le bonheur n est pas stable, on le vit pleinement et on rêve tj d'en avoir plus
2006-09-21 09:17:08
·
answer #1
·
answered by Cathy 3
·
1⤊
0⤋
Pour moi le bonheur n'est qu'un objectif à atteindre...
Toute notre vie consiste à tendre vers ce bonheur, mais jamais personne ne sera vraiment "heureux" (à 100%) car tout le monde veut toujours plus : maison, amour, famille, argent, promotion ou tout autre chose. Si l'on demande à quelqlu'un ce qu'il voudrait de plus, il répondra obligatoirement quelque chose, réalisable ou non (avoir une ferrari, la réussite de ses enfants...). Ce qui veut dire qu'il manque toujours quelque chose à quelqu'un. Après, chacun fait avec. En conclusion, le bonheur n'est qu'un rêve, ou plutôt un idéal et chacun essaie de s'y approcher au maximum !
2006-09-21 23:13:35
·
answer #2
·
answered by Choupinette86 2
·
1⤊
0⤋
Le bonheur (étymologiquement la bonne chance) est un état durable de plénitude et de satisfaction, état agréable et équilibré de l'esprit et du corps, d'où la souffrance, l'inquiétude et le trouble sont absents.
C'est une notion difficile à déterminer :
dans la mesure où le bonheur est un état empirique, soumis aux aléas de la fortune et aux changements imprévisibles de l'humeur, donc un état temporel ; en tant que tel, le bonheur ne saurait se réduire à un concept.
Il y a de fortes chances pour que chacun ait sa propre estimation de ce que c'est qu'être heureux. On peut tenter de distinguer quatre sortes de satisfactions liées au bonheur :
la satisfaction du désir : désirs liés au corps, recherche des biens matériels, etc.
la satisfaction du devoir : accomplissement du bien.
la satisfaction du vrai : désir de connaissance.
la satisfaction du beau : contemplation et recherche esthétique.
(On peut réunir les trois dernières catégories et distinguer simplement satisfactions physiques et psychiques ou spirituelles) La satisfaction est le plus souvent le produit de plusieurs de ces satisfactions élémentaires.
Ce qui suppose également une satisfaction de certains besoins (voir Pyramide des besoins).
Ces idées sont assez vagues, et soulignent surtout l'état de manque de l'existence humaine. Le bonheur semble en fait tirer une partie de son sens de son contraire, car, comme le remarque Sénèque, peu d'hommes savent l'atteindre en fait ; les hommes savent surtout faire leur propre malheur. Ce qui peut se formaliser par le raisonnement suivant :
Si le bonheur est un état de satisfaction durable et entier,
et si l'homme est un être doué de raison et affecté sensiblement,
alors le bonheur n'est qu'un rêve de l'imagination.
Il est de ce fait plus facile d'étudier le malheur que le bonheur.
Le bonheur se distingue du plaisir, par la durée et parce que le plaisir concerne ce qui est agréable, et de la joie, en tant que cette dernière est un état plus dynamique que le bonheur. La félicité est un bonheur parfait.
On peut faire remarquer que la recherche du bonheur a un point de départ assez pessimiste : nous voulons le bonheur que nous n'avons pas, ou/et nous voulons fuir ce qui nous nuit. Il n'est donc pas étonnant que le bonheur complet soit si souvent lié à l'idée de perfection, attribut d'un dieu. Par conséquent le bonheur n'existe que sous la forme d'un but idéal et inaccessible. Dans les cas les plus extrêmes, par exemple pour ceux qui croient en un dieu parfait, le vrai bonheur n'existe que sous la forme d'une promesse : le bonheur n'est pas humain, il appartient à un être parfait, ou à la partie la plus divine de notre être, partie qui ne peut se satisfaire des réalités contingentes, illusoires. Le désir de l'homme serait d'être heureux, mais la satisfaction des aspirations humaines appartient à un autre que l'homme : au sage surhumain pour les Stoiciens, à l'âme immortelle dans certaines religions. Ce pessimisme est parfois radicalisé, comme on le voit chez ce philosophe désespéré, Hegesias, « ministre de la mort », qui enseigna que la vie ne vaut rien, qu'il faut mourir pour être heureux. Sa doctrine (aboutissement du Cyrénaïsme) entraîna de nombreux suicides...
