« Du 1er janvier au 15 juillet au soir, les Français auront consacré toutes leurs journées de travail à financer le train de vie de l’Etat », constataient les Contribuables Associés en… juillet 2005. Rien n’a changé : en dépit des baisses d’impôts solennellement promises, puis abandonnées, la pression fiscale à laquelle sont soumis nos concitoyens ne s’est pas relâchée. Et pour cause ! La situation ne s’améliorera pas tant que la dépense publique ne baissera pas.
Or, cette dépense publique continue d’absorber encore, en 2006, 53,6 % du Produit Intérieur Brut (PIB), c’est-à-dire 53,6 % de la richesse créée par les Français. Ceux-ci ont donc consacré 196 jours de labeur, soit jusqu’au 16 juillet, à financer le secteur public !
2006-07-13
02:29:59
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demandé par
Anonymous
dans
Entreprises et finance
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