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Non pas que je sois silliconée mais par simple curiosité !

2006-09-22 01:05:12 · 24 réponses · demandé par Anonymous dans Grossesse et enfants Grossesse et enfants - Divers

24 réponses

oui. Il me semble avoir vu dans une emission que la poche de silicone est placé sous le muscle donc ça n'empeche pas l'allaitement.

2006-09-22 01:07:46 · answer #1 · answered by YAYA 3 · 2 0

c'est possible 100 %

2006-09-22 08:10:39 · answer #2 · answered by Tesla 3 · 1 0

Non, moi j'en ai et ça n'a pa marcher

2006-09-24 07:17:48 · answer #3 · answered by Saumon 1 · 0 0

essaye et si tu vois que ton bébé au bout de qq semaines a de la poitrine, arrête tt de suite

2006-09-24 03:44:29 · answer #4 · answered by Bruno A 1 · 0 0

tout dépend de la place de la poche de silicone.
Le mieux serait de demander a un medecin.
mais je crois que oui, effectivement.

2006-09-23 04:37:24 · answer #5 · answered by Anonymous · 0 0

Oui c'est tout à fait possible...

2006-09-22 12:30:35 · answer #6 · answered by sandrine 1 · 0 0

Il n'y a que la Leche League qui puisse te répondre rapidement ;o)
"Allaiter Aujourd'hui n°57

Allaitement et chirurgie mammaire

Une femme peut avoir à subir une chirurgie qui touchera un ou les deux seins pour des raisons esthétiques ou thérapeutiques, alors qu’elle est jeune. Au moment de la chirurgie, la femme pourra ne pas se préoccuper du tout de l’impact de cette chirurgie sur la capacité fonctionnelle du sein. Mais lorsqu’elle attendra un enfant, la femme pourra alors de poser des questions sur sa capacité à allaiter. Or, il existe peu d’études portant sur l’impact éventuel des chirurgies mammaires sur l’allaitement, et cet aspect reste très peu connu des chirurgiens plasticiens. Certaines études ont conclu que ces chirurgies n’avaient aucun impact sur l’allaitement, mais elles suivaient habituellement des femmes qui allaitaient pendant quelques jours à quelques semaines. Un chirurgien plasticien pourra considérer qu’il n’y a pas d’impact sur la lactation si la femme réussit à produire du lait ; mais la mère pourra estimer qu’il y a un impact si elle est incapable d’allaiter exclusivement son enfant à cause de la chirurgie.

Le fonctionnement normal de la lactation nécessite une glande mammaire fonctionnelle, la continuité des canaux lactifères qui amènent le lait jusqu’au mamelon, une sensibilité normale du mamelon, et l’intégrité du système nerveux à l’origine de la sécrétion réflexe de prolactine et d’ocytocine.

La chirurgie mammaire peut léser la glande mammaire, dont une partie plus ou moins importante pourra être enlevée. Elle peut sectionner les canaux lactifères, ce qui empêchera l’écoulement du lait produit par tout ou partie de la glande mammaire. Elle peut induire une perte de la sensibilité au niveau du mamelon, et avoir sectionné les fibres qui innervent le sein, ce qui supprimera le réflexe d’éjection et la sécrétion hormonale.
Le corps humain dispose d’une importante capacité d’auto-réparation. Avec le temps, les canaux peuvent se reconstituer, les nerfs peuvent « repousser ». Plus le temps écoulé depuis la chirurgie est long, plus les chances de réparation sont élevées. Chaque nouvelle grossesse est à l’origine d’un développement important de la glande mammaire, en vue de l’allaitement de l’enfant à venir. Une mère pourra ne pas réussir à avoir suffisamment de lait pour un enfant, et en avoir suffisamment pour le suivant. Si la sensibilité au niveau des mamelons est anormale, la mère peut s’attendre à des problèmes.

La seule étude qui s'est penchée sur les conséquences au niveau de la lactation de la chirurgie d'augmentation et de réduction des deux seins a trouvé une multiplication par trois du risque d'échec de l'allaitement chez les femmes qui avaient subi une chirurgie mammaire quelle qu'elle soit, par rapport aux femmes qui n'avaient pas eu de chirurgie.



Chirurgie d’augmentation mammaire

De plus en plus de femmes se font poser des implants mammaires. Il existe des implants en silicone, ainsi que des implants contenant du sérum physiologique ; les premiers sont toutefois préférés en raison de leur aspect plus naturel. L’insertion peut se faire par une incision périaréolaire, une incision sous l’aisselle, ou sous le sein. L’implant est placé entre le muscle pectoral et la glande mammaire, ou sous le muscle pectoral, implantation préférée actuellement en raison de son aspect plus naturel.

