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je v mal g plin de problem et jen é mar

2006-08-26 08:54:43 · 26 réponses · demandé par johanna m 1 dans Santé Santé et démarches administratives

26 réponses

non c'est n'est pas la meilleure solution.
il existe de meilleure chose pour surmonter cela.

2006-08-26 08:57:37 · answer #1 · answered by Milpa B 6 · 2 1

Le suicide n'est pas un choix.(tu n'as pas la capacité aujourd'hui de comprendre pourquoi, etc..)

Tu désires en finir pour supprimer une souffrance, mais c'est toi que tu risques de supprimer.

Tes proches vont souffrir longtemps de ta disparition: parents, enfants, copains/copines, connaissances, etc..

http://forum.doctissimo.fr/psychologie/depression-deprime-stress/liste_sujet-1.htm

Si tu es dans une crise d'angoisse (si tu dors plus depuis des jours, etc...., que cela va vraiment mal), n'hésite pas à appeler le Samu !

Des numéros de téléphone:
--
Ecoute :

Pour trouver une quelqu'un a qui parler, voici plusieurs numéros d'écoute :

Suicide Ecoute
01 45 39 40 00

Sos Suicide Phénix
01 40 44 46 45

Croix Rouge Écoute
0 800 858 858

La Porte Ouverte
0803 33 33 11

SOS Chrétiens A L'écoute
01 45 35 55 56

SOS Dépression
01 40 47 95 95

Cap Ecoute
0800 33 34 35
(numéro régional Sud-est)
Numéro National : 04 72 33 34 35

La Note Bleue
01 40 47 73 73


Fil Santé Jeunes
0800 235 236

SOS Homophobie
01 48 06 42 41

SOS Violences
0801 55 55 00

Maltraitance des personnes âgées (ALMA)
0892 68 01 18

SOS détenus
0800 870 845

Violence scolaire
0800 202 223

Urgences :

En cas d'urgence médicale, contactez les numéros suivants :

SAMU : 15
Police : 17
Pompiers : 18
Urgences depuis un téléphone mobile : 112

2006-08-26 16:07:02 · answer #2 · answered by none 2 · 5 0

Si vous vous sentez suicidaire, arrêtez-vous pour lire ce qui suit. Cela ne vous prendra que cinq minutes. Je ne veux pas vous dissuader de la réalité de votre souffrance. Je ne vous parlerai ici que comme quelqu'un qui sait ce que souffrir veut dire.


Je ne sais pas qui vous êtes, ni pourquoi vous lisez cette page. Je sais seulement qu'en ce moment, vous la lisez, et c'est déjà une bonne chose. Je peux supposer que vous êtes ici parce que vous souffrez et que vous pensez à mettre fin à votre vie. Si cela était possible, je préférerais être avec vous en ce moment, m'asseoir avec vous et parler, face à face et coeur ouvert. Mais puisque ce n'est pas possible, faisons-le par le biais de cette page.



J'ai connu un certain nombre de personnes qui voulaient se tuer. J'ai moi-même été dans ce cas. J'ai donc idée de ce que vous pouvez sentir. Je sais que vous n'êtes pas capable de lire un gros livre, alors je vais faire court. Pendant que nous sommes ici ensemble pour les cinq prochaines minutes, j'ai cinq choses simples, pratiques, à vous dire et que j'aimerais partager avec vous. Je ne discuterai pas de savoir si vous devriez vous tuer ou pas. Je pense juste que si vous y pensez, vous devez vraiment souffrir.


Bien, vous lisez encore ce texte, et c'est très bon. J'aimerais vous demander de rester avec moi jusqu'à la fin de cette page. J'espère que cela veut dire que vous êtes au moins un peu incertain, au fond, quelque part à l'intérieur de vous, de savoir si oui ou non vous allez vraiment mettre fin à votre vie. On ressent souvent cela, même dans l'obscurité la plus profonde de désespoir. Etre dans le doute concernant sa mort, c'est normal. Le fait que vous êtes encore vivant à cette minute signifie que vous êtes encore un peu incertain. Cela veut dire que pendant que vous voulez mourir, au même moment, une partie de vous-même veut continuer à vivre. Tenons-nous à cela, et continuons quelques minutes de plus.


