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2006-08-10 21:32:12 · 15 réponses · demandé par Anonymous dans Santé Santé masculine

15 réponses

-D'aprés toi???
-Hommes et femmes ont des années de pratique et il ne semble pas que cela s'arrete!
Peut-être pas aller le raconter à tout le monde,c'est tout!!
Celui ou celle qui te dit n'avoir jamais pratiqué et un menteur,c'est pas un drame et c'est totalement naturel,ce qui peut être dramatique c'est de toujours devoir en rester là,y'à d'autres expériences toutes aussi et même mille fois plus sympa à tenter,vas y!!!

2006-08-10 21:45:12 · answer #1 · answered by christ83 4 · 0 0

Ben... C'est tabou en tout cas. Tu dis pas pendant un déjeuner d'affaires ou un repas de famille: "excusez moi, je vais aux toilettes, j'ai envie de me secouer la -CENSURE"

2006-08-11 04:35:27 · answer #2 · answered by Anonymous · 2 0

Pourquoi honteux ?
comme expliqué plus haut, c'est une pratique largement répandue !

2006-08-12 08:11:29 · answer #3 · answered by Babass & Bensheï 6 · 1 0

95% des hommes et 70% des femmes se masturbent !!! Si la masturbation reste un sujet tabou dans nos sociétés modernes, elle est apparemment un acte qui n’a rien de tabou au vu de ces chiffres de l’INSEE.
Stimulation de ses propres organes génitaux qui provoque une montée de l’excitation sexuelle permettant à l’orgasme de se produire. Cette pratique se fait le plus souvent seul mais peut se faire également à deux : masturbation mutuelle. Elle permet la découverte de son corps et l’apprentissage de ses propres réactions sexuelles.

Les bienfaits de la Masturbation

Ce petit geste intime peut répondre à différents besoins. Voici quelques bienfaits de la masturbation pratiquée seule ou en l’intégrant à notre sexualité de couple :

1- Elle procure des sensations agréables qui permettent d’éprouver du plaisir et de se retrouver en intimité avec soi-même.

2- Elle constitue une méthode de relaxation ou de détente.

3- Elle sert d’alternative, de « soupape sexuelle » lorsqu’un partenaire n’est pas disponible ou inaccessible.

4- Elle permet une meilleure connaissance de soi-même. Par la suite, il est ainsi plus facile de faire partager à son partenaire ses préférences et cela tout en favorisant l’intimité dans le couple.

5- Elle peut remplacer temporairement ou à long terme la pénétration ou d’autres caresses lorsqu’un des deux partenaires ou les deux sont incommodés physiquement ou psychologiquement par une maladie, une grossesse ou la fatigue.

6- Elle peut introduire graduellement une personne traumatisée sexuellement, craintive des relations sexuelles ou souffrant de certaines dysfonctions sexuelles à apprécier les caresses et la sensualité qui s’en dégage dans un climat de confiance.

7- Elle peut être un bon substitut lorsqu’une personne souhaite obtenir l’orgasme et qu’elle n’est pas disposée à déployer l’énergie qu’implique une relation sexuelle.

8- Elle est une des variantes de l’amour, un jeu sexuel et un complément du coït.

2006-08-11 04:53:34 · answer #4 · answered by roger 1 · 1 0

dans certains milieux, c'est honteux puisque interdit, mais je suis sur que cette prtique n'est pas sans consequence sur la psyshée
moi honnetement, g arrete car je deprimait de me sentir seul, je me renfaremait sur moi meme.

2006-08-11 04:38:26 · answer #5 · answered by ROUCOUL 3 · 1 0

La pratique de la masturbation est (malheureusement) encore taboue. Merci qui ?

2006-08-11 04:36:44 · answer #6 · answered by T du C 2 · 1 0

La masturbation est une pratique sexuelle Dont il n'y a pas à avoir honte consistant à rechercher et à trouver la volupté par la stimulation des parties génitales
(le plus souvent avec les mains) dans le but d'obtenir ou de donner du plaisir.
Elle est parfois pratiquée en utilisant des godemichets et/ou autres jouets sexuels.

L'étymologie en est contestée : manus turbare (troubler de la main) ou manus stuprare (exciter de la main) ? Les spécialistes ne sont pas d'accord entre eux.