Il y a enfin des philosophes qui remettent en cause le principe même du bonheur. Le raisonnement est le suivant : les moralistes estiment que les hommes font leur propre malheur ; mais ces hommes cherchent ce qu'ils croient leur être profitable. Or, ce qu'ils croient tel, ce sont les honneurs, les richesses, le pouvoir, le plaisir. Si l'on s'en tient à leurs comportements réels, les hommes ne cherchent pas le bonheur, mais la puissance. Cette quête peut être brutale et sanguinaire ; elle peut être aussi heureusement spirituelle : recherche du savoir, création artistique, quête religieuse. En bref, c'est la quête d'une haute culture, qui exige de grands sacrifices, et qui n'est pas toujours compatible avec le bonheur. On passe ainsi du problème du bonheur, peut-être un faux problème, au problème de notre destination, qu'on la conçoive d'un point de vue naturel ou d'un point de vue surnaturel. Cette thèse est soutenue par Kant : pour lui le bonheur existe, mais secondairement, non comme récompense ; et par Nietzsche, pour qui le bonheur n'est que la conséquence de la force et de sa maîtrise spirituelle. Le bonheur n'est donc pas un but.
2006-09-21 10:50:38
·
answer #3
·
answered by Phil Hip 5
·
1⤊
0⤋
pour moi le bonheur est une réalité faite d'une multitude de petites choses douces et agréables dont il faut savoir profiter avant qu'elles nous échappent...
bien sûr si on demande la lune... cela risque de n'être qu'un rêve
le bonheur ? c'est se réveiller chaque matin de bonne humeur, en bonne santé, sentir de l'amour tout autour de soi, savoir que tout va bien, ou tout simplement prendre un bon petit déjeuner, regarder un bon film dans les bras de sa moitié, voir un coucher de soleil ...
tout est une question de degré, non ?
"je vous souhaite tout le bonheur du monde.."
;-)
2006-09-21 09:29:54
·
answer #4
·
answered by elle-même 7
·
1⤊
0⤋
Quand on y rêve, on se dit que c'est pas réalisable, et quand c'est la réalité, on s'en rend pas compte
2006-09-21 09:24:53
·
answer #5
·
answered by Carpe Diem 6
·
1⤊
0⤋
C'est un beau rêve qui peut devenir réalité si on le veut vraiment..
2006-09-21 10:31:28
·
answer #6
·
answered by Salomé 3
·
0⤊
0⤋
Le bonheur c'est un fantasme - plus compte d'y penser que de le vivre - car quand on y est on ne déguste bizarrement pas -
Il y a l'idée du bonheur, de celles qui nous tiennent la tête hors des contingences de l'absurde quotidien - et il y a les instants de bonheur - ceux-là donnent une consistance réelle à l'idée et lorsqu'ils s'accumulent dans nos mémoires, cela nous fait penser qu'on ne vit jamais si bien son bonheur, que comme un grand album de photos duquel on extrait les meilleurs souvenirs
2006-09-21 09:27:05
·
answer #7
·
answered by Anonymous
·
0⤊
0⤋
Le bonheur c'est comme le reste , ça se construit , ça se mérite , ça demande des efforts , mais on y arrive trés bien, avec bien sur des hauts et des bas , heureusement d'ailleurs. Tentes ta chance !!
2006-09-21 09:24:50
·
answer #8
·
answered by robert 4
·
0⤊
0⤋
Un magnifique rêve qui ne demande qu'à devenir réalité. Aide ton rêve et ton rêve t'aidera,......... c'est vrai................
2006-09-21 09:23:47
·
answer #9
·
answered by choco 4
·
0⤊
0⤋
réalité !
on se le construit au jour le jour, et les rêves euh c'est la nuit !
2006-09-21 09:17:59
·
answer #10
·
answered by mic 7
·
0⤊
0⤋