Commencez par penser à cette phrase :

« Le suicide n'est pas un choix, on y est conduit quand la douleur dépasse les ressources qui permettent d'y faire face. »
Dans le suicide, il ne s'agit que de cela. Vous n'êtes pas une personne haïssable, ou folle, ou faible, ou incapable, parce que vous vous sentez suicidaire. Avoir des idées noires ne veut même pas dire que vous voulez vraiment mourir - cela veut juste dire que vous avez plus de douleur que de ressources pour la prendre en charge maintenant. Si j'empile des poids sur vos épaules, vous vous écroulerez au bout d'un moment si j'ajoute suffisamment de poids... quelle que soit votre volonté de rester debout. (C'est pourquoi il est si inutile que les gens vous disent : "debout, garde le moral!" - vous le feriez, évidemment, si vous le pouviez.)



N'acceptez pas que quelqu'un vous dise, "il n'y a pas de quoi être suicidaire pour cela". Il y a différentes sortes de souffrances qui peuvent mener au suicide. Qu'une douleur soit supportable ou non diffère d'une personne à une autre. Ce qui peut être supportable pour quelqu'un peut ne pas l'être pour vous. La limite où la douleur devient insupportable dépend du genre de ressources dont vous disposez. Les individus sont très différents dans leur capacité à supporter la douleur.
Quand la douleur dépasse les ressources qui permettent d'y faire face, le résultat, ce sont des pensées suicidaires, des "idées noires". Le suicide n'est alors ni faux ni vrai; ce n'est pas un défaut de caractère; il n'y a pas à le juger moralement. C'est simplement un déséquilibre de la douleur par rapport aux ressources qui permettent de les affronter.



Vous pouvez survivre à des sentiments suicidaires si vous faites l'une ou l'autre de ces deux choses:

(1) Trouver un moyen pour réduire la douleur,
ou
(2) Trouver un moyen pour augmenter vos ressources pour y faire face.
Ou les deux à la fois.

Voici les cinq choses à prendre en considération dont je vous parlais tout à l'heure.

1) La première chose que vous avez besoin d'entendre, c'est de savoir qu'on s'en sort. Des personnes qui souffraient autant que vous en ce moment, s'en sont sorties. Vous avez donc de très fortes chances de vous en sortir. J'espère que cette information peut vous donner un peu d'espoir.

2) La deuxième chose que je veux vous suggérer est de vous donner du recul. Dites-vous : " J'attendrai 24 heures avant de faire quoi que ce soit ". Ou une semaine. Souvenez-vous que sensations et actions sont deux choses différentes - que vous ayez le sentiment de vouloir vous tuer, ne signifie pas que vous devez le faire maintenant. Mettez du recul entre vos sensations suicidaires et un passage à l'acte. Même si ce n'est que 24 heures. Vous en avez été capables 5 minutes en lisant cette page. Vous pouvez le faire encore 5 minutes en continuant à la lire. Continuez et prenez conscience du fait qu'alors que vous vous sentez encore suicidaire, vous n'êtes pas, en ce moment, en train d'agir en ce sens. C'est très encourageant pour moi, et j'espère que cela l'est pour vous.



3) La troisième chose est ceci : on pense souvent au suicide pour trouver un soulagement à sa douleur. On ne veut pas mourir mais arrêter de souffrir. Souvenez-vous que le soulagement est une sensation. Et vous devez être vivant pour la ressentir. Vous ne sentirez pas le soulagement que vous cherchez si désespérément, si vous êtes mort.

4) La quatrième chose est ceci : certains réagiront mal à vos sentiments suicidaires, parce qu'ils sont effrayés ou en colère ; ces personnes peuvent même augmenter votre douleur au lieu de vous aider, en dépit de leurs intentions, en disant ou faisant des choses irréfléchies. Vous devez comprendre que leurs réactions négatives ont à voir avec leurs propres peurs, pas avec vous.


5) La dernière chose que je veux que vous sachiez maintenant est ceci : les sensations suicidaires sont, dans et par elles-mêmes, traumatisantes. Après leur disparition, vous avez besoin de continuer à prendre soin de vous. Commencer une thérapie est vraiment une bonne idée.