Risques
La masturbation de soi-même (en présence ou hors présence d'un(e) partenaire) est une pratique sexuelle sans risque de transmission de MST. La masturbation du ou de la partenaire est de faible risque, pourvu que :

les mains n'aient pas de plaies ouvertes ;
les fluides sexuels n'entrent pas en contact avec les muqueuses (anus, vagin ou bouche) du ou de la partenaire ;
les jouets insertifs soient lavés avant d'être partagés, ou encore protégés par un préservatif qui soit changé avant le partage.
D'après une étude du Conseil du cancer de l'État de Victoria en Australie, publiée dans le British Journal of Urology International vol 92, p 211, la masturbation masculine permettrait de diminuer les risques de cancer de la prostate. (Source : The Cancer Council Victoria, 17 juillet 2003.)

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Techniques
Les techniques de masturbation sont très différentes pour les hommes et les femmes, en raison de leurs appareils génitaux différents, mais elles varient également beaucoup d'un homme à l'autre et d'une femme à l'autre.

La plupart des hommes se masturbent par un geste de va-et-vient de leur main sur leur pénis. Certains (et notamment ceux qui sont circoncis) se masturbent en stimulant le frein du prépuce du bout des doigts. Il est également possible d'utiliser un lubrifiant (salive, gel, huile de massage...) pour faciliter le glissement.

La plupart des femmes qui se masturbent le font en stimulant leur clitoris, soit directement avec les doigts (éventuellement à travers un tissu, notamment lorsqu'elles sont ultra-sensibles), soit avec un objet (oreiller, édredon, vibromasseur, pomme de douche...) contre ou avec lequel elles se frottent. Certaines se masturbent uniquement en se pénétrant (avec les doigts, un godemiché ou autre) mais c'est relativement rare, d'autres apprécient de cumuler stimulation clitoridienne et vaginale. Chacune a en générale une position et technique préférée, pratiquée la majorité du temps.

Les femmes comme les hommes peuvent se masturber l'anus, soit uniquement l'orifice, soit par pénétration, avec des doigts ou avec un objet ; ce plaisir est encore plus grand pour les hommes lors de la pénétration puisque cela stimule la prostate.

Les hommes comme les femmes peuvent stimuler d'autres parties sensibles de leur corps en même temps ou à la place de leurs parties génitales : scrotum, tétons, cuisses, pieds, aisselles, ventre, cou, testicules pour les hommes, selon leur sensibilité.

Lorsque la masturbation est pratiquée avec un partenaire, il est possible de stimuler les organes génitaux avec la main mais aussi contre toutes les parties du corps (voir axilisme, tribadisme, combat d'épées, branlette espagnole, coït intercrural...).

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Âge et fréquence en chiffres
Aux États-Unis dans les années 1960, un sondage (le « rapport Kinsey ») a montré que, à 15 ans, la proportion de jeunes hommes s'étant masturbés était de 82,2 % et de femmes 24,9 %. À 18 ans, ce chiffre atteignait 95,4 % pour les hommes et 46,3 % pour les femmes. Cela dit, il est probable que, aujourd'hui, le nombre soit plus important. Une autre étude, beaucoup plus récente, démontre, d'ailleurs, que la plupart des garçons qui se masturbent commencent en moyenne vers l'âge de 14 ans. À cet âge, et surtout entre 16 et 25 ans les hommes ont une forte pulsion sexuelle ce qui leur crée des érections fréquentes. Une des manières d'apaiser cette tension est de se masturber jusqu'à l'orgasme.

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chiffres pour la masturbation masculine
La fréquence des épisodes de masturbation dépend d'un individu à l'autre. Une étude faite dans le cadre d'un cours sur la sexualité humaine dans un Cégep de la région de Montréal en 2002 relate ce qui suit : (l'étude a été réalisé par un groupe de 12 étudiants masculins auprès d'environ 500 jeunes hommes agés entre 18 et 25 ans dont 50 % fréquentait le Cégep. La scolarité de l'autre 50 % ainsi que le rang social du groupe n'ont pas été pris en compte dans cette étude.)

