Les antidépresseurs (dans votre cas, le deroxat) agissent sur l'humeur (action sur la recapture de la sérotonine dans le cas du deroxat ) et les anxiétés chroniques.
Passé un délai, lorsque les taux sériques (la concentration du médicament dans le sang) sont stables, les patients ressentent un bien être, et paradoxalement veulent arrêter leur traitement, estimant qu'ils "vont mieux".
Cependant, gardez en tête que ce bien être, s'il est du bien sûr du en partie à l'amélioration de votre trouble, est aussi directement lié à la prise de votre traitement.
Ainsi, si vous prenez du paracétamol parce que vous avez de la fièvre (dans le cas d'une bonne grippe par exemple), lorsque celle ci baisse au bout de deux heures, ce n'est pas une raison pour ne pas continuer à prendre le paracétamol.
Vous n'en prenez plus lorsque la fièvre redevient supportable et/ou bénéfique (elle joue un rôle important et ne doit pas être systématiquement contrée).
Pour le deroxat c'est un peu pareil, vous estimez aller mieux, et vous ne souhaitez plus en prendre.
Si votre motivation est compréhensible, votre jugement peut être faussé.
c'est pourquoi vous devez prendre l'avis du médecin prescripteur avant d'arrêter votre traitement.
De plus, il s'agit d'un médicament qui doit être arrêté progressivement pour éviter les effets de "rebond".
Vous risqueriez alors de perdre le bénéfice obtenu...
Parlez en donc à votre médecin qui saura vous conseiller.
En vous souhaitant le meilleur,
Alexia.
2006-09-11 02:31:45
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answer #1
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answered by ? 3
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Personnellement je ne pense pas qu'il y ait un pb majeur à prendre un Inhibiteur de la Recapture de la Serotonine sur de longue année, sauf si des idées suicidaires apparaissent. Personnellement ça fait 18 ans que je prends diverses molecules de ce style. Il faut savoir que des études ont prouvé qu'une personne ayant eu une enfance désastreuse, ou que les jeunes de déliquants ont une déficit de sérotonine dans le cerveau. Le fait de prendre un IRS permet donc pour certains de restaurer un déquilibre neurobiochimique acquis.
L'effet bien connu de ces IRS est une mise a distance des pbs de la vie, en gros les pbs nous atteignent moins.
Une solution pour s'en passer est peut etre de developper une attitude "zen" par la méditation, une activité sportive pour alléger la nervosité, et les psychologies congnitives et comportementales qui examinent et travaillent les filtres qu'on utilise pour intérpréter notre réalité, c'est à dire notre grille de lecture
2006-09-11 10:25:08
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answer #2
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answered by Pimpampoum 4
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J'en suis à mon 3ème anti dépresseur :
Le prozac exacerbait ma libido alors que ma déprime venait d'un manque d'amour : pas cooooolll
L'effexor m'a fait prendre 14 kg et perdre 2 dixième à un oeil et 4 à l'autre
Je suis passée maintenant au seroplex, mais il faut encore 10 jours pour qu'il agisse... en tous cas, courage et n'arrête surtout pas sans avis médical car c'est la rechute assurée et encore plus violente vers la déprime.
Prends bien soin de toi.. le sevrage de ces saloperies est très long. Et il faut vraiment trouver un bon psychiatre pour te donner les bons dosages et les anti-anxiolitiques à prendre avec.
2006-09-13 15:07:28
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answer #3
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answered by perlette 4
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il faut aller voir un bon médecin qui va te faire diminuer les doses petit à petit ensuite donner un autre traitement.
2006-09-12 10:49:01
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answer #4
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answered by oscar'è 3
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ton médecin te fera un arrêt très progressif. Et laissez tous tombez cette escroquerie des fleurs de machin et de poudres de truc. Tous à de faire du pognon sur le dos des gens qui ne peuvent se défendre d'y croire et qui ne sont évidemment pas remboursés par la sécu.
2006-09-11 03:13:32
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answer #5
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answered by Anonymous
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Oui c'est normal, il faut juste savoir qu'il y aura une petite période difficile liée à la désaccoutumance à cette... drogue. C'est aussi psychologique, tu dois te dire que tu vivras mieux sans et prendre confiance en toi. Choisi juste la bonne période pour le faire, pendant laquelle tu puisses te reposer sereinement et où tu n'es pas sujet à un stress plus important.
J'avais pris un truc sur l'avis de mon médecin, ça me faisait planer, oublier un peu les soucis mais finalement ils étaient toujours bien là, mais pour traverser une période difficile ça aide, c'est sûr. Ensuite, j'ai arrêté, du jour au lendemain, parce qu'au bout d'un moment, stagner c'est un problème aussi et qu'on est là pour vivre, et pas vivoter comme une plante. Sans malheurs, pas de bonheurs, faut prendre des risques aussi et oser, ne pas avoir peur des échecs et relativiser (c'est instructif et c'est la vie...) alors je suis reparti.
Bonne chance à toi, amitiés.
2006-09-11 02:18:10
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answer #6
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answered by Anonymous
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essais le yoga ou le qui gong mais n'arrête pas de suite les médicaments
2006-09-11 02:17:00
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answer #7
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answered by pierrette b 2
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pas d'interruption brutale du traitement. Un traitement par antidépresseur pour être efficace (sans risque de rechute brutale) doit être supérieur à 6 mois (voire même plutôt un an). Je ne suis pas médecin mais j'ai pris du Seropram pendant presque un an. Vas voir ton médecin traitant, qui sera de bien meilleur conseil !
2006-09-11 02:14:55
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answer #8
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answered by Andy Cap 1
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Il faut que tu demandes conseil à un professionnel de santé, médecin ou psychologue. Il saura te conseiller pour t'aider à arrêter "en douceur" : il ne faut jamais stopper brutalement un traitement aux antidépresseurs.
Bon courage !
2006-09-11 02:13:04
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answer #9
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answered by Hanniboule 6
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c'est quoi les fleurs de bach ? lena réponds, je suis sûre que ça intéresse plein de gens
2006-09-11 02:09:45
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answer #10
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answered by Anonymous
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essaie les fleurs de bach!
2006-09-11 02:08:18
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answer #11
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answered by Ptit LU ® 7
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