Mais il y a aussi des personnes qui peuvent être avec vous pendant ces moments si difficiles. Ils ne vous jugeront pas, ne chercheront pas à vous contredire. Ils feront simplement attention à vous. Trouvez-en une. Maintenant. Utilisez vos 24 heures, ou votre semaine, et dites à quelqu'un ce qui se passe pour vous. Il est normal de pouvoir un jour demander de l'aide. Appelez une ligne d'écoute spécialisée (Vie Espoir 2000, SOS Suicide Phénix, SOS amitié, appelez un centre spécialisé près de vous, ou regardez dans l'annuaire), appelez un psychothérapeute (psychanalyste, psychologue, psychiatre), quelqu'un qui est capable de vous écouter. Mais surtout ne portez pas le fardeau supplémentaire d'essayer de vous charger de cela seul. Juste parler de ce qui vous a conduit là peut vous enlever une grosse part de la pression qui vous pèse, et c'est peut-être juste la ressource supplémentaire dont vous avez besoin pour retrouver l'équilibre.

2006-08-26 16:01:27 · answer #3 · answered by M_style 5 · 6 1

Je suis vraiment désolée que tu penses à cette solution pour fuir(?) tes problèmes!!
Saches que cette année j'ai eu énormément de problèmes (santé, études, famille,travail,...) et je n'ai jamais songé à cette issue!! Et pourtant je ne suis pas d'une nature particulièrement optimiste, bien au contraire!!
Attention, je ne te juge pas!! A chacun sa façon de penser et de réagir!
N'as tu personne qui puisse t'aider, sur qui compter? Pour ma part mes amis ont été un grand soutien!! Et puis il y a aussi eu le sport! Ca m'a permis de m'évader un peu, certes mais pas d'oublier mes soucis!! Essayes de te mettre dans une activité qui te plait!
Mais attention si tes amis te disent clairement qu'ils ne peuvent t'aider, ne le prends pas mal, c'est qu'ils ne se sentent pas capables ou qu'eux meme ont de gros soucis et ont peur de decharger sur tout ce qui ne va pas!!!
Une autre solution, parles en avec ton médecin si tu as confiance en lui!! Je ne suis pas pour les médicaments, mais parfois tu n'as pas le choix. A la rigueur s'il le juge utile, il pourra t'indiquer un psychologue(attention ça ne veut pas dire que tu es folle!!)
Allez courage, dans la vie, tout n'est pas rose, d'accord, mais tout n'est pas tout noir non plus!!!
N'hésites pas à me contacter si besoin!!
Bonne chance "il en faut peu pour etre heureux, vraiment très peu pour etre heureux, chassez de votre esprit tous vos soucis..." "Hakuna Matata"

2006-08-27 08:18:16 · answer #4 · answered by snoopy 3 · 2 0

en quelques mots...

DEMAIN EST UN AUTRE JOUR...

2006-08-26 16:10:17 · answer #5 · answered by angel eyes 3 · 1 0

non, c'est trop simple....regarde autour de toi, respire, ouvre les yeux, ecoute... vis....

2006-08-26 16:07:06 · answer #6 · answered by ziz2080 2 · 2 1

solution de facilité ! vaut mieux se battre, c'est beaucoup plus drole et exitant

2006-08-26 15:58:47 · answer #7 · answered by Anonymous · 2 1

il n'y a pas de problèmes sans solution, respire un bon coup

2006-08-26 15:57:49 · answer #8 · answered by Sherry 6 · 2 1

SURTOUT PAS!!! va plutot voir un psy, entoure toi des gens ke tu aime c dans c moment la kon a inconsciement besoin des autres. bon courage et rappel toi ke la vie n'est kun passage avec des hauts et des bas. tendres pensées pour toi

2006-08-30 15:39:48 · answer #9 · answered by artic-girl 2 · 0 0

Je suis comme vous j'ai plein de problèmes, et je suis dans un état dépressif depuis longtemps, non le suicide n'est pas la meilleure chose quand tout va mal, c'est choisir la facilité, j'y ai pensé moi aussi, mais je survie pour mes enfants et mon mari, même en étant mal dans ma peau, si fait comme si tout allait bien,

Vous devez penser aux personnes autour de vous qui vous aimes, famille, amis, à qui votre départ causera des dégats irréparables, ils ne comprendront pas.

Si vous êtes seule, essayer de vous projeter dans l'avenir, même si c'est sombre aujourd'hui, demain est un autre jour, il faut se pousser à agir, faite du sport, recommencer tout à zéro, bon courage.

2006-08-30 07:22:44 · answer #10 · answered by Anonymous · 0 0

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