L'étude montrait que 94% des hommes se masturbent avant 20 ans, avec une fréquence d'autant plus élevée qu'ils ont commencé jeunes, et que dans la plupart des cas, cette pratique continue toute la vie, mais souvent réduite pour les hommes qui ont une activité sexuelle régulière avec un ou une partenaire - au-delà de 40 ans, un certain nombre d'hommes délaissent cette pratique.

La plupart de ceux qui ont commencé à se masturber avant 14 ans ont été influencés par un ami ou un frère un peu plus âgé, tandis que ceux qui ont commencé après 18 ans l'ont en général découvert avec un ou une partenaire sexuel(le), notamment dans le cas où ils ne pratiquaient pas de rapport pénétratif.

Plus de la moitié de ces jeunes se sont déjà masturbés en présence de quelqu'un, soit incités ou forcés par des amis (et n'ont en général pas apprécié), soit devant un ou une partenaire (et ont apprécié à plus de 90%).

Plus de 80 % des jeunes nous indiquent que la façon de se masturber a changé en vieillissant. Au début ce n'était que pour un soulagement rapide qui durait souvent moins de 5 minutes. Les hommes de plus de 20 ans qui ont participé à l'étude mentionnent que, maintenant, leurs séances de masturbation peuvent souvent durer entre 30 et 60 minutes dans le but de faire durer le plaisir.

D'autres études rapportent qu'un homme en bonne santé agé de 18 ans ressent le besoin d'avoir un orgasme environ 4 fois par semaine. Ce nombre diminue avec l'âge mais est peu ressenti avant l'âge de 40 ans. Après cet âge, ce nombre tend à diminuer progressivement pour atteindre moins d'une fois par semaine pour les hommes de plus de 60 ans. Ceci est une moyenne et n'est pas considéré comme étant véridique pour chacun.

L'étude collégiale démontre aussi que pour plus de 80 % des hommes de plus de 16 ans, le fait de ne pas pouvoir se masturber lorsqu'ils en ressentent le besoin engendre du stress et un comportement plus tendu.

Plus de 50 % des répondants mentionnent qu'ils essaient de se masturber peu de temps avant certaines compétitions sportives, diminuant ainsi le stress. Un pourcentage sensiblement le même affirme le faire avant des présentations orales diminuant ainsi le stress mais pour 33 % des cas, ils le font afin de diminuer le risque d'avoir une érection spontanée et non voulue.

De plus, environ 60 % des répondants mentionnent que, lorsqu'ils le peuvent, surtout après une abstinence de plus de 48 heures, ils essaient de le faire avant de rencontrer leur partenaire lorsqu'ils savent qu'ils n'auront pas de relations sexuelles. Cela les rend moins susceptibles d'avoir des érections non voulues.

Près de 75 % affirment se masturber par pur plaisir, tandis que les autres 25 % le font de façon automatique dans le seul but d'avoir un orgasme et ainsi de prévenir les érections spontanées. 65 % des répondants mentionnent que plus le temps entre chaque masturbation est long, au moins plus d'une journée, meilleur est l'orgasme obtenu. De plus, près de 90 % disent que le fait de prendre son temps lors d'une masturbation engendre une plus grande jouissance. Le fait d'être en érection pendant plus de 30 minutes tout en se caressant pendant tout ce temps-là augmente les sensations.

55 % des répondants qualifiaient leurs masturbations d'apprentissage, et l'ont fait de façon à contrôler leurs éjaculations le plus longtemps possible, soit dans certains cas pendant plus d'une heure. Le fait de venir près d'éjaculer pendant des dizaines de fois durant cette période de temps crée un contrôle sur soi.

La jouissance lors de l'éjaculation et ainsi que la quantité de sperme obtenu lors d'une masturbation où l'excitation a duré de très longues minutes n'est presque pas comparable, d'après environ 55 % des répondants, avec une masturbation rapide c'est-à-dire moins de 5 minutes.

85 % des répondants affirment sans aucune hésitation que les parties de leurs corps répondant le plus au toucher de soi-même ou d'une partenaire est sans équivoque le pénis, les bourses et toute la région autour des parties génitales.

