'écoute d'un très bon médecin (même généraliste)

2006-09-24 21:17:37 · answer #2 · answered by Bagherra 4 · 0 0

tout depend si c'est une souffrance où tu es un legume couché dans un lit sans pouvoir communiquer ou ton cerveau est mort oui il faut arreter la souffrence. mais si c'est pour un petit bobo, une peine de coeur ou un truc ou tu peux t'en sortir, alors la non il faut continuer de vivre, on est vie qu'une fois alors il faut en profiter a fond et laissé les petit souci derrière.

2006-09-24 21:14:04 · answer #3 · answered by SANDRA 3 · 0 0

c'est comme pour tout...
ça dépend des gens et des situations.
sans parler de douleur, mais certains handicaps sont lourds à porter : pour certains, la tétraplégie serait invivable. Mais d'autres s'y sont faits.

pour ce qui est, par exemple, d'un stade terminal de cancer... les souffrances sont vraiment trop horribles et même la morphine ne fait plus rien. de même que les délires et l'état quasi végétatif sont durs à supporter.
mais dans ces moments là, certains medecins peuvent "aider" (c'est un bien grand mot, attention!) en donnant des doses de morphine de plus en plus conséquentes, jusqu'à ce que le coeur lache.... et par rapport aux autres risques de mort d'un stade terminal, celle-là, en douceur, sans cri ni douleur, est la moins pénible pour le patient et sa famille.
là aussi, "aider" le patient à partir lui évite bien des souffrances et un état inconscient qui, de toute manière, ne lui permet plus de profiter de rien du tout.

il y a aussi ce côté : les familles des patients ne souhaitent souvent pas que ça s'arrete. c'est compréhensible, mais c'est quelque part de l'égoisme...

2006-09-24 21:11:31 · answer #4 · answered by Soraya L 3 · 0 0

A tout prix non! Je suis pour l'euthanasie ou le suicide assiste ... dans certains cas. Mais c'est un problème complexe et très personnel, trop long a développer sur QR!

2006-09-24 21:05:05 · answer #5 · answered by Merlin 5 · 0 0

quand la souffrance est trop dur, on se dit que ca y est je me suis sucuidé et je fais reset. je commence tout de zéro

2006-09-24 20:58:17 · answer #6 · answered by hasta 3 · 0 0

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