Si l’incision périaréolaire est susceptible d’affecter négativement l’allaitement, les autres types d’abord chirurgical n’ont théoriquement pas d’impact sur la capacité fonctionnelle de la glande mammaire. Toutefois, l’implant peut comprimer la glande mammaire, surtout s’il est placé entre la glande et le pectoral, s’il est volumineux, et en cas de formation d’une coque fibreuse autour de l’implant. Cela peut induire une atrophie de la glande mammaire. Par ailleurs, la durée de vie d’un implant est de 7 à 12 ans, et une nouvelle chirurgie deviendra alors nécessaire pour enlever l’implant dont l’enveloppe s’est rompue, et éventuellement pour poser un nouvel implant, avec la possibilité d’un impact négatif supplémentaire sur la capacité fonctionnelle des seins. Enfin, la petite taille des seins qui a amené la femme à demander la pose d’implants peut être en rapport avec une agénésie ou une hypogénésie de la glande mammaire, responsable en soi d’une production lactée insuffisante.

Les personnes travaillant auprès des mères allaitantes ont constaté un taux plus élevé de problèmes d’allaitement chez les mères porteuses d’implants. Dans une étude, 64 % des mères porteuses d’implants avaient une sécrétion lactée insuffisante, contre 7 % des mères du groupe témoin, particulièrement lorsque l’implant avait été posé par une incision périaréolaire.

Dans ce type de chirurgie, outre l’impact sur la capacité à allaiter, la femme pourra se demander si ces implants ne risquent pas de modifier la qualité de son lait. Certains auteurs se sont posé des questions sur le risque de pathologies éventuellement liées à ces implants, et en particulier de maladies du tissu conjonctif avec les implants en silicone. Ces derniers peuvent poser deux sortes de problèmes : Peut-il y avoir migration de la silicone dans le lait ? Cette silicone peut-elle induire une pathologie chez l'enfant allaité ? La silicone est largement présente dans notre environnement. Elle a été et reste toujours très largement utilisée dans les tétines des biberons et les bouts de sein. D'autre part, la silicone peut passer dans le corps de l'enfant soit en période prénatale, soit par le biais du lait maternel.

La silicone la plus souvent utilisée pour les implants est le polydiméthylsiloxane, un polymère normalement insoluble dans les fluides biologiques. Or, des études ont montré que le gel pouvait migrer à travers son enveloppe, être absorbé par les globules blancs, puis disséminé dans l'organisme, où il pourra induire des granulomes. Il n’est pas possible de mesurer le taux lacté de silicone, on mesure le taux de silice. Etant donné l'omniprésence de la silice dans notre environnement, en mesurer le taux dans les systèmes biologiques n'est pas chose facile. Toutefois, les études ayant évalué le taux de silicone dans le lait de mères porteuses ou non d’implants mammaires n’ont pas constaté de différence significative. En fait, le taux de dérivés de la silicone est beaucoup plus élevé dans le lait de vache et considérablement plus élevé (plus de 100 fois plus élevé) dans les laits industriels que dans le lait humain.

Deux études récentes ont décrit des pathologies chez des enfants allaités par des mères portant des implants mammaires en silicone (troubles de la motilité œsophagienne, douleurs intestinales, troubles rhumatoïdes, prise de poids plus lente que la normale). Toutefois, ces études sont de qualité médiocre. D’autres études n’ont retrouvé strictement aucun impact chez les enfants allaités. A l’heure actuelle, il n’existe aucune raison de penser que l’allaitement par une mère porteuse d’implants présente des risques pour l’enfant. [...]"

2006-09-22 11:25:10 · answer #7 · answered by Lol 6 · 0 0

alors là tu en poses une de ces colle lol .. moi perso je ne m'y serais pas risquer .... enfin demande conseil au gynéco il seras plus à mm de te répondre ... si tu n'as pas encore allaiter , saches que ds le jour qui suit ton accouchement tes seins se gorgent de lait sont dur comme des briques le tps que bébé ai installé son rythme de repas ... je ne penses pas qu'il soit sain de nourir bébé avec des implants .. cela reste un avis perso ... il n'y a peut être pas de risque mais vas savoir !!! on es pas venue au monde avec des poches de silicone en main au cas ou mère nature ne ns aurait pas trés fournis ds le domaine lol

2006-09-22 10:34:11 · answer #8 · answered by néant 4 · 0 0

oui tu bien sur.

2006-09-22 10:20:53 · answer #9 · answered by kilil 3 · 0 0

Pas de problème, les glandes mammaires sont toujours là et parfait état de marche. Par contre je ne sais pas s'il y a des conséquences en ce qui concerne l'esthétique après l'allaitement.

2006-09-22 09:52:40 · answer #10 · answered by JSmunich 3 · 0 0

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