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Condamnation et répression

Appareil électrique contre la masturbationEn Europe, la masturbation fut longtemps considérée comme une perversion. Le terme onanisme a été crée par John Marten, un chirurgien, en 1710, d'après le récit Biblique d'Onan qui ne se refère pas spécifiquement aux pratiques de plaisir solitaire. De ce fait, elle était - et reste - condamnée par l'Église catholique en tant que pratique sexuelle ne menant pas à la reproduction. L'Église condamne, actuellement, la masturbation, même lorsqu'elle est pratiquée dans le cadre d'une reproduction dans le cadre d'une procréation médicalement assistée. Au reste, elle semble ne pas avoir été absolument condamnée par l'Église romaine quand elle s'inscrivait dans le cadre de la conjugalité. Il est bien précisé dans L'Education de la Pureté du Docteur Albrand, publié en 1937 avec Nihil obstat et Imprimatur:

Si vir seminaverit antequam mulier semen emittat (quod non raro occurrit, cum mulieres sint frigidiores viris), haec potest tactibus vel alio modo sese excitare; quamvis enim semen uxoris necessarium non sit ad generationem, complet actum conjugalem et concupiscentiam sedat. (Theologia, Pars moralis).
Quant aux médecins et philosophes, ils la condamnaient à partir du siècle des lumières (à part certains cyniques qui se masturbaient en public), la comparant au narcissisme ou prétextant que des éjaculations trop fréquentes « asséchaient » le corps et lui faisaient perdre son énergie, ce qui aurait eu pour effet de rendre le sujet amorphe. On sait cependant aujourd'hui qu'il n'en est rien.

En France et au Québec certains disaient que la masturbation rendait sourd. Aux États-Unis, on disait qu'elle rendait aveugle.


Corset contre l'onanismeAux États-Unis, au XIXe siècle, on a promu l'idée que la masturbation était dangereuse, mais que la circoncision permettait de la limiter. Certains prétendaient qu'elle la rend moins agréable ou alors plus difficile (voir à titre d'exemple Portnoy et son complexe de Philip Roth). C'était la raison initiale du développement massif de la circoncision des enfants aux États-Unis. En ce qui concerne les petites filles, on a parfois pratiqué l'excision du clitoris ou du moins de son capuchon.

Le français populaire garde une trace de la réputation d'apathie générale attachée aux masturbateurs : le terme de branleur a en effet le sens de fainéant.

Diogène de Sinope pour sa part se masturbait en public (« prendre son petit déjeuner »), et lorsqu'on lui en faisait la remarque, se contentait de répondre qu'il eût souhaité que la soif et la faim puissent se satisfaire elles aussi de manière aussi simple.

Woody Allen, quant à lui, explique que s'il fait bien l'amour, c'est parce qu'il s'est longtemps entraîné tout seul. Dans le film Annie Hall (1977), il dit aussi dans une réplique à Diane Keaton : Ne critiquez pas la masturbation, c'est faire l'amour avec quelqu'un que j'aime (don't knock masturbation, it's sex with someone I love).

2006-08-14 10:35:43 · answer #7 · answered by Phil Hip 5 · 0 0

c'est surtout qu'on se fait chier pendant 20 minutes alors qu'on pourrait faire quelque chose de + utile .. du sport par exemple...

2006-08-13 13:55:17 · answer #8 · answered by Anonymous · 0 0

mé Non mon cheri !!

2006-08-12 10:50:51 · answer #9 · answered by Liizie 2 · 0 0

je suis d'accord avec Roger, ça ne peut être que du positif dans la mesure ou ça ne rend pas malade. Bien au contraire, ceux qui pratique régulièrement la masturb ont dans chances de prolonger la longévité de leur éréction au delà de l'age limite. Par contre ceux qui disent qu'elle est interdite (et par koi d'ailleurs), ou la condamne (par tabou ou complexe), sont ceux qui à partir de la soixantaine voient leurs organes génitaux s'affaisser et ne produisent rien, c se qui est courramment appelé :6h30 en comparaison aux aiguilles d'une montre (tous les deux vers le bas). Donc, j'encourage cet acte et bon manège!

2006-08-12 10:25:08 · answer #10 · answered by Anonymous · 0 0

c est la plus grande des miseres sexuelles.

2006-08-11 05:26:13 · answer #11 · answered by Anonymous · 